La CGI investit 9 milliards de DH dans la ville verte de Bouskoura
5 000 logements de haut standing y seront construits par trois opérateurs : la CGI, Addoha et Palmeraie Développement.
Golf de 18 trous, piste équestre, campus universitaire privé, centre d’affaires, hôtels, cliniques...
C’est un méga projet qui démarre dans la métropole casablancaise. Après celui de la marina, le futur complexe commercial de l’ONCF, le pôle urbain en devenir de l’ancien aéroport d’Anfa, c’est le lancement de la ville verte de Bouskoura, pour lequel la filiale de CDG Développement a mené une campagne de teasing, qui a suscité la curiosité et l’intérêt des Casablancais durant quelques jours.
Pourtant, rien ne prédestinait ce petit appendice de la capitale économique à occuper le devant de la scène. Croissance rapide de la région oblige, les autorités locales (Agence urbaine, Wilaya, Conseil de la ville) ont décidé d’ouvrir une nouvelle zone à l’urbanisation. Adossée à la forêt et déjà raccordée au centre-ville de la métropole, notamment par l’avenue de la Mecque, avec son échangeur, la petite bourgade de Bouskoura est ainsi choisie pour abriter cette zone d’urbanisation nouvelle. Deux promoteurs immobiliers (Addoha et Palmeraie Développement), qui ont déjà commencé la commercialisation - sur plan - de villas depuis quelques jours, et un développeur aménageur (CGI) y ont acquis des terrains.
Les deux premiers totalisent près de 340 ha qu’ils aménageront essentiellement en immobilier touristique et résidentiel, alors que l’aménageur, qui dispose pratiquement de la même superficie (357 ha), n’a pas les mêmes ambitions.
«Plus qu’un ensemble résidentiel attenant à la forêt, la ville verte de Bouskoura constitue un morceau de ville offrant une mixité résidentielle, des commerces, de l’animation et des loisirs», explique Mountassir Belkhayat, directeur des projets au sein du pôle logement de la CGI, qui investira 9 milliards de DH dans son projet, sans compter les mises des deux autres opérateurs.
Energie solaire et réutilisation des eaux usées pour l’arrosage
Quelque 5 000 logements moyen et haut standing seront construits dans la ville, dont 500 villas et 2 000 appartements par la CGI, qui aménagera également un golf de 18 trous, un sentier équestre, une piste cyclable, un centre d’affaires composé de bureaux (offshoring et logistique) et de commerces, deux cliniques spécialisées, un quartier piétonnier, un hôtel de charme et un spa.
En outre, la compagnie développera une zone d’activités avec des technopoles pour l’offshoring et des showrooms.
De plus, une vaste parcelle de terrain sera aménagée pour recevoir un campus universitaire et une université internationale privée de renom.
«Nous souhaitons faire de l’enseigne universitaire qui élira domicile dans la ville verte de Bouskoura une locomotive pour tirer tous les autres investissements de la ville», souligne M.Belkhayat. Sur le plan environnemental, la ville verte de Bouskoura utilisera les énergies renouvelables, notamment le solaire.
«Elle sera également dotée d’un centre de collecte et de traitement des eaux usées, de récupération des eaux pluviales à travers des lacs et des bassins de stockage pour leur réutilisation dans l’arrosage du golf et des nombreux espaces verts», explique-t-on auprès de la CGI. Les travaux démarreront en novembre et la durée de réalisation prévue est de 8 ans.
5 000 logements de haut standing y seront construits par trois opérateurs : la CGI, Addoha et Palmeraie Développement.
Golf de 18 trous, piste équestre, campus universitaire privé, centre d’affaires, hôtels, cliniques...
C’est un méga projet qui démarre dans la métropole casablancaise. Après celui de la marina, le futur complexe commercial de l’ONCF, le pôle urbain en devenir de l’ancien aéroport d’Anfa, c’est le lancement de la ville verte de Bouskoura, pour lequel la filiale de CDG Développement a mené une campagne de teasing, qui a suscité la curiosité et l’intérêt des Casablancais durant quelques jours.
Pourtant, rien ne prédestinait ce petit appendice de la capitale économique à occuper le devant de la scène. Croissance rapide de la région oblige, les autorités locales (Agence urbaine, Wilaya, Conseil de la ville) ont décidé d’ouvrir une nouvelle zone à l’urbanisation. Adossée à la forêt et déjà raccordée au centre-ville de la métropole, notamment par l’avenue de la Mecque, avec son échangeur, la petite bourgade de Bouskoura est ainsi choisie pour abriter cette zone d’urbanisation nouvelle. Deux promoteurs immobiliers (Addoha et Palmeraie Développement), qui ont déjà commencé la commercialisation - sur plan - de villas depuis quelques jours, et un développeur aménageur (CGI) y ont acquis des terrains.
Les deux premiers totalisent près de 340 ha qu’ils aménageront essentiellement en immobilier touristique et résidentiel, alors que l’aménageur, qui dispose pratiquement de la même superficie (357 ha), n’a pas les mêmes ambitions.
«Plus qu’un ensemble résidentiel attenant à la forêt, la ville verte de Bouskoura constitue un morceau de ville offrant une mixité résidentielle, des commerces, de l’animation et des loisirs», explique Mountassir Belkhayat, directeur des projets au sein du pôle logement de la CGI, qui investira 9 milliards de DH dans son projet, sans compter les mises des deux autres opérateurs.
Energie solaire et réutilisation des eaux usées pour l’arrosage
Quelque 5 000 logements moyen et haut standing seront construits dans la ville, dont 500 villas et 2 000 appartements par la CGI, qui aménagera également un golf de 18 trous, un sentier équestre, une piste cyclable, un centre d’affaires composé de bureaux (offshoring et logistique) et de commerces, deux cliniques spécialisées, un quartier piétonnier, un hôtel de charme et un spa.
En outre, la compagnie développera une zone d’activités avec des technopoles pour l’offshoring et des showrooms.
De plus, une vaste parcelle de terrain sera aménagée pour recevoir un campus universitaire et une université internationale privée de renom.
«Nous souhaitons faire de l’enseigne universitaire qui élira domicile dans la ville verte de Bouskoura une locomotive pour tirer tous les autres investissements de la ville», souligne M.Belkhayat. Sur le plan environnemental, la ville verte de Bouskoura utilisera les énergies renouvelables, notamment le solaire.
«Elle sera également dotée d’un centre de collecte et de traitement des eaux usées, de récupération des eaux pluviales à travers des lacs et des bassins de stockage pour leur réutilisation dans l’arrosage du golf et des nombreux espaces verts», explique-t-on auprès de la CGI. Les travaux démarreront en novembre et la durée de réalisation prévue est de 8 ans.
Commentaire