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Olmert : "Obama ou McCain seront des amis d'Israël"

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  • Olmert : "Obama ou McCain seront des amis d'Israël"

    "Que ce soit Barack Obama ou John McCain, je les connais tous deux et sais qu'ils seront des amis d'Israël", a assuré Ehoud Olmert selon le quotidien israélien "Yedioth Ah"ronoth".

    "Il sera amical et nous pourrons parler avec lui", a-t-il ajouté, avant d'affirmer que l'accord de paix avec les Palestiniens, prévu "d'ici à la fin de l'année", n'est "pas lié à l'identité du président" américain.

    Le Monde

  • #2
    Olmert : "Obama ou McCain seront des amis d'Israël"

    Pour une fois,je suis d'accord avec Olmert.Pour etre accepté par l'establishment, Obama a donné beaucoup plus de garanties d'allégence à l'AIPAC que Mc Cain et si jamais le nouveau président américain prend Denis Ross comme secrétaire d'Etat , les Palestiniens regretteront à coup sur les Républicains.

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    • #3
      Olmert : "Obama ou McCain seront des amis d'Israël"
      McCain aurait pu être plus qu'un ami

      Israël regrette George Bush mais espère trouver un nouvel "ami"



      Les Israéliens font contre mauvaise fortune bon cœur. Ils auraient préféré John McCain. Ils devront composer avec Barack Obama, et ont donc salué "la victoire de la démocratie", insistant sur le fait que "les Etats-Unis sont un allié de longue date et resteront un allié", comme l'a fait remarquer l'ancien ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Dore Gold.
      La chef du parti Kadima (centre) et ministre des affaires étrangères, Tzipi Livni, a estimé mercredi 5 novembre que le nouveau président des Etats-Unis est "profondément engagé pour la sécurité d'Israël". Convaincu que le 44e président des Etats-Unis serait "l'ami d'Israël", le premier ministre de transition, Ehoud Olmert, avait rendu de son côté le 4 novembre un hommage appuyé à George Bush, indiquant que "son nom restera gravé en lettres d'or pour de longues années dans le cœur d'Israël".

      Les autorités de l'Etat juif s'interrogent sur ce que sera la politique de M. Obama au Proche-Orient, et notamment sur sa volonté de dialoguer avec l'Iran, ce qui n'est pas du goût des Israéliens. Bien que rassurées par ses prises de position concernant le Hamas, le Hezbollah et les pourparlers de paix avec les Palestiniens, les autorités israéliennes estiment qu'un certain flou persiste sur les réelles intentions de l'élu démocrate.

      Après avoir affirmé qu'il souhaitait que Jérusalem reste "la capitale unifiée d'Israël", Barack Obama avait fait machine arrière face à l'émotion des Palestiniens. Sa visite, fin juillet, à Jérusalem n'a pas dissipé ce flou.

      Pour leur part, les Palestiniens attendent beaucoup de M. Obama. "Nous espérons qu'il va accélérer les efforts déployés pour parvenir à la paix", a déclaré Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne. De son côté, le Hamas a souhaité que Barack Obama "tire la leçon des erreurs de Bush" et "qu'il ne soit plus partial".
      Michel Bôle-Richard

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      • #4
        Salam

        "Que ce soit Barack Obama ou John McCain, je les connais tous deux et sais qu'ils seront des amis d'Israël", a assuré Ehoud Olmert selon le quotidien israélien "Yedioth Ah"ronoth".

        Cela prouve, si besoin est, qu'Israèl dépend beaucoup plus des USA que de sa force militaire supposée quatrième au monde.

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        • #5
          Envoyé par DZone
          les Palestiniens regretteront à coup sur les Républicains.
          Oui je suis d'accord sur celà.

          Franchement tout porte à croire que l'élection d'Obama est une grande supercherie.

          ça sera juste une façade idéale pour embellir l'image ternie de la mafia qui fait les Etats-Unis et qui la dirige réelement.

          Un personnage, opportuniste, issu de l'immigration, qui n"a aucune attache solide ni meme une grande et prestigieuse famille sur laquelle il peut s'appuier, devient président des Etats-Unis, c'est vraiment une aubaine pour tous les puissants qui dirigent les Etats-Unis réelement, pour qu'ils ont les mains libre de continuer leur méfaits.

