Bonjour,
Sonatrach désormais SPA depuis l’approbation en juiellet dernier de la nouvelle loi. Elle sera comme ttes les autres compagnies “ Investisseurs” se basera sur la compétition et la concurrence....
Dans un premier temps elle est 100 pour cent Sonatrach...les gisements et périmètres resteront propriété de l'état
Beaucoup de projets en amont et en aval, une augmentation de la production estimée au double dans 5 a 6 ans.....serons nous au rendez-vous
Le secteur des hydrocarbures représente 41 % du PIB, 77 % des recettes de l'Etat et 97 % des recettes d'exportation. L'Algérie dispose d'un vaste domaine minier, qui n'est exploré qu'à 20 %. Les réserves s'élèvent à 11 milliards de barils pour l'huile et 3 milliards de mètres cubes pour le gaz.
L'objectif des réformes (de la nouvelle loi) est de renforcer les partenariats et d'augmenter le nombre d'opérateurs dans le secteur afin d'accroître encore le rythme des découvertes. 20 opérateurs étrangers opèrent désormais en Algérie, Elle aussi opère a l’étranger.
La loi sur les hydrocarbures vise à redynamiser le secteur, en suivant les principes fondamentaux suivants :
· ouverture de l'ensemble des activités à tout investisseur privé ou public ;
· abandon par la puissance publique de ses prérogatives en matière commerciale ;
· nouveau cadre institutionnel et légal.
Deux agences autonomes prendront en charge le rôle de propriétaire du domaine minier de l'Etat, précédemment assuré par la Sonatrach. La première est l'agence ALNAFT, qui a déjà signé huit contrats de recherche et/ou d'exploitation en 2001. La deuxième est l'autorité de régulation, qui veille d'une part à l'application de la réglementation en matière de tarification du transport et d'accès au réseau de Sonatrach, d'autre part au respect des règles techniques et environnementales.
La Sonatrach, quant à elle, se concentre sur ses activités commerciales, en Algérie et à l'étranger. Elle sera traitée comme tout autre investisseur dans l'attribution des nouveaux contrats pétroliers et devra financer son développement sur ses propres ressources, sans garantie de l'Etat.
Sonatrach désormais SPA depuis l’approbation en juiellet dernier de la nouvelle loi. Elle sera comme ttes les autres compagnies “ Investisseurs” se basera sur la compétition et la concurrence....
Dans un premier temps elle est 100 pour cent Sonatrach...les gisements et périmètres resteront propriété de l'état
Beaucoup de projets en amont et en aval, une augmentation de la production estimée au double dans 5 a 6 ans.....serons nous au rendez-vous
Le secteur des hydrocarbures représente 41 % du PIB, 77 % des recettes de l'Etat et 97 % des recettes d'exportation. L'Algérie dispose d'un vaste domaine minier, qui n'est exploré qu'à 20 %. Les réserves s'élèvent à 11 milliards de barils pour l'huile et 3 milliards de mètres cubes pour le gaz.
L'objectif des réformes (de la nouvelle loi) est de renforcer les partenariats et d'augmenter le nombre d'opérateurs dans le secteur afin d'accroître encore le rythme des découvertes. 20 opérateurs étrangers opèrent désormais en Algérie, Elle aussi opère a l’étranger.
La loi sur les hydrocarbures vise à redynamiser le secteur, en suivant les principes fondamentaux suivants :
· ouverture de l'ensemble des activités à tout investisseur privé ou public ;
· abandon par la puissance publique de ses prérogatives en matière commerciale ;
· nouveau cadre institutionnel et légal.
Deux agences autonomes prendront en charge le rôle de propriétaire du domaine minier de l'Etat, précédemment assuré par la Sonatrach. La première est l'agence ALNAFT, qui a déjà signé huit contrats de recherche et/ou d'exploitation en 2001. La deuxième est l'autorité de régulation, qui veille d'une part à l'application de la réglementation en matière de tarification du transport et d'accès au réseau de Sonatrach, d'autre part au respect des règles techniques et environnementales.
La Sonatrach, quant à elle, se concentre sur ses activités commerciales, en Algérie et à l'étranger. Elle sera traitée comme tout autre investisseur dans l'attribution des nouveaux contrats pétroliers et devra financer son développement sur ses propres ressources, sans garantie de l'Etat.
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