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La vérité sur l'histoire de l'islam

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  • La vérité sur l'histoire de l'islam

    Salut à tous,

    Il y a quelques jours, j'ai discuté avec un ami. Il me disait ceci :

    "Une amie, qui avait un enfant de 5 ans est morte d'un cancer.

    Si un Dieu existait, pourquoi il y aurait cette injustice ? Laisser un enfant derrière soi et mourir aussi jeune est injuste."

    Je lui ai répondu que nous avions que 5 sens. Que ses 5 sens étaient limités. Il y avait des choses que nous ne pouvions pas expliquer, échappant à notre logique.

    Je ne sais si j'ai bien répondu, mais sur le moment, je n'ai trouvé que ça à dire.

    Qu'auriez-vous répondu ?

    D'autre part, il ne comprenait pas qu'au sein des musulmans il y avait des "troubles faits" qui pouvait s'assurer d'une certaine tranquillité dans la communauté. Il ne comprenait pas pourquoi les autres musulmans ne les expulsés pas de la communauté.

    J'ai pris l'exemple des talibans qui vivaient cachés dans les montagnes et qui échappaient à toute autorité, et qui continuaient à instaurer leur régime de terreur.

    Pour éloigner tout amalgame, je lui disais par exemple que le port de la burka était antérieur à l'islam. C'est propre à la culture du pays. Je souhaitais éviter toute confusion en prenant cette exemple.

    Je me suis à parler d'un sujet que je ne maîtrise que très moyennement. Je ne me sens pas à l'aise sur ces sujets car je m'aperçois que je suis carencé.

    Aussi, je me tourne vers vous pour me donner des titres de livres ou de vidéo qui dépeigne fidèlement l'histoire de l'islam. Il y a un élément récurrent, les gens pensent que l'islam s'est propagé par la violence et le sang...

    Quant aux différents pays musulmans, je souhaiterais lire un livre qui évoque les différentes disparités (par rapport à la culture et la religion). De l'Afghanistan au Yemen (pays réputés rigide) en passant par l'Iran et la Lybie, je veux tout savoir.

    Merci à vous
    Le désert ne se raconte pas, il se vit...

  • #2
    ORIENTIS

    Voilà un article qui pourrait éventuellement répondre qq peu à tes attentes.


    L'Expansion Islamique: idées reçues et réalité historique
    Par André Miquel
    Professeur au Collège de France

    Souvenons-nous c’était notre enfance. Nous descendions des Gaulois qui semblaient être là depuis toujours, la preuve, c’est que le pays s’appelait la Gaule.
    Mais venaient les intrus les Romains, dont on s’accommodait (il fallait bien puisqu’on allait parler leur langue), les Francs, dont on devait porter le nom mais que normalement, on digérait assez bien : Clovis, son baptême et son vase se profilaient déjà à l‘horizon.
    Les autres n’avaient pas de chance, ni ces Huns, modèle de férocité et pourtant disparus de la scène en un jour, quelque part du côté de la Champagne, ni les Arabes : avec ceux-ci, et grâce à Charles Martel, finissait l’ère des invasions.

    Enfin, on était entre soi et les guerres, Dieu merci, allaient pouvoir se jouer entre voisins.
    Pourtant, cette dernière «invasion» n’est pas une conquête comme les autres. Le mot qui la désigne, c’est «l’ouverture», celle du monde, le plus vaste possible, à quelque chose de nouveau qui est l’Islam.

    Changeons de camp au bénéfice de la vérité historique. Que voyons-nous ?

    Mohammad (SAW) , le Prophète, mort, l’Islam crève définitivement les frontières de son Arabie natale. Un siècle après, soit vers le milieu du VIlle, il s’étend de l’Espagne à l’Indus et de l’Asie Centrale au Sahara.

    Il était facile d’imaginer, pour l’éclosion de ce domaine immense, toute une geste de fureur guerrière, de grands capitaines, de savantes stratégies. De fait, l’Islam eut ses batailles, ses chevauchées, ses étendards, ses faits d’armes et ses génies militaires.

