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Analyse : Selon le mensuel « Economie & Entreprises », le Groupe indien GUPTA STEEL devrait réaliser en partenariat avec MOROCCAN IRON STEEL une aciérie à Settat pour un montant d’investissement de M USD 200.
Le projet devrait porter sur la réalisation d’un complexe sidérurgique à Settat pour la production de barres de fer de 12 mètres. Il devrait également fournir l’usine de production de MIS située à Chellalate dans la périphérie de Casablanca.
A noter que GUPTA STEEL est un Groupe indien, opérant dans la fabrication du papier, de l’acier et de l’aluminium.
Rappelons, par ailleurs, que MIS a été créée en 2002 avec un investissement de départ de M MAD 450. Démarrant sa production en 2006 avec une capacité initiale de 120 000 T, laquelle a été porté à 200 000 T en 2007, la société prévoit de tripler sa production à 360 000 T à horizon 2008.
Conclusion : La mise en exploitation de nouvelles aciéries au Maroc devrait permettre aux opérateurs locaux de mieux répondre à la dynamique du marché national de la production. Cependant, l’éventualité de l’essoufflement de ce secteur pourrait se traduire par une surproduction aux effets nuisibles sur les marges, menaçant la pérennité des nouveaux entrants.
BMCE Capital Bourse
Le projet devrait porter sur la réalisation d’un complexe sidérurgique à Settat pour la production de barres de fer de 12 mètres. Il devrait également fournir l’usine de production de MIS située à Chellalate dans la périphérie de Casablanca.
A noter que GUPTA STEEL est un Groupe indien, opérant dans la fabrication du papier, de l’acier et de l’aluminium.
Rappelons, par ailleurs, que MIS a été créée en 2002 avec un investissement de départ de M MAD 450. Démarrant sa production en 2006 avec une capacité initiale de 120 000 T, laquelle a été porté à 200 000 T en 2007, la société prévoit de tripler sa production à 360 000 T à horizon 2008.
Conclusion : La mise en exploitation de nouvelles aciéries au Maroc devrait permettre aux opérateurs locaux de mieux répondre à la dynamique du marché national de la production. Cependant, l’éventualité de l’essoufflement de ce secteur pourrait se traduire par une surproduction aux effets nuisibles sur les marges, menaçant la pérennité des nouveaux entrants.
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