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Une voiture piégée a explosé jeudi sur un parking de l'université de Navarre à Pampelune, dans le nord de l'Espagne, faisant 17 blessés légers, annonce le gouvernement.
Le ministre de l'Intérieur, Alfredo Perez Rubalcaba, a déclaré qu'un avertissement téléphonique, passé au nom de l'organisation séparatiste basque ETA, avait prévenu de l'imminence d'une explosion sur un parking d'une université.
Mais le correspondant anonyme, qui avait donné des précisions sur la marque et la couleur du véhicule piégé, n'avait pas précisé l'université visée et la police s'est précipitée à Vitoria, la capitale du Pays basque espagnol.
"Par conséquent, nous aurions pu avoir une terrible tragédie à l'université de Navarre", a déclaré Rubalcaba lors d'une conférence de presse.
Des vitres de l'université ont été brisées et des voitures stationnées à proximité endommagées, ont rapporté des témoins.
Cet attentat intervient deux jours après l'interpellation de quatre activistes présumés de l'ETA qui préparaient, d'après la police, des attaques en Navarre.
Samedi, une bombe avait explosé dans la gare de Berriz, au Pays basque espagnol, peu après minuit, puis deux cocktails Molotov avaient été lancés contre celle d'Amorebieta deux heures plus tard. Ces deux attaques, non revendiquées, ont été imputées à l'ETA.
Par Inmaculada Sanz, Blanca Rodriguez et Raquel Castillo, version française Grégory Blachier et Clément Dossin
Sources : lexpress.fr / Reuters
Le ministre de l'Intérieur, Alfredo Perez Rubalcaba, a déclaré qu'un avertissement téléphonique, passé au nom de l'organisation séparatiste basque ETA, avait prévenu de l'imminence d'une explosion sur un parking d'une université.
Mais le correspondant anonyme, qui avait donné des précisions sur la marque et la couleur du véhicule piégé, n'avait pas précisé l'université visée et la police s'est précipitée à Vitoria, la capitale du Pays basque espagnol.
"Par conséquent, nous aurions pu avoir une terrible tragédie à l'université de Navarre", a déclaré Rubalcaba lors d'une conférence de presse.
Des vitres de l'université ont été brisées et des voitures stationnées à proximité endommagées, ont rapporté des témoins.
Cet attentat intervient deux jours après l'interpellation de quatre activistes présumés de l'ETA qui préparaient, d'après la police, des attaques en Navarre.
Samedi, une bombe avait explosé dans la gare de Berriz, au Pays basque espagnol, peu après minuit, puis deux cocktails Molotov avaient été lancés contre celle d'Amorebieta deux heures plus tard. Ces deux attaques, non revendiquées, ont été imputées à l'ETA.
Par Inmaculada Sanz, Blanca Rodriguez et Raquel Castillo, version française Grégory Blachier et Clément Dossin
Sources : lexpress.fr / Reuters