    Là pourtant s’arrêtent les comparaisons possibles : car cette histoire a ses secrets, ses mystères même, et l’Histoire, ce petit garçon qui n’en finit pas de grandir, ne les découvre que peu. Pas toujours. Voici le plus grand d’entre tous.

    D’un côté, quelques troupes d’hommes à l’équipement rudimentaire des arcs, des flèches, des lances, des épées ; de l’autre, des armées puissantes, lourdement et savamment organisées, pourvues de traditions séculaires.
    Ici, un pays pauvre, l’Arabie, avec de grands espaces vides ; là, les terroirs de vieille civilisation, les vallées des grands fleuves, Egypte ou Mésopotamie, les plaines syriennes, les rivages actifs de la Méditerranée.
    A qui va la victoire ?
    Au moins nombreux, au plus pauvre.
    Et tout cela d’entrée de jeu.
    Et tout cela consommé en l’espace d’un siècle!



    LA FOI ET LE TEMPOREL

    Un des moyens éprouvés pour expliquer le miracle, on le sait, est de le nier. L’histoire, à l’occasion, ne s’en est pas privée, prenant ici le contre-pied systématique d’une autre position, celle qui, en Islam, voit dans l’expansion du message coranique le résultat de la seule foi, du seul enthousiasme des croyants, forts de l’appui que leur prête Dieu.
    La vérité? Elle oblige à dire, d’abord, que, sans la foi, cette histoire ne se fût peut-être pas jouée, du moins pas à cette échelle. Si nous ne contestons guère, dans les progrès du christianisme, la part qui revient à la ferveur de ses premiers adeptes et martyrs, pourquoi refuserions-nous à l’Islam d’avoir été le premier moteur de Sa propre histoire ? Elle abonde assez en témoignages pour que nous ne la traitons pas sur ce point à la légère ou avec mauvaise foi. Restent les conditions réelles, les formes que la nature ou les hommes donnent au message et qui aident à l’inscrire dans le siècle.
    Réglons le cas d’une hypothétique et brutale aggravation du climat, qui aurait jeté au dehors, par tribus entières, un peuple près de basculer dans la famine.
    On ne voit guère, en effet, que l’expansion de l’Islam ait, fût-ce provisoirement, vidé l’Arabie de ses habitants. C’est ailleurs qu’il faut chercher les conditions de la première poussée, hors du pays des origines. Nul doute que le credo coranique et le souvenir du Prophète n’aient réussi ce qui avait été impossible jusque là unir les tribus en leur donnant une même ambition, en sublimant les vertus bédouines traditionnelles dans la lumière de la foi nouvelle, en ouvrant à la mobilité native du nomade un champ nouveau et presque infini, comme si les espaces du raid et le goût de la course libre et les horizons du désert s’étaient ouverts à la mesure de la terre.

    Histoire de nomades et de sédentaires ? Oui, en un sens, à condition d’ajouter qu’ici, la tradition des steppes se double d’une autre, résolument urbaine celle-là : l’Islam, ne l’oublions pas, est né, s’est fortifié, organisé dans deux villes, la Mekke et Médine.
    Un des premiers soucis des conquérants sera de fonder, un peu partout, des cités qui, avant d’être les symboles et les pivots d’une civilisation nouvelle, fonctionneront comme relais d’un Islam encore jeune et soucieux de tenir les pays gagnés à sa cause.
    Kûfa, Bassorah, le Caire, Kairouan et tant d’autres.

    UN RALLIEMENT DES COEURS Grâce à sa cause...

