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Bonjour,
C'est un changement radical par rapport à la pratique habituelle consistant à faire échouer violemment les manifestations contre le gouvernement.
Peu importe l’objectif et le motif de la manifesation..., le plus important dans ce fait est que c’est pour la premiere fois que ca arrive dans lhistoire…. il suffit La les manifestations soient autorisées par les services de polices.
http://www.jeuneafrique.com/gabarits...25lapolstnats0
C'est un changement radical par rapport à la pratique habituelle consistant à faire échouer violemment les manifestations contre le gouvernement.
Peu importe l’objectif et le motif de la manifesation..., le plus important dans ce fait est que c’est pour la premiere fois que ca arrive dans lhistoire…. il suffit La les manifestations soient autorisées par les services de polices.
NIGERIA - 14 septembre 2005 - PANAPRESS
Un nouveau chapitre s'est ouvert dans l'histoire des rassemblements et manifestations au Nigeria, avec des policiers accompagnant les manifestants à Lagos, mercredi, armés seulement de matraques au lieu de leurs armes à feu habituelles.
Bien que les policiers postés au niveau des "points chauds" de la capitale économique portaient des armes à feu, les dizaines d'autres qui accompagnