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L’Algérie dans le Top 50 des membres ISO

vendredi 16 octobre 2009, par Rédaction

L’IANOR qui représente l’Algérie figure dans le top 50 des institutions internationales de normalisation ISO selon Mohamed Chaib Aïssaoui.

L’Algérie dans le Top 50 des membres ISO.

« L’utilisation des normes est un instrument essentiel pour appuyer la mise en œuvre des pratiques d’efficacité énergétique et de la réduction des émissions de gaz à effet de serre en Algérie », a déclaré hier à Alger Mohamed Chaib Aïssaoui, directeur général de l’Institut algérien de normalisation (IANOR), lors de la célébration de la Journée mondiale de la normalisation. A ce sujet, le directeur général de l’IANOR, Institut intervenant surtout dans la publication des normes et le financement de l’accompagnement, indiquera qu’à ce jour « 22 normes algériennes ont été établies sur 32 normes internationales existantes ». Il annoncera à ce propos que « l’IANOR est rentré dans le Top 50 des membres ISO, et ce, devant un certain nombre de pays, notamment arabes ». Une distinction que l’Institut s’est vu décerné « grâce à sa participation active dans les comités internationaux, à la gestion des relations entre l’organisation mère et les organisations membres », dira M. Aïssaoui.

Dans le même registre, interviendra Belkacemi Djaballah, divisionnaire chargé de la qualité et de la sécurité au ministère pour affirmer qu’« un programme d’aide aux entreprises en Algérie est échelonné à 80% pour l’accompagnement des entreprises employant un minimum de 20 personnes désirant se faire certifier ». Une certification classée en plusieurs volets à l’instar de ISO 9000 pour les systèmes de management, 14 000 pour l’environnement, 22 000 pour le domaine de l’agroalimentaire et 18 000 pour l’hygiène, la sécurité et la santé au travail (OSHAS). Souscrire au concept de la normalisation relève d’un grand enjeu pour le développement économique et social du pays. A cet effet, les pouvoirs publics sollicitent toutes les parties prenantes, à savoir les entreprises à caractère économique et celles opérant dans les services de s’impliquer dans le processus la normalisation afin d’améliorer leur rentabilité grâce à une meilleure qualité de leurs produits d’une part, et d’autre part, conforter leur compétitivité sur le marché mondial.

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après Le Jour d’Algérie