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MAROC:plus de 10 000 enfants vivent dans les rues

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  • MAROC:plus de 10 000 enfants vivent dans les rues

    Maroc : Plus de 10 000 enfants vivent dans les rues. Zoom sur un fléau en croissance au nez et a la barbe de l'etat

    Publié le 29.10.2008

    Ils y auraient 10 000, 20 000 voire 30 000 enfants qui errent sur l’ensemble du territoire marocain. Selon l’ONG Bayti, basée à Casablanca (et présidée par Najat M’jid), environ 5 000 enfants vivent dans les rues de la capitale économique du pays, Casablanca.

    Transition démographique, exode rural, pression sociale,…Autant de facteurs aggravant d’un phénomène social qui inquiète. Au point où Nezha Skalli, ministre de la Famille, de la solidarité et du Développement Social vient de présenter son plan «Tolérance 0», en matière de…tolérance pour tous enfants vivant dans la rue. Sans famille responsable et sans une inscription obligatoire à l’école (obligatoire jusqu’à l’âge de 15 ans).

    «Notre plan d’action cible les enfants de la rue et les enfants qui vivent dans la rue. En effet, il y a deux catégories de populations. Primo, les mineurs qui ne peuvent plus compter sur la cellule familiale, génératrice d’équilibre et de stabilité. Et, secundo, les enfants qui optent pour la rue afin d’échapper à toute forme de règle. A l’horizon 2010/ 2012, notre objectif est de réduire au maximum le nombre de mineurs laissés pour compte», nous confie Nezha Skalli.

    Comment ? «Au travers de plans d’actions ciblées et menés en collaboration avec les différents services de l’Etat et en partenariat avec le réseau associatif. Tous les moyens, efforts et énergies doivent être destinées à s’attaquer de front à ce fléau», ajoute-t-elle.

    Du côté des acteurs associatifs, on se montre plus prudent et réservé. «Malgré la prise de conscience de ce fléau, et au plus haut sommet de l’Etat, avec la reconnaissance de la problématique, le chemin est encore long et le combat de tous les instants», indique Rachid Ajidar, éducateur de rue à l’association Bayti.

    Selon ce dernier, le nombre d’enfants qui se retrouvent dans la rue, du jour au lendemain, est en pleine croissance. «Les causes sont multiples. La démission des parents, la pression sociale, l’abandon pure et simple de l’enfant par les parents, les mères célibataires,… La rue est devenue un espace ouvert pour des enfants de plus en plus jeunes et vulnérables», dit-il.

    Ahmed Tachfine, en charge de la coordination en milieux ouverts à la structure Bayti, déplore le manque de moyens humains (et matériels) pour faire face à cette rupture sociale. «Au sein de gare routière Ouled Ziane à Casablanca, nous assurons une présence physique auprès de ce public en détresse avec un espace accueil. Il nous permet de retrouver les enfants tous les jours, nous leur proposons un petit déjeuner et des vêtements. Cependant, nous souhaiterions offrir un encadrement plus large à ces mineurs qui en ont énormément besoin. Pour certains, ils nous considèrent comme des membres de leur famille», précise Ahmed Tachfine.

    Rencontrés aux abords de la gare routière, Rachid, 14 ans à peine, exprime les raisons qui l’on conduit à vivre dans la rue, depuis 2 ans. «Ma mère a décidé de se remarier et son mari lui a imposé de ne pas m’avoir à sa charge. Dès lors, la seule option était la rue. Parfois, je rencontre ma mère, elle me remet de l’argent, des vivres,…Mais cela ne compense en rien, les sentiments», lâche-t-il sur un ton chargé d’émotions.

    Rachid, comme des dizaines de milliers d’enfants, souhaite évoluer au sein d’un foyer, où amour rime avec chaleur humaine. Est-ce un luxe, un privilège, pour un enfant que de vivre auprès de ses parents ? Les enfants doivent-ils être pris en otage par des personnes irresponsables ? Le tout au nez et à la barbe d’un Etat ?

