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Les derniers incendies de septembre dernier ont anéanti non seulement des milliers d’oliviers dans la commune d’Aït Yahia Moussa, mais aussi soufflé de nombreuses habitations, notamment à Afir, l’un des villages les plus pauvres de cette municipalité.
Au lendemain de cette catastrophe, des équipes chargées d’évaluation des dégâts ont été dépêchées sur les lieux. “C’est un désastre”, nous avait répondu sous le couvert d’anonymat un membre de l’une des commissions.
Douze citoyens dont les habitations ont été endommagées ont eu des décisions de vingt-cinq millions de centimes chacun. Les jours suivants sur instruction du premier magistrat de la wilaya, les directeurs des différents services ont, à leur tour, fait des sorties sur les lieux. Des fiches techniques ont été établies par les différentes directions en vue d’inscrire des projets dans le cadre des plans de développement intégrés.
Des projets dont la réalisation coûtera au total quelque 20 milliards de centimes. Ainsi, selon une source locale, ces villages vont bénéficier de quatre pistes agricoles, d’une unité de soins avec deux logements dont l’un pour le médecin à Afir, d’un foyer pour urgence de deux terrains pour sports combinés pour Afir et Imoulak. Alors que des pistes sont inscrites pour le bitumage en béton bitumineux.
La piste d’Imoulak vers Afir a elle seule une cagnotte de deux cent soixante- dix millions de dinars. Le village d’Ivouhrène n’est pas en reste car il va bénéficier lui aussi d’autres opérations à la faveur des citoyens. Comme dernières nouvelles, nous avons appris que des fiches techniques déposées à la Duc prévoient l’amélioration urbaine tels l’éclairage public, le dallage des accès et même des trottoirs dans ces villages.
Des jeunes ou des familles entières pourraient espérer d’avoir des aides dans le cadre de l’agriculture et de l’élevage. On croit savoir que des arbustes leur seront donnés afin de remplacer tous les arbres brûlés. Par ailleurs, il a été décidé d’indemniser les oléiculteurs à hauteur de vingt mille dinars pour un olivier incendié. En tout cas, c’est une avancée, mais tout de même, il faut dire que ces villages gardent toujours les stigmates des incendies.
Liberté
Au lendemain de cette catastrophe, des équipes chargées d’évaluation des dégâts ont été dépêchées sur les lieux. “C’est un désastre”, nous avait répondu sous le couvert d’anonymat un membre de l’une des commissions.
Douze citoyens dont les habitations ont été endommagées ont eu des décisions de vingt-cinq millions de centimes chacun. Les jours suivants sur instruction du premier magistrat de la wilaya, les directeurs des différents services ont, à leur tour, fait des sorties sur les lieux. Des fiches techniques ont été établies par les différentes directions en vue d’inscrire des projets dans le cadre des plans de développement intégrés.
Des projets dont la réalisation coûtera au total quelque 20 milliards de centimes. Ainsi, selon une source locale, ces villages vont bénéficier de quatre pistes agricoles, d’une unité de soins avec deux logements dont l’un pour le médecin à Afir, d’un foyer pour urgence de deux terrains pour sports combinés pour Afir et Imoulak. Alors que des pistes sont inscrites pour le bitumage en béton bitumineux.
La piste d’Imoulak vers Afir a elle seule une cagnotte de deux cent soixante- dix millions de dinars. Le village d’Ivouhrène n’est pas en reste car il va bénéficier lui aussi d’autres opérations à la faveur des citoyens. Comme dernières nouvelles, nous avons appris que des fiches techniques déposées à la Duc prévoient l’amélioration urbaine tels l’éclairage public, le dallage des accès et même des trottoirs dans ces villages.
Des jeunes ou des familles entières pourraient espérer d’avoir des aides dans le cadre de l’agriculture et de l’élevage. On croit savoir que des arbustes leur seront donnés afin de remplacer tous les arbres brûlés. Par ailleurs, il a été décidé d’indemniser les oléiculteurs à hauteur de vingt mille dinars pour un olivier incendié. En tout cas, c’est une avancée, mais tout de même, il faut dire que ces villages gardent toujours les stigmates des incendies.
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