Tweet
Les Montréalais n'en ont que pour Barack Obama. Le candidat à la présidence américaine déchaîne les passions jusque dans la métropole. Les prédictions et les conversations quant à sa possible élection allaient bon train à l'approche du vote de demain.
«Je voterais pour Obama parce que j'ai confiance en ses idées, partageait Dave, un jeune homme assis dans un café à l'angle des rues Saint-Laurent et Prince-Arthur. J'ai vu les deux débats et j'écouterai certainement les résultats à la télévision. C'est historique!»
Même son de cloche du côté d'Anne Howard, à la fois citoyenne américaine et canadienne. «J'ai voté pour Obama dans le Montana, disait-elle. Je fais un party chez moi avec 30 personnes pour le dévoilement des résultats.»
«On prie pour que ce soit Obama qui rentre», confiaient deux dames assises au pub l'Île noire, rue Ontario.
«On a espoir que ce soit lui», ajoutait Lyne Allard, attablée juste à côté avec des amis.
Confiance
Ses qualités d'humaniste et les appuis de taille qu'il a reçus tout au long de la campagne électorale ont principalement pesé dans la balance. Pour plusieurs, il inspire la force et la sincérité.
«Il est rassembleur et représente le progrès. Il va gagner et ce sera bon pour l'Amérique », prédisait Mark Gorning, qui venait tout juste de se procurer un chandail à l'effigie de Barack Obama, boulevard Saint-Laurent.
Le manque de confiance envers John Mc- Cain et sa colistière, Sarah Palin, que certains allaient jusqu'à qualifier «d'effrayante», est également ressorti.
Très rares étaient ceux qui ont une préférence pour le clan républicain, entaché par le mandat de George Bush fils et les guerres contestées qu'il a déclenchées.
Changement
Mais par-dessus tout, c'est l'espoir d'un changement qui les faisait pencher pour le premier Afro-Américain à se porter candidat aux présidentielles américaines.
«Un candidat noir ferait selon moi du bien aux communautés culturelles et au monde. Ça prend un changement», a poursuivi Dave, ajoutant que le vainqueur, quel qu'il soit, devra relever le plus grand défi jamais vu dans l'histoire des États-Unis en raison de la situation économique du pays.
«Je voterais pour Obama parce que j'ai confiance en ses idées, partageait Dave, un jeune homme assis dans un café à l'angle des rues Saint-Laurent et Prince-Arthur. J'ai vu les deux débats et j'écouterai certainement les résultats à la télévision. C'est historique!»
Même son de cloche du côté d'Anne Howard, à la fois citoyenne américaine et canadienne. «J'ai voté pour Obama dans le Montana, disait-elle. Je fais un party chez moi avec 30 personnes pour le dévoilement des résultats.»
«On prie pour que ce soit Obama qui rentre», confiaient deux dames assises au pub l'Île noire, rue Ontario.
«On a espoir que ce soit lui», ajoutait Lyne Allard, attablée juste à côté avec des amis.
Confiance
Ses qualités d'humaniste et les appuis de taille qu'il a reçus tout au long de la campagne électorale ont principalement pesé dans la balance. Pour plusieurs, il inspire la force et la sincérité.
«Il est rassembleur et représente le progrès. Il va gagner et ce sera bon pour l'Amérique », prédisait Mark Gorning, qui venait tout juste de se procurer un chandail à l'effigie de Barack Obama, boulevard Saint-Laurent.
Le manque de confiance envers John Mc- Cain et sa colistière, Sarah Palin, que certains allaient jusqu'à qualifier «d'effrayante», est également ressorti.
Très rares étaient ceux qui ont une préférence pour le clan républicain, entaché par le mandat de George Bush fils et les guerres contestées qu'il a déclenchées.
Changement
Mais par-dessus tout, c'est l'espoir d'un changement qui les faisait pencher pour le premier Afro-Américain à se porter candidat aux présidentielles américaines.
«Un candidat noir ferait selon moi du bien aux communautés culturelles et au monde. Ça prend un changement», a poursuivi Dave, ajoutant que le vainqueur, quel qu'il soit, devra relever le plus grand défi jamais vu dans l'histoire des États-Unis en raison de la situation économique du pays.