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L'école doctorale des technologies spatiales pour renforcer le potentiel en chercheur

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  • L'école doctorale des technologies spatiales pour renforcer le potentiel en chercheur

    La création en 2008 de l'école doctorale des technologies spatiales permet d'espérer le renforcement, à court terme, du potentiel national en chercheurs de haut niveau, a estimé jeudi un ingénieur-chercheur au Centre des technologies spatiales d'Arzew (CTS), relevant de l'Agence spatiale algérienne (Asal).

    Abdelmadjid Boudjemai, qui s'exprimait en marge de l'ouverture du 7e Salon national d'astronomie populaire de Constantine, a notamment indiqué que "plus d'une centaine d'étudiants en post-graduation, sévèrement sélectionnés à travers les différentes régions du pays, poursuivent actuellement une formation de haut niveau dans cette école". Cette école, ouverte au niveau des universités d'Alger, d'Oran, de Constantine, de Sétif et de Tlemcen, couvre les domaines des télécommunications spatiales, de la mécanique spatiale, de la propulsion, du traitement d'images, du génie logiciel, de l'informatique embarquée et des systèmes d'informations à référence spatiale, a précisé de son côté Saïd Abrouche, également chercheur au CTS.

    M. Boudjemai a également rappelé, à cette occasion, que le premier système satellitaire algérien "Alsat 1" est en phase d'être remplacé par un second satellite (Alsat 2 "A" et "B") pourvus d'équipements "plus sophistiqués, nécessaires à la prise d'images et d'autres données de haute résolution".
    Alsat 1se trouve actuellement en orbite circulaire hélio-synchronisée à 686 kilomètres d'altitude, a indiqué le même responsable avant de rappeler que ce satellite a été conçu pour une durée de vie de cinq ans. Le premier satellite algérien Alsat l a été lancé le 28 novembre 2002 à partir de la rampe de "Plesetsk", située au nord de la Russie, par l'intermédiaire de "Cosmos 3M", est toujours fonctionnel, a rappelé la même source. Les données et les images qu'Alsat 1 envoie depuis voilà maintenant six ans, sont recueillies, traitées, analysées et exploitées au centre des technologies spatiales d'Arzew, a-t-il encore affirmé. "Ces données sont utilisées dans divers secteurs et champs de recherches, dont notamment l'élaboration de spatio-cartes et l'analyse de l'évolution de l'occupation du sol dans la zone du Maghreb et du Sahel", a indiqué pour sa part Saïd Abrouche.

    En parallèle à ce dossier, l'Asal consacre une large place à l'"EducSpace", une opération d'initiation aux technologies spatiales, a-t-on appris en marge de cette manifestation scientifique. Cette action, dont fait partie l'exposition organisée dans le cadre du 7ème Salon national d'astronomie populaire de Constantine, est notamment destinée à vulgariser, au profit des lycéens et des enseignants de géographie, les notions de télédétection et celles liées au fonctionnement des satellites d'observation de la terre, a encore précisé la même source.

    le maghreb
    Rabhine n'katlokoum, wo Rhassrine n'katlokoum... Tahia JSD !!! même si souvent, elle deconne vraiment!!! enfin tout le temps même...

  • #2
    espérons que ces chercheurs ne vont pas s'eclipser de la scène dz vers d'autres horizons...comme alsat nous a quitté sans donner de signal

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    • #3
      Ecole doctorale
      http://www.edtas.com/

      .............espérons que ces chercheurs ne vont pas s'eclipser de la scène dz vers d'autres horizons...comme alsat 1 nous a quitté sans donner de signal.........

      Comment ?.
      Alsat 1 est toujours là.

      Pour le suivre en temps réel:
      Le 2nov 2008 à 14h53 il est au dessus d' Australie.
      http://www.n2yo.com/?s=27559

      Commentaire

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