La légende de Zorro

Dix ans ont passé, et tous deux sont mariés et ont un enfant, Joaquin, qui ignore tout de l’identité de son père : Don Alejandro De La Vega le jour, Zorro la nuit (Antonio Banderas). Elena De La Vega (Catherine Zeta-Jones), elle, en a un peu marre d’être Madame Zorro et voudrait que son vengeur masqué de mari cesse de jouer les justiciers et s’occupe davantage de sa petite famille.

Mais, on le sait, quand un boulot vous passionne, difficile de ne pas faire des heures sup. Surtout en cette année 1850 où les membres de la mystérieuse confrérie des Chevaliers d’Aragon veulent empêcher la Californie de devenir le 31e Etat de l’Union, par tous les moyens. Les paysans doivent aussi se défendre contre Jacob McGivens (Nick Chinlund), qui s’empare de leurs terres par la force. Seul Zorro peut intervenir : De La Vega remet donc le masque, malgré les réticences de sa femme. Se sentant trahie, celle-ci demande le divorce. Zizanie chez les Zorro.

Et, un malheur n’arrivant jamais seul, un aristocrate français fraîchement débarqué en Californie tourne autour de la belle Elena : c’est Armand (Rufus Sewell), qui, tout en faisant le joli coeur, continue de diriger secrètement les Chevaliers d’Aragon. Deux raisons pour Zorro de se mettre en colère, deux défis à relever : sauver la Californie et sauver son couple...

Comme pour la majorité de ses films d’action, Antonio Banderas a accompli lui-même la quasi-totalité de ses cascades, affirme la production. "La vérité, c’est qu’Antonio est un excellent escrimeur, meilleur que bien des cascadeurs. Il donne tout, et cela se voit à l’écran", explique le réalisateur de "La légende de Zorro".

Catherine Zeta-Jones n’est pas mal non plus en fine lame, et les cascades et scènes d’action ne manquent pas : Martin Campbell est un spécialiste du genre à Hollywood, ayant notamment réalisé "Vertical Limit" (200 millions de dollars de recettes) et le James Bond "Goldeneye" (avec Pierce Brosnan).

Synthèse de Samir
D’après AP