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Mettant en cause une frite, une femme réclame réparation après une chute
La cliente d'un Quick à Reims, devenue invalide après avoir, selon elle, glissé sur une frite, a assigné mardi en réparation ce restaurant devant le tribunal de grande instance (TGI).
Cette femme, âgée de 38 ans, affirme avoir lourdement chuté le 22 décembre 2007 en pénétrant dans le restaurant, à cause d'une frite sur laquelle son pied a glissé. Victime d'une triple fracture du genou droit, elle avait été hospitalisée une semaine et déclarée invalide à 100%.
Mardi, devant trois juges de la 1ère chambre civile du TGI de Reims, son avocat, Me Emmanuel Ludot, a demandé que le restaurant soit reconnu responsable de la chute de sa cliente. Il a réclamé 50.000 euros de provision à valoir sur l'indemnité et une expertise médicale pour évaluer le préjudice.
Pour l'avocat du Quick, Me Francis Fossier, "ce jour-là il n'y avait aucune frite sur le sol qui était propre et sec", et la plaignante a "simplement glissé d'elle-même" alors qu'elle portait des talons aiguilles. "On a fait d'une affaire banale une affaire extraordinaire avec des sommes extravagantes", a-t-il déclaré à l'AFP.
La décision des juges été mise en délibéré au 16 décembre.
En février, la cliente avait été déboutée en référé d'une demande d'expertise judiciaire et de 15.000 euros de provision. Le juge des référés avait renvoyé l'affaire à un éventuel juge du fond, estimant notamment que les "circonstances de la chute" n'étaient "pas clairement établies",
yahoo
apres les aspirateurs, les lunettes des toilettes, les gps voila qu' une frite peut vous vouloir du mal :22: :22:
Cette femme, âgée de 38 ans, affirme avoir lourdement chuté le 22 décembre 2007 en pénétrant dans le restaurant, à cause d'une frite sur laquelle son pied a glissé. Victime d'une triple fracture du genou droit, elle avait été hospitalisée une semaine et déclarée invalide à 100%.
Mardi, devant trois juges de la 1ère chambre civile du TGI de Reims, son avocat, Me Emmanuel Ludot, a demandé que le restaurant soit reconnu responsable de la chute de sa cliente. Il a réclamé 50.000 euros de provision à valoir sur l'indemnité et une expertise médicale pour évaluer le préjudice.
Pour l'avocat du Quick, Me Francis Fossier, "ce jour-là il n'y avait aucune frite sur le sol qui était propre et sec", et la plaignante a "simplement glissé d'elle-même" alors qu'elle portait des talons aiguilles. "On a fait d'une affaire banale une affaire extraordinaire avec des sommes extravagantes", a-t-il déclaré à l'AFP.
La décision des juges été mise en délibéré au 16 décembre.
En février, la cliente avait été déboutée en référé d'une demande d'expertise judiciaire et de 15.000 euros de provision. Le juge des référés avait renvoyé l'affaire à un éventuel juge du fond, estimant notamment que les "circonstances de la chute" n'étaient "pas clairement établies",
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