Paul Sarkozy, figure parmi les victimes du piratage informatique.
Les comptes bancaires du père et la première épouse de Sarkozy auraient été à leur tour frauduleusement "visités"
L’enquête sur l’affaire du piratage des coordonnés de Nicolas Sarkozy, est bien partie pour mettre à nu, un important réseau d’escroquerie informatique. Les enquêteurs ont en effet découvert que les coordonnées bancaires des deux comptes, liés au président français ont aussi été la cible de pirates du net.
L’hypothèse selon laquelle, les escrocs ne se doutaient pas de l’identité du propriétaire du compte ponctionné, est donc, désormais battue en brèche, avec la découverte de deux nouvelles victimes de cette fraude ; Paul Sarkozy Nagy-Bosca, le père du Président, et Marie-Dominique Culioli, sa première épouse.
Des dizaines d’autres comptes, de clients de la Société Générale, auraient été illégalement consultés et des salariés de la banque sont pointés du doigt. Selon les enquêteurs, plus de 150 employés de différentes agences de la structure financière se seraient, «amusés» à fouiner dans le compte de Sarkozy. Pour la Société Générale, cette action ne constitue pas en soi un délit. Pourtant, la banque a assuré mener une enquête interne, dans le cadre de cette affaire, dont le préjudice est estimé par les enquêteurs à pas moins de 30 000 euros.
Une instruction a été ouverte pour "escroquerie en bande organisée", "usage frauduleux de références d'identification bancaire", "falsification et détention de documents administratifs", "divulgation intentionnelle de données figurant dans un fichier automatisé à caractère personnel", ainsi que "complicité et recel". Trois nouveaux suspects ont été arrêtés et déférés hier mercredi à Nanterre. Pour les enquêteurs, ceux-ci ne seraient que des «seconds couteaux» de l’opération. Ils sont bien décidés à mettre la main sur les «cerveaux» de cette bande de malfrats.
En rappel des faits, le procureur de Nanterre Philippe Courroye, avait saisi en septembre, la brigade criminelle et la brigade financière, après que Nicolas Sarkozy ait déposé plainte auprès du parquet à la suite du constat d’une utilisation suspecte de son compte, pour des abonnements téléphoniques.
- AFP
Les comptes bancaires du père et la première épouse de Sarkozy auraient été à leur tour frauduleusement "visités"
L’enquête sur l’affaire du piratage des coordonnés de Nicolas Sarkozy, est bien partie pour mettre à nu, un important réseau d’escroquerie informatique. Les enquêteurs ont en effet découvert que les coordonnées bancaires des deux comptes, liés au président français ont aussi été la cible de pirates du net.
L’hypothèse selon laquelle, les escrocs ne se doutaient pas de l’identité du propriétaire du compte ponctionné, est donc, désormais battue en brèche, avec la découverte de deux nouvelles victimes de cette fraude ; Paul Sarkozy Nagy-Bosca, le père du Président, et Marie-Dominique Culioli, sa première épouse.
Des dizaines d’autres comptes, de clients de la Société Générale, auraient été illégalement consultés et des salariés de la banque sont pointés du doigt. Selon les enquêteurs, plus de 150 employés de différentes agences de la structure financière se seraient, «amusés» à fouiner dans le compte de Sarkozy. Pour la Société Générale, cette action ne constitue pas en soi un délit. Pourtant, la banque a assuré mener une enquête interne, dans le cadre de cette affaire, dont le préjudice est estimé par les enquêteurs à pas moins de 30 000 euros.
Une instruction a été ouverte pour "escroquerie en bande organisée", "usage frauduleux de références d'identification bancaire", "falsification et détention de documents administratifs", "divulgation intentionnelle de données figurant dans un fichier automatisé à caractère personnel", ainsi que "complicité et recel". Trois nouveaux suspects ont été arrêtés et déférés hier mercredi à Nanterre. Pour les enquêteurs, ceux-ci ne seraient que des «seconds couteaux» de l’opération. Ils sont bien décidés à mettre la main sur les «cerveaux» de cette bande de malfrats.
En rappel des faits, le procureur de Nanterre Philippe Courroye, avait saisi en septembre, la brigade criminelle et la brigade financière, après que Nicolas Sarkozy ait déposé plainte auprès du parquet à la suite du constat d’une utilisation suspecte de son compte, pour des abonnements téléphoniques.
- AFP
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