«De deuxième classe, le train est devenu de première classe. Et nous voulons en faire un TGV». Invité surprise, de la conférence de presse, organisée mardi 28 octobre 2008, afin de communiquer les derniers chiffres de la banque, et les nouveaux produits qu’elle lancé à l’occasion du Salon des Services bancaires et de la Monétique, M. Mohamed Kettani, président du groupe Attijariwafabank, a clamé haut et fort l’ambition que la première banque du Maroc –et la sixième en Afrique, «derrière cinq établissements sud-africains»- nourrit pour sa filiale tunisienne. Venu à Tunis pour prendre part à une réunion du conseil d’administration d’Attijari bank, M. Kettani a déclaré «être là» pour montrer «que nous sommes derrière notre filiale tunisienne, dont nous soutenons le plan de développement sur les 5 prochaines années». D’autant que le bilan des deux premières est très satisfaisant.
Le patron de la maison-mère se félicité d’ailleurs de «la mobilisation de toutes les équipes qui nous a permis de mettre le train sur les rails en 2 ans». Il a décerné un véritable satisfecit à Attijari bank, qui «est aujourd’hui aux meilleurs standards internationaux» et «est notre fierté au sein du groupe».
Après avoir «mené son assainissement à terme, la banque est aujourd’hui focalisée sur sa transformation et son développement», note M. Moncef Chaffar, président du conseil. «Depuis quelques mois, nous vivons une véritable ébullition», réitère en écho, M. Hassen Bertal, directeur général. De fait, la filiale tunisienne d’Attijariwafabank est une ruche d’abeilles en pleine restructuration/développement (diversification de l’offre produits, création de 26 nouvelles agences depuis jusqu’à fin septembre 2008, augmentation du nombre de GAB de 23, ce qui porte le total à 113, refonte de l’organisation commerciale –avec spécialisation en banques de détail, de financement et d’investissement-, filialisation des lignes de métier de la banque d’investissement pour mieux recentrer les activités de conseil, gestion d’actifs et intermédiation boursière, mise en place d’une organisation et de processus pour l’amélioration de la qualité, lancement d’Attijari Académie, création d’un département conformité, mise en place du code de déontologie et de structures de contrôle interne, et lancement du projet «Tamayouz» pour la refonte du système d’information).
Un déploiement dont les effets se font déjà sentir à travers les chiffres des neuf premiers mois de 2008, qui progressent tous de manière positive et très souvent fortement???. C’est le cas notamment du PNB (qui a augmenté de 20,8% à 94,1 millions de dinars), du RBE (32% à 42,6), du résultat net (passé de 0,5 md à 27,2 md), ainsi que du coût du risque crédits (baissé de 2,6 à 1,2%) et du total des actifs classés (ramené de 561,2 à 456,7 d). Bref, «tous les chiffres sont en ligne ou en dépassement», se félicite M. Hassen Bertal. Ce qui veut dire qu’Attijari bank est bien partie pour atteindre l’objectif suprême qu’elle s’est fixé : devenir la deuxième banque du pays à l’horizon 2010.
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Le patron de la maison-mère se félicité d’ailleurs de «la mobilisation de toutes les équipes qui nous a permis de mettre le train sur les rails en 2 ans». Il a décerné un véritable satisfecit à Attijari bank, qui «est aujourd’hui aux meilleurs standards internationaux» et «est notre fierté au sein du groupe».
Après avoir «mené son assainissement à terme, la banque est aujourd’hui focalisée sur sa transformation et son développement», note M. Moncef Chaffar, président du conseil. «Depuis quelques mois, nous vivons une véritable ébullition», réitère en écho, M. Hassen Bertal, directeur général. De fait, la filiale tunisienne d’Attijariwafabank est une ruche d’abeilles en pleine restructuration/développement (diversification de l’offre produits, création de 26 nouvelles agences depuis jusqu’à fin septembre 2008, augmentation du nombre de GAB de 23, ce qui porte le total à 113, refonte de l’organisation commerciale –avec spécialisation en banques de détail, de financement et d’investissement-, filialisation des lignes de métier de la banque d’investissement pour mieux recentrer les activités de conseil, gestion d’actifs et intermédiation boursière, mise en place d’une organisation et de processus pour l’amélioration de la qualité, lancement d’Attijari Académie, création d’un département conformité, mise en place du code de déontologie et de structures de contrôle interne, et lancement du projet «Tamayouz» pour la refonte du système d’information).
Un déploiement dont les effets se font déjà sentir à travers les chiffres des neuf premiers mois de 2008, qui progressent tous de manière positive et très souvent fortement???. C’est le cas notamment du PNB (qui a augmenté de 20,8% à 94,1 millions de dinars), du RBE (32% à 42,6), du résultat net (passé de 0,5 md à 27,2 md), ainsi que du coût du risque crédits (baissé de 2,6 à 1,2%) et du total des actifs classés (ramené de 561,2 à 456,7 d). Bref, «tous les chiffres sont en ligne ou en dépassement», se félicite M. Hassen Bertal. Ce qui veut dire qu’Attijari bank est bien partie pour atteindre l’objectif suprême qu’elle s’est fixé : devenir la deuxième banque du pays à l’horizon 2010.
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