    A quoi servent la prudence militaire, l’organisation de la ville et de l’Etat, Si les coeurs ne sont pas gagnés ? On ignore souvent le sens exact du fameux mot de jihâd, systématiquement traduit par guerre sainte et qui, en réalité, renvoie à «l’effort» du croyant pour prêcher l’exemple, avant tout, et en faisant rayonner sa foi, pour susciter chez les hommes le désir de la conversion. L’autre jihâd ne vient qu’ensuite, armé, mais lorsqu’ont été épuisées les procédures de conciliation et d’argumentation.
    Aux païens de se soumettre. Aux adeptes, d’une religion révélée, juifs ou chrétiens, de reconnaître l’autorité du nouvel Etat. Moyennant quoi, et versement d’une taxe appropriée (d'autant qu'ils sont exonérés de l'aumône rituelle, la Zakaate), ils garderont le droit de pratiquer leur croyance et de relever, pour les affaires n’excédant pas les limites de leur communauté confessionnelle, de l’autorité qui la régit, rabbin ou évêque.
    Le statut accordé aux juifs et aux chrétiens est sans doute, en plein Moyen Âge, exemplaire, mais il n’est qu’un des signes parmi d’autres d’une attitude d’ensemble de l’Islam, l’une des clés majeures de son succès au plan temporel, il a bouleversé le moins possible, s’est superposé plus qu’imposé, coulé, chaque fois qu’il l’a pu, dans les vieilles habitudes de l’Orient méditerranéen et de la Perse. Bref, il a voulu être, aussi peu que possible, l’étranger, l’intrus. Mais l’était-il ? Qui dit invasion dit barbare, inconnu surgi du fond de l’horizon et qui vient ruiner la vie du civilisé. Or, ces Arabes n’étaient, eux, jamais restés confinés tout à fait à leur Péninsule. Caravaniers, marchands, on les connaissait dans les cités riveraines du désert, en Egypte, en Syrie, en Irak. Byzance et la Perse sassanide avaient même installé, aux lisières de leur mouvance, des royaumes vassaux et arabes. L’arrivée des gens de la Péninsule, après l’Islam, change, de signification, à travers la quantité même d’hommes maintenant engagés hors du désert et, bien entendu, à travers le credo dont ils sont porteurs..Mais si le mouvement, dirait-on, s’emballe, il ne s ‘inscrit pas comme une rupture totale avec les habitudes du passé : de ces horizons des villes méditerranéennes ou irakiennes, les Arabes ont toujours fait partie. Leur nombre est une nouveauté, ils parlent maintenant un langage nouveau mais ils ne sont pas, tant s’en faut, des nouveaux venus.

    LA RESURGENCE DE VALEURS AUTHENTlQUES

    Ils le sont d’autant moins que, par leur message même, ils continuent d’incarner quelques-unes des plus vieilles croyances de l’Orient. Face aux subtilités et aux divisions du christianisme, ils rappellent l’unicité de Dieu, celle-là même dont l’affirmation avait conduit l’hérésie arianiste à faire de Jésus un homme et rien qu’un homme, au demeurant des plus grands. Image et doctrine que l’Islam conservera. Face à Byzance et à l’influence grecque, face à des sociétés hiérarchisées, l’Islam, fils d’Orient, et son message égalitaire, fondé sur une société de croyants frères, vont être reçus comme la résurgence de valeurs authentiques, nées sur place et jetées à la face de pouvoirs, de formes de civilisation et de pensée venues du dehors. L’expansion de l’Islam allie ainsi la puissance d’un credo, le respect de ce qui peut être conservé et la souplesse dans l’organisation de la société.
    Ajoutons, à ces gages de succès, la potentialisation engendrée par les conversions. Toutes ces conversions sont autant de relais ; les nouveaux musulmans vont aider les anciens à aller plus loin, jusqu’à ces limites que nous évoquions tout à l’heure les Berbères permettront de passer le détroit de Gibraltar, les Iraniens de pénétrer en Asie Centrale. Sans aller jusqu’à affirmer, comme le fit un historien pour l’Espagne, que les nouveaux territoires se sont ralliés, et pour ainsi dire conquis, d’eux-mêmes, aucun doute c’est aux nouveaux convertis, à leur connaissance du pays et des hommes, que l’Islam doit d’accéder à un statut mondial, sur des terrains et en plein coeur des cultures bien différentes, au départ, de l’Arabie natale.


