Le président de la République, SG du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz a appelé mercredi le Haut commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme à diligenter une mission d’enquête à la ville occupée d’El Aaiun pour s’enquérir de la situation des droit humains qui prévaut au Sahara occidental.
M. Abdelaziz a également avertis contre "les dangers qui peuvent en découler de la situation actuelle dans les territoires sous occupation marocaine", dans une interview à l’Agence de presse espagnole, EFE.
Le Président sahraoui a tenu "les autorités marocaines de responsables des crimes, d’enlèvements et d’arrestations des Sahraouis en raison de leur opinion politique, ajoutant que la répression est devenu le lot quotidien de la population sahraouie vivant dans les territoires occupés du Sahara occidental".
"Cela nous parait étrange au moment où ça se passe devant les yeux de la Mission de l’Onu pour le référendum au Sahara occidental (Minurso)", a déploré le président de la République, appelant à inclure la protection des droits humains des Sahraouis dans les compétences de cette mission.
"Il est temps pour l’ONU de dire au Maroc de mettre fin aux obstacles qu’il ne cesse de dresser devant le processus de paix, ainsi qu’aux violations des résolutions du conseil de sécurité appelant à des négociations directes et sans conditions préalables entre les deux parties, le Front Polisario et le Maroc", a-t-il souligné.
M. Abdelaziz a réitéré "la disponibilité du Front Polisario à poursuivre des négociations de bonne foi, conformément aux décisions de l’ONU en vue d’une solution qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination".
Il a enfin appelé "les gouvernements français et espagnol à revoir leur position actuelle, dont le Polisario estime en faveur de Rabat". M. Abdelaziz a formulé l’espoir que les résultats des élections américaines soient au bénéfice d’une solution pacifique et durable de l’ex colonie espagnole".
M. Abdelaziz a également avertis contre "les dangers qui peuvent en découler de la situation actuelle dans les territoires sous occupation marocaine", dans une interview à l’Agence de presse espagnole, EFE.
Le Président sahraoui a tenu "les autorités marocaines de responsables des crimes, d’enlèvements et d’arrestations des Sahraouis en raison de leur opinion politique, ajoutant que la répression est devenu le lot quotidien de la population sahraouie vivant dans les territoires occupés du Sahara occidental".
"Cela nous parait étrange au moment où ça se passe devant les yeux de la Mission de l’Onu pour le référendum au Sahara occidental (Minurso)", a déploré le président de la République, appelant à inclure la protection des droits humains des Sahraouis dans les compétences de cette mission.
"Il est temps pour l’ONU de dire au Maroc de mettre fin aux obstacles qu’il ne cesse de dresser devant le processus de paix, ainsi qu’aux violations des résolutions du conseil de sécurité appelant à des négociations directes et sans conditions préalables entre les deux parties, le Front Polisario et le Maroc", a-t-il souligné.
M. Abdelaziz a réitéré "la disponibilité du Front Polisario à poursuivre des négociations de bonne foi, conformément aux décisions de l’ONU en vue d’une solution qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination".
Il a enfin appelé "les gouvernements français et espagnol à revoir leur position actuelle, dont le Polisario estime en faveur de Rabat". M. Abdelaziz a formulé l’espoir que les résultats des élections américaines soient au bénéfice d’une solution pacifique et durable de l’ex colonie espagnole".
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