    Rachid Hallaouy

  • #2
    Beh c' est comme ca la vie: d' un coté l' Algerie en plein prosperité et bohneur avec pas mois de 10 000 projets en cours de realisation
    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...06#post1749906

    et de l' autre coté le Maroc en lein recession et misère avec 10 000 enfant sans domicil pour ne citer que ce drame parmi plein d' autre.

    Allah ghaleb
    Dernière modification par Lezard_01, 29 octobre 2008, 13h59.

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    • #3
      algerie

      slt merci dans peu de temps tu va etre traiter de menteur ?????

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      • #4
        Ils y auraient 10 000, 20 000 voire 30 000 enfants
        entre 10.000 et 30.000 il y a 20.000 etre humain c'est quoi cette devalorisation

        la source SVP

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        • #5
          J'espère qu'aucun Marocain ne reponde à ces provocations qui attissent que la haine entre les 2 peuples.

          Chacun vie dans ses misères.
          La haine aveugle

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          • #6
            Alalaaaa Transit et les ces postes de la haine

            Vous aviez les mêmes chiffres en 2006

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            • #7
              Nice try Transit... Essaies quelques chose d'autre...

              100 milliards de dollars en caisse et voila la situation en Algerie...

              Algérie : 20.000 enfants vagabonds dans les rues

              lundi 17 juillet 2006.

              L’Algérie est menacée par un phénomène appelé les enfants de rues, c’est ce qu’a révélé le président de la Fondation national de promotion de la santé et du développement de la recherche « Forem ».



              Le nombre de ces enfants dans les rues en Algérie est en constante augmentation d’une année à une autre, les résultats de l’étude de la Forem lors du mois de Mai à travers cinq wilayas ont montré que leur nombre a atteint les 20 mille enfants.

              Ces enfants sont menacés de mort à tous moment car ils sont confrontés à toute sortes de risques de la rue, à ce sujet les chiffres de l’Unicef ont affirmé que les enfants des rues sont menacés de mort d’un moment à l’autre, ces mêmes chiffres prévoient une période de vie allant de quatre à cinq années, maximum, pour ces enfants des rues.

              Le Professeur Mustapha Khayati, Président de l’organisme national de promotion de la santé et du développement de la recherche, invité avant-hier de Fatour Essabah, a abordé la situation des enfants en Algérie, affirmant que son organisme, crée en 1990, avait surtout mis l’accent sur les conditions de vie des enfants surtout les plus démunis d’entre eux et ceux qui n’ont pas de tuteurs. Cet organisme a effectué bon nombre d’études sur le terrain, les dernières étaient entre 2005 et 2006, par lesquelles la Forem a voulu constater un nombre de phénomènes qui se sont répandus ces dernières années, ces études ont concerné la propagation des drogues, le tabac dans les milieux de jeunes en plus d’une étude sur la prostitution des enfants.

              Pour ce qui est du phénomène des enfants de rue, le Professeur a affirmé qu’elle menaçait le peuple Algérien vu l’augmentation du nombre de ces derniers d’une année à une autre, les résultats de la recherche de la Forem lors du mois de Mai dans cinq wilayas du pays et qui sont Annaba, Constantine, Tizi Ouzou, Oran et Aïn Defla, et le nombre enregistré va de 15 à 20 mille enfants dans les rues, le professeur ajoutera que le plus dangereux dans la situation est la séparation totale de ces enfants de leur familles.

              Soraya Bourouila — El-Khabar

              Algérie : Enfants de la rue, Ces chiffres qui font peur

              dimanche 4 juin 2006.

              En Algérie, ils ont entre 5 et 16 ans et ont élu domicile dans la rue pour diverses raisons, notamment conflits familiaux ou agressions souvent sexuelles.