    Vision idyllique des choses? Cette conquête ne va pas sans affrontements, batailles, sang versé, bavures même. Moins pourtant, beaucoup moins, il faut y insister, que toutes celles qui sont, pour nous, synonimes d’invasions ou d’empires. Avant d’être conquérant, l’Islam avait mis de son côté de quoi se faire agréer, accepter.
    Nous sommes des Occidentaux, fils d’une civilisation autre et complémentaire à la fois. Apprenons, avec le petit garçon d’aujourd’hui, à lire, sur l’atlas de l’Histoire, une autre carte de la Méditerranée et de l’Orient.
    ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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    • #3
      Merci beaucoup de texte !

      Et ben dis donc, il n'a que peu de succès mon topic... J'aurais souhaité plus de participation. Amis du forum, faites moi part de vos idées !
      Le désert ne se raconte pas, il se vit...

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      • #4
        Dieu

        Si un Dieu existait, pourquoi il y aurait cette injustice ? Laisser un enfant derrière soi et mourir aussi jeune est injuste."
        La mort n'est pas une punition pour qu'elle soit "injustice" ! La mort est un passage obligé pour chaque être humain vivant sur terre, qu'il soit petit ou grand, mauvais ou bon. Aussi, la mort n'est pas la fin de tout mais tout juste du commencement d'autre chose, le commencement de l'étérnité pour celui qui est mort, et a ce titre, une étérnité de beatitude pour un ange de 5 ans peux valoir mieux que 90 ans de vie terrestre ; cela dépand donc du point de vue que l'on adopte.

        Pour le reste, l'existence de Dieu ou sa justice sont a considérer sur ce critère absurde seulement, il faut déja se demander pourquoi donc la mort et la souffrance existent-ils sur terre ? Et de même, si certains sont riches et d'autres sont pauvres, devrions-nous dire que l'Etat et son devoir d'quiété n'existe pas ou parcque son existence paraitrait inutile aux yeux de certains, selon leurs impératifs a eux ?
        Dernière modification par Harrachi78, 04 novembre 2008, 14h53.
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          Aussi, je me tourne vers vous pour me donner des titres de livres ou de vidéo qui dépeigne fidèlement l'histoire de l'islam. Il y a un élément récurrent, les gens pensent que l'islam s'est propagé par la violence et le sang...

          Commences par consulter les œuvres de ceux là qui sont des references dans ce domaine et notes qu’ ils ne sont pour la plus part d’ entre eux pas des musulmans.

          Bassam Tibi
          Albert Hourani
          Adel theodore Khoury
          Maxime Rodinson


          Pour l' audiovisuel cherches sur Dailymotion les videos sous le titre: "Empire Of Faith"

          Y avait aussi une superbe video sur Dailymotion portant le titre de « Lorsque le monde parlait arabe » sur ce sujet qui n’est malheuresement plus disponible. Fais une recherche sur le web peut être que tu seras chanceux.


          La vérité sur l'histoire de l'islam

          Dans l' histoire il n' y a pas de "verité" absolue.

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          • #6
            Merci à tous pour vos réponses. Je n'ai pas eu le temps de répondre rapidement...

            Harrachi :

            Dans ce cas, il s'agit d'une jeune mère ayant contracté un cancer. Elle a succombé à sa maladie. Cette jeune maman avait une enfant de 5 ans.

            On sait combien il est important pour un enfant d'avoir ses deux parents. L'injustice qui était dénoncée se portait sur la jeunesse de la mère et le fait qu'elle ait un enfant.

            Après, il y a des choses que l'on ne peut pas expliquer. Ceci dit, nous pouvons entrevoir les grandes lignes :

            La mort est un passage entre deux vies

            La souffrances, la pauvreté font parties des épreuves que Dieu nous a donné.
            Le désert ne se raconte pas, il se vit...

