Les banques européennes doivent faire face à 800 milliards de créances "pourries"
--------------------------------------------------------------------
Nicolas Sarkozy continue sa tournée en vue de la préparation du sommet du G20, le 15 novembre à Washington. Après les syndicats lundi, le chef de l'Etat a reçu hier les députés et sénateurs du groupe de travail sur la situation financière internationale, devant lesquels il a dressé une première estimation du montant des créances « pourries » affectant les banques européennes : 800 milliards d'euros. « Ce chiffre est une estimation britannique non officielle du montant en dollars des actifs toxiques susceptibles d'affecter l'ensemble du système financier européen, Suisse comprise », a précisé peu après l'Elysée. Moyen de rectifier le tir, alors que le député communiste Jean-Pierre Brard, présent lors du déjeuner, avait laissé entendre dans un premier temps qu'il s'agissait d'une estimation du coût de la crise. Toujours dans la perspective du G20, le chef de l'Etat s'est entretenu hier avec l'écologiste Nicolas Hulot. Selon l'Elysée, les deux hommes ont « convenu d'unir leurs efforts pour mettre le développement durable au coeur de la refondation du système économique et financier ».
Les Echos.
--------------------------------------------------------------------
Nicolas Sarkozy continue sa tournée en vue de la préparation du sommet du G20, le 15 novembre à Washington. Après les syndicats lundi, le chef de l'Etat a reçu hier les députés et sénateurs du groupe de travail sur la situation financière internationale, devant lesquels il a dressé une première estimation du montant des créances « pourries » affectant les banques européennes : 800 milliards d'euros. « Ce chiffre est une estimation britannique non officielle du montant en dollars des actifs toxiques susceptibles d'affecter l'ensemble du système financier européen, Suisse comprise », a précisé peu après l'Elysée. Moyen de rectifier le tir, alors que le député communiste Jean-Pierre Brard, présent lors du déjeuner, avait laissé entendre dans un premier temps qu'il s'agissait d'une estimation du coût de la crise. Toujours dans la perspective du G20, le chef de l'Etat s'est entretenu hier avec l'écologiste Nicolas Hulot. Selon l'Elysée, les deux hommes ont « convenu d'unir leurs efforts pour mettre le développement durable au coeur de la refondation du système économique et financier ».
Les Echos.