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Maroc:L’USFP fait de la révision constitutionnelle son cheval de bataille au Maroc

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  • Maroc:L’USFP fait de la révision constitutionnelle son cheval de bataille au Maroc

    APA- Rabat (Maroc) Le parti marocain de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) a inscrit la révision constitutionnelle dans sa plate-forme politique adoptée samedi soir par le parlement du parti qui tiendra la deuxième phase de son huitième congrès le week end prochain.
    La plate-forme politique de L’USFP, membre du gouvernement investi en octobre 2007, a mis l’accent sur la nécessité d’introduire des réformes dans les domaines constitutionnel et politique qui reviennent ainsi au devant du programme du parti qui a coiffé l’Exécutif chérifien entre 1998 et 2002 en la personne de Abderrhmane Youssfi.
    Selon les observateurs basés dans la capitale chérifienne, le «retour en force » de la revendication de «réformes politiques et constitutionnelles » s’inscrit dans le cadre de la nouvelle impulsion que l’USFP cherche à insuffler à son discours.
    La requête traduit également la «quête » d’une nouvelle légitimité pour «dépasser sa traversée de désert » qui a atteint son point d’orgue aux législatives de septembre 2007 dans lesquelles le parti n’avait pu rafler que 38 sièges sur les 325 à pourvoir, soit la cinquième position contre la première cinq années plutôt.
    Dans ce sens, la plate-forme du parti n’a pas omis d’appeler à une «mise à niveau du champ politique » fustigeant au passage « la corruption qui gangrène le domaine politique ».
    Depuis sa première constitution de décembre 1962, le Maroc a dû recourir à quatre révisions majeures (1970,1972, 1992 et 1996).
    La dernière constitution, en vigueur depuis septembre 1996, a donné lieu à un consensus inédit dans l’hémicycle chérifien au point qu’elle germé le premier gouvernement dirigé par les ténors de l’opposition institutionnelle entre 1998 et 2002.
    Le retour des «revendications constitutionnelles» est justifié, entre autres, par « les dérapages et les blocages » constatés notamment au niveau du Parlement bicaméral.
    L’USFP avait décidé en juin dernier de tenir une deuxième manche de son congrès pour trancher sur les points en suspens dont l’élection d’une nouvelle direction.
    Quelque 1 360 congressistes, représentant environ 40.000 militants du parti, s’étaient livrés à une «bataille des plus ardues » sur l’avenir du parti et ses options stratégiques.
    Plusieurs congressistes avaient appelé à la mobilisation pour se repositionner et dépasser « les frictions dévastatrices » pour l’image de l’Organisation, une des plus «influentes » sur l’échiquier partisan au Maroc, qui compte une trentaine de formations politiques.

    YB/mn/APA 02-11-2008

  • #2
    Ces baâthistes débiles n'ont aucune crédibilité. Ce sont eux qui ont accouché par exemple des terroristes du Polisario. Qu'ils aillent en enfer !
    Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

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    • #3
      Haha, un parti agonisant qui tente de renaitre des ses cendres, mener une troisième vie apres la ménopause. Trop tard, plus personne ne le croira. Le tour est au pjd, le champs politique est vidé, à quoi sert les election? les technocrates sont la.

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