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            • #7
              Merci beaucoup Lezard.
              Le désert ne se raconte pas, il se vit...

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              • #8
                @Orientis

                Dans ce cas, il s'agit d'une jeune mère ayant contracté un cancer. Elle a succombé à sa maladie. Cette jeune maman avait une enfant de 5 ans.

                On sait combien il est important pour un enfant d'avoir ses deux parents. L'injustice qui était dénoncée se portait sur la jeunesse de la mère et le fait qu'elle ait un enfant.
                Fouaises d'âmes faibles ou malades, croire que son malheur est unique sur terre, que son chagrin est sans égal, et que sa déstinée est l'apogée de l'injustice ; c'est typiquement humain ca, typiquement égocentrique.

                La jeunesse n'a jamais été un remède contre la mort, pourquoi cette jeune mère devrait-elle faire exception a une règle éternelle ? J'avis 7 ans lorsque j'ai perdu ma mère ; en suis-je mort ou ai-je été un monstre en fin de compte ? J'ai perdu mon père à 30 ans, suis-je moins dans le besoin d'un père et d'une mère que ce gamin à ton avis ? Mon père est mort en 3 jours et en trés bonne santé alors que des voisins malades et alités depuis des années vivent encore !

                Le croyant beni le nom de son Seigneur en toute circonstances, et lorsqu'un malheur le touche il dit al-hamdou lillah. C'est aussi simple que cela.
                Dernière modification par Harrachi78, 07 novembre 2008, 17h30.
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

                Commentaire


                • #9
                  Je ne dirais qu'un mot : bravo

                  Une belle leçon de vie comme je les aime.

                  Qu'Allah te protège et t'aide en toutes circonstances.
                  Le désert ne se raconte pas, il se vit...

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                  • #10
                    il faut repondre a cette question simple?? pourquoi sommes nous la??
                    nous musulmans considerons la vie comme "une epreuve" conduisant a la "veritable vie"
                    nous avons un proverbe en algerie qui dit "المومن مصاب" "le croyant est constamment eprouvé"

                    en lisant le coran on comprend aisement :

                    ce qu'est la valeur de cette vie et a quoi elle sert
                    qui est eprouvé par la vie
                    qui l'est moins
                    qui ne l'est pas du tout
                    et biensur pourquoi pour quelle finalité?

                    il faut lire le coran..
                    « Puis-je rendre ma vie
                    Semblable à une flûte de roseau
                    Simple et droite
                    Et toute remplie de musique »

                    Commentaire


                    • #11
                      Orientis


                      que dirait-on quand on voit que les plus aimés par Dieu, les Prophètes en l'occurence, sont les plus touchés par les eprouves les plus dures ?!

                      que pése le mal d'un enfant qui a perdu sa maman à 5 ans, face à celui du Prophète Ayoub qui a perdu 40 de ses enfants en une seule année, et est redevenu, souffrant d'une maladie très grave, d'une pauvreté extrême après qu'il ait eu toutes les richesses du monde ?!!

                      le Prophète Mohamad (Qlpssl), n'a jamais connu son pére, a perdu sa mere à 6 ans, et il a vu partir les êtres les plus chèrs, son grand-père et tuteur, son Oncle et tuteur Abou Taleb, il a été bani par sa tribu, frappé, et traité par tous les noms !

                      ce qu'on apprend du Coran, c'est que tout ce qui se passe dans la vie d'ici bas, n'a aucune valeur pour Dieu, sauf le fait que l'on adore et l'implore.
                      le Prophète (Qlpssl) dit : si la vie comptait pour Dieu telle qu'une aile d'un moustique, Il n'aurait pas attribué à un mécrant une gorgée d'eau !
                      2.7. et Dieu a scellé leur cœur et leur entendement. De même qu’un voile leur barre la vue, et ils sont voués à un terrible châtiment. (Al Baqâra)

                      Commentaire


                      • #12
                        Merci pour ta réponse Tamerlan
                        Le désert ne se raconte pas, il se vit...

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