          Et surtout ce qui me dérange le plus c'est tout l'unanimisme presque total du monde entier pour son élection.

          Moi je sais qu'un homme politique et de surcroit porteur de changement qui succite tant d'unanimisme fait vraiment peur, et le changement n'est qu'une illusion.

          Car un changement de par sa nature est de renverser les règles établies dérange certainement les puissants qui détiennent et profitent de l'ordre actuel, donc un vrai changement sucite automatiquement de l'opposition.

          Et comme par enchantement, Obama ne subit pas celà, tout le monde se réjouit de son élection, meme Bush a été le premier à le féliciter, Mc Cain reconnait automatiquement sa défaite et ordonne à ses partisants de se ranger du coté d'Obama, tout celà est vraiment louche.

          Et puis pour ceux qui croient que la venue d'un personnage de couleur à la maison blanche peut changer les choses et bien il y avait bien Condoleeza Rice qui était à un poste trés prestigieux des Etats-Unis comme chef de la diplomatie américaine et on sait tous quels ont étés ses actions et ses convictions.

          Donc moi je me méfie beaucoup des opportunistes et je crois franchement que seul un blanc issu d'une grande famille américaine peut avoir suffisamment de poids pour changer l'Amérique.

          Obama a voulu le pouvoir a tout prix, ils l'ont porté au pouvoir, donc maintenant il a une grande dette devers ceux qui l'ont porté au pouvoir et il doit certainement honorer cette dette.
          Dernière modification par mendz, 05 novembre 2008, 12h11.

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          • #6
            Moi je crois que s'il n'y avait pas eu la crise financière, Mac Cain aurait gagné, car n'oublions pas que pendant la campagne électorale, la Russie attaquait la Géorgie et beaucoup d'américains penchaient sur Mac Cain, un homme d'expérience qui à fait le Vietnam, malheureusement pour Mac Cain, le débat à glissé sur la crise économique et Obama avait réussi à rassurer les Américains sur ce qu'il allait faire pour résorber cette catastrophe, car il avait déjà un plan aidé par les anciens conseillers de Clinton, Obama a aussi miser sur les différentes communautés, hispaniques, Arabo-Américaines, Asiatiques, Afro-Américaines et surtout les jeunes et les femmes. Il avait déjà bien ciblé son électorat dès le début.
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              Voilà en ces temps de grande crise le genre d'hommes que l'Amérique a besoin : http://fr.wikipedia.org/wiki/Franklin_Delano_Roosevelt

              Mais dommage, meme une grande nation n'a pas souvent la chance d'enfanter souvent ce genre de personnages.

              En attendant, que le monde applaudit et s'exclame sur le joli épouventail qui est Obama.

              Quelle terrible époque nous vivons ou les meneurs des nations se font rare.

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              • #8
                Mendz, pour une fois, je suis totalement d'accord avec toi et j'adhère a ce que tu dis.

                Certains pensent qu'avec l'election d'Obama, la politique extérieur US va changer d'une facon radicale, pourtant il a affirmé clairement devant les membres de L'AIPAC qu'il est et serait toujours au coté d'Israel. Et concernant la question d'Irak, son choix d'opter pour le retrait des forces militaires US est surtout porter sur l'enorme budget dépenser annuellement pour cette occupation.

                Maintenant, voyons un peu pourquoi Obama a t-il été élu ? Les américains depuis un certain temps, surtout lors du déclechement de la crise Subprime, ne soucient guère de ce qui se passe en dehors des US. Ce qui leur importe le plus, c'était un président qui travaillerais pour satisfaire leurs demandes qui sont de faire sortir leur pays de la crise, ainsi trouver des solutions a leurs problèmes quotidiens, que ce soit dans le domaine économique, médicale, de l'enseignement ou autre. Et le programme économique d'Obama, proposer "des solutions" réalistes et qui prends en considération les besoins des citoyens de la classe pauvre et moyenne.

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                • #9
                  aux USA, c pas le president qui decide, ce sont les lobby juifs qui decident, surtout en ce qui concerne la politique étrangère et la politique financière interne.

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                  • #10
                    Il ne faut surtout pas se fier aux déclarations des sionistes concernant Obama.