              61 % d’entre eux vivent de mendicité, 15 % de vols, 2 % de ... prostitution.

              Un enfant de la rue sur deux présente des dermatoses et des infections respiratoires, et consomme des psychotropes (diluants, colles), révèle une enquête nationale sur les enfants de la rue réalisée par l’Observatoire des Droits de l’enfant (ODE). Les résultats de l’enquête, effectuée entre mars et mai 2006 et qui a concerné trois grandes wilayas du Nord (Alger, Oran, Annaba) et une région de l’extrême sud (Tamanrasset), montrent aussi que la moitié seulement des enfants concernés par l’étude consulte un médecin. L’échantillon ciblé a porté sur 189 enfants, dont 132 garçons représentant 70% de l’effectif total, et 57 filles. Leur âge va de 10 à 16 ans dans 60% des cas et de 5 à 10ans dans 23 % des cas. En outre, 17% des enfants âgés de moins de 5 ans sont accompagnés par leur mère et/ou leur père ou un parent (frère...).

              Les résultats de l’enquête montrent aussi que 33% des enfants n’ont jamais été scolarisés, 54% ont le niveau primaire et 13% ont un niveau moyen. Côté filiation, 71% des enfants ont encore leurs parents, 17% sont orphelins, 41% ont plus de 5 frères et sœurs et 44% d’entre eux ont rompu tout contact avec leurs parents. Parallèlement à ces données, 60% des enfants passent la nuit dans la rue ou dans les jardins publics, 29% sous des tentes ou dans des baraques de fortune et 6% squattent les gares routières, selon l’enquête.

              61% des enfants vivent de mendicité, 15% de vols, 2% de prostitution et, en revanche, 20% d’entre eux « affirment vivre de l’argent de leur travail ». Pour 36% des enfants, les conflits de famille sont la principale raison du choix de la rue, 13% à la suite d’agressions (surtout sexuelles) et 51% en raison de la pauvreté. Toutefois, 63% des enfants regrettent les foyers familiaux et 57% veulent aller dans un foyer de substitution contre 20% qui refusent d’y aller alors que 23% ne se prononcent pas. Sur leurs perspectives, 10% aspirent à être médecins, 14 % veulent émigrer, 14% devenir commerçants, 5% ingénieurs, 4% enseignants, 2% policiers, 5% coiffeurs, 4% chanteurs, 4% footballeurs et 4% pêcheurs, selon l’enquête.

              T. A. / APS — Infosoir

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              • #8
                Transit,

                J'aurais esperé que personne ne le fasse, mais voilà tu es servi
                La haine aveugle

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                • #9
                  Enfin mes amis marocains vous me reponder en disant qu'il ya aussi
                  20 000 enfants qui vivent dehors en algerie c'est normal il ya
                  des incapables dans notre gouvernement

                  mais pour vous au maroc qui faite l'eloge de ce regime a longueur
                  de journée 30 000 enfant dehors comment reagissez vous
                  a moins que ça soit aussi des incapables
                  Dernière modification par transit, 29 octobre 2008, 18h36.

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                  • #10
                    Le "roi" qui a une fortune personnelle évaluée à presque 6 milliards de dollars ne peût-il faire quelque chose pour ces gamins innocents ?

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                    • #11
                      les enfants qui vivent ds la misère , et un sujet très sensible ...de la a se bataillé , a savoir de qui du maroc ou de l'algerie qui détient le record , je trouve ça inhumain , et d'un ridicule sans nom ...
                      continuez ... vous battez le record du ridicule
                      un enfant reste un enfant , qu'il soit du maroc ou d'un autre pays ...

                      dommage que le ridicule ne tue pas
                      "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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                      • #12
                        jamais had lmrouk o had dzayriyine idirou chi haja t7mar lwjah!!!vous

                        battez le record du ridicule (comme a dit spacialle)
                        wada mou tella tayri g tassa, ar yalla !!

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