                    Le lobby juif américain a tout tenté contre Obama.Ils ne l'ont jamais laissé tranquille et ont "exploité" l'islamophobie jusqu'au bout.Un juif israelien a même sorti un film propagande sur l'islam durant les dernières semaines de la campagne et pendant ce temps les républicains essayaient de lier Obama à l'islam.
                    Il faur noter qu'il n'y a aucun néo-con avec Obama contrairement à mac cain où ils sont nombreux.Bush c'était comme mac cain.
                    Ne laissons pas les sionistes ou leurs toutous créer des barrages entre Obama et nous.

                    Remarquons que les sionistes essayent de noyauter les conseillers mais l'équipe d'Obama veille.

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                    • #11
                      Questions que se posent des sionistes !!!!!

                      Nul ne niera que la campagne présidentielle qui s’est achevée hier aura été l'une des plus palpitantes qu'ait connues la démocratie américaine, avec à la clé, l'événement historique d'un premier Président de couleur…à la Maison Blanche!
                      Quelles que soient les sympathies politiques que l'on ait, il est indéniable que l'ascension fulgurante de Barack Obama, et sa victoire sur l'expérimenté John McCain, représentent un séisme historique et une nouvelle donne, non seulement sur la scène politique américaine mais aussi dans l'échiquier politique international.
                      Sur le plan intérieur américain, l'élection d'Obama est une bonne chose sur deux points au moins. Démocratiquement et psychologiquement, il est bon que ce ne soit pas toujours les mêmes couches de la population à être représentées au plus haut niveau. Après huit ans d'administration républicaine, l'alternance est l’une des choses des plus naturelles, et toutes celles et ceux qui furent déçus ou frustrés les années 2000 et 2008 par les élections de George W. Bush peuvent maintenant avoir la satisfaction « d’être du bon côté » ! Les visages et les larmes de l’assistance lors de son discours de victoire en attestent. En pleine crise financière, la population inquiète de ses conséquences sociales ne verra pas d’un mauvais œil l’arrivée aux affaires d’un adversaire du néo-libéralisme sauvage.
                      Mais surtout, la victoire d'un politicien issu d'une minorité ethnique, de surcroît afro-américaine, permet aux immigrés, aux petites gens, aux "cols-bleus", aux laissés pour compte de la globalisation mondiale impitoyable d'espérer en un monde meilleur, et d’avoir le sentiment d’être désormais entendus à Washington. L’arrivée au sommet de la pyramide d’un homme de couleur nous ramène directement au discours historique de Martin Luther King au Lincoln Memorial de Washington en 1963, et sa fameuse phrase « I have a dream », « Je fais un rêve ». Ce rêve s’est accompli pour des millions de noirs américains qui ont galéré, non seulement pour arriver sur les côtes américaines, mais pour y acquérir leur liberté et tenter de trouver leur place dans la société. A partir d’aujourd’hui, le slogan « Tout le monde peut devenir Président des Etats-Unis » prend son véritable sens.
                      Et là de nous poser la traditionnelle question: "Mais est-ce bon pour nous?" Tous les gouvernements américains, qu'ils aient été démocrates ou républicains, ont généralement adopté une politique plutôt favorable à Israël, même si elle fut de temps en temps assortie de pressions plus ou moins appuyées. Contrairement à la France, l'électorat juif américain constitue pour le moment encore une force incontournable avec laquelle doit compter chaque candidat qui vise sérieusement à être élu. Et surtout, comme l’ont répété à l’envi chacun des candidats, « il existe des convergences d’intérêts et des valeurs éthiques partagées entre les Etats-Unis et Israël ».
                      Dans l'entourage d'Obama, on se plaisait à faire remarquer que le nombre de conseillers juifs ou pro-israéliens qu'il s'était choisi était impressionnant: David Axelrod, Robert Schrayer, Alan Solomont, Mc Kinnon (surnommé le "Karl Rove" démocrate), Denis Ross, ancien envoyé spécial de Bill Clinton pour le Proche-Orient, et pressenti pour remplacer Condoleeza Rice, ou encore l'étoile montante David Shapiro. Et par ailleurs, Israël compte de nombreux amis démocrates tant au Sénat qu’à la Chambre des Représentants, jusqu’à sa présidente Nancy Pelosi.
                      Soit. Mais les déclarations de campagne sont une chose, et la politique adoptée une fois en place en est une autre. Et c'est là qu'entre en jeu un élément déterminant dans la politique en général, et américaine en particulier : le Président n’est pas seul ! Ce que l’on appelle communément « L’administration américaine » est un organigramme tentaculaire composé de toute une armée de conseillers, éminences grises, hommes d'influence, idéologues, sans compter les instances du Parti. George W. Bush, par exemple, était entouré d'hommes dont l'engagement envers Israël ne faisait pas de doute: Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Karl Rove, Robert Perl ou Paul Wolfovitz.
                      De nombreux analystes ont ainsi prévu que la politique étrangère de l’Administration Obama risquait fortement de différer de celle de l’ère Bush, notamment sur le Proche-Orient, car le Parti Démocrate a subi durant ces dernières années une lente métamorphose sous l’influence de son aile gauche radicale. On sait déjà que les universités américaines sont devenues un vivier de la contestation de la traditionnelle politique pro-israélienne des différentes administrations américaines. Des accusations de « conspiration juive » ou « d’influence juive néfaste » ont été lancées par des milieux intellectuels de la gauche démocrate à propos de trois faits marquants de l’ère Bush : les attentats du 11 septembre, l’entrée en guerre en Irak et la crise financière actuelle.
                      Fait qui ne trompe pas non plus le succès impressionnant d’un livre de John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt, tous deux Démocrates, intitulé « The Israël lobby & the US Foreign Policy ». Dans leur ouvrage, ces deux universitaires présentent une sévère critique « de la politique pro-israélienne des différentes administrations US depuis 1972, qui n’était motivée ni moralement ni stratégiquement, mais découlait uniquement des pressions exercées par ce puissant lobby juif et pro-israélien sur les Présidents et les Congrès américains».
                      Pour donner une image des risques que comporte l’élection d’Obama sur la politique proche-orientale de Washington, il faut aussi se pencher sur le passé du nouveau Président, et sur les hommes qui l’entourent et l’influencent.
                      Il faut tout d’abord savoir que Barack Obama a été le sénateur situé le plus à gauche de tous les temps. Il y dix ans encore, il faisait partie du « New Party », aile activiste d’extrême-gauche du Parti Démocrate. Parmi les personnes qu’il écoute à propos du Proche-Orient, des « spécialistes » qui ont pour point commun et idée fixe « qu’Israël est le nœud du problème, et que seules des concessions israéliennes radicales régleront le conflit centenaire qui y règne. Ils ont pour nom Robert Malley, Zbignew Brzezinsky ou encore Samantha Powers. Cette dernière, candidate à un poste dans l’influent Conseil National de Sécurité, s’est dite « sur la même longueur d’ondes que les auteurs du livre sur le lobby pro-israélien » !
                      Et cette campagne a été rythmée par des révélations sur ses fréquentations présentes ou passées de personnages pour le moins douteux, tels que le pornographe stalinien Frank Marshall Davis, l’activiste révolutionnaire William Ayers, le révolutionnaire juif Saul Alinsky, partisan de l’utilisation de la démocratie pour promouvoir la révolution, le pasteur antisémite Jeremiah Wright, l’escroc pro-Saddam Tony Rezko, le chantre du terrorisme palestinien Rashid Kalidi, ou encore l’islamiste noir Louis Farrakhan, admirateur d’Hitler !! Toutes dues au hasard d’une rencontre ?
                      Un ancien militant des milieux de la gauche radicale américaine, proche à l’époque du mouvement des « Black Panthers », David Horowitz, n’a cessé de mettre en garde durant la campagne les Juifs américains, magnétisés par le charisme d’Obama. L’ancien gauchiste repenti est aujourd’hui directeur de « l’Institut Horowitz pour la Liberté », et rédacteur en chef du magazine « Front Page ».
                      Il se dit très inquiet de « l’influence grandissante des milieux et des idées de la gauche radical au sein du Parti Démocrate, car tout en étant laïques par essence, elles rejoignent objectivement celles défendues par l’Islamisme sur la nécessité de modifier profondément l’ordre mondial. Ces deux philosophies révolutionnaires sont devenues des alliés objectifs qui expriment un radicalisme utopique et extrêmement dangereux, car tous les moyens sont bons pour arriver aux buts fixés. Le 11 septembre l’a prouvé ».

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                      • #12
                        Suite du texte éclairant :


                        «
                        Certes », rappelle Horowitz, « le Parti Démocrate n’est pas encore arrivé à cet extrême », mais l’histoire politique des Etats-Unis depuis la candidature de George McGovern contre Nixon en 1972, les idées radicales ne cessent de progresser au sein du Parti. Et Barack Obama est le candidat démocrate le plus à gauche depuis McGovern. L’Histoire de Barack Obama est celle de l’Histoire du néo-communisme américain »
                        Le fait que le nouveau Président ait nié ou minimisé toutes ses influences ou fréquentations passées « n’est pas de bon augure », avertit Horowitz. « Ses conseillers en communication ont réussi à transformer une énigme en produit attractif et rassurant », regrette-t-il.
                        Au-delà du destin des Etats-Unis, c’est le sort d’Israël qui inquiète l’ancien marxiste. «Malheureusement, Israël n’a pas estimé à sa juste mesure les implications d’une ère Obama. Israël, comme souvent, oppose un déni sur les risques qu’il court à l’avenir. Il n’a pas encore intériorisé par exemple que l’objectif des Palestiniens n’est pas l’autodétermination mais la disparition de l’Etat juif. La période qui s’ouvre verra soit un activisme poussé de la politique étrangère américaine, avec des pressions très lourdes sur Israël, soit un affaiblissement notable de la position américaine dans le monde, avec pour corollaire un renforcement de l’Europe et de la Russie. Dans les deux cas, ce n’est pas bon pour Israël. »
                        Est-ce que celui qui disait à une époque « qu’Israël était une plaie infectée au Proche-Orient » ou « qu’Israël pratique un génocide à l’encontre des Palestiniens » a réellement évolué, ou bien a-t-il tout simplement été habillé de respectabilité pour pouvoir être mieux vendu à une Nation déçue par huit ans de règne républicain ?
                        Selon des analystes israéliens, la politique moyen-orientale d’une Administration Obama se résumerait à trois lignes précises : implication américaine dans les négociations entre Israël et la Syrie, aide au rapprochement entre le Hamas et le Fatah pour relancer le processus de paix avec Israël, et préférence donnée au dialogue avec l’Iran avant d’éventuelles nouvelles sanctions. Chacun des cas est synonyme de pressions intenses sur le gouvernement israélien.
                        Finalement, la réponse se trouve davantage dans les élections qui auront lieu en Israël que dans celles qui viennent de s’achever aux Etats-Unis. Seul un gouvernement fort et convaincu du bon droit d’Israël, seuls des dirigeants empreints d’idéal et du sens de l’honneur juif seront à même de faire face aux intimidations éventuelles venues d’Outre-Atlantique. Et là, il ne faudrait pas que ce soit un Barak qui l’emporte…. !
                        Tiré d'un site sioniste.

                        .................................................. ..................................

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                        • #13
                          MenDz bonsoir,

                          Figure toi que la vrai gde supercherie est belle est bien celle du changement de la constitution en Algerie. Rassure toi, aux US tt est buisness meme les presidentiel, mais la bas le peuple a le droit de dire ce qu'il pense. La victoire est si grande que meme les lobby ne peuvent plus rien dire ......... du moins pour le moment.

                          Mais revenant ds un autre poste de discussion sur la supercherie DZ, a ce jour je n'ai rien lu de ta part pour denoncé le viole et le vole de tte une dignité d'un peuple.


                          Alors, Mr MenDz ......... perso, reflechi avant de dire des anneries pareils.

                          Les Etats Unis donnent une lecons a tt une planète, la ou nous en algerie on arrive meme pas a faire de l'alternance......... bref; je te laisse........... Touche pas a Obama
                          Dernière modification par racdavid, 05 novembre 2008, 18h53.

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                          • #14
                            Arrête de jouer l'âne de service davidou.Ici on parle d'Obama. :22:

                            Si t'as rien à dire, épargne-nous tes idées fades.

                            Commentaire


                            • #15
                              Franchement tout porte à croire que l'élection d'Obama est une grande supercherie.
                              La pire connerie que j'ai lue sur l'élection d'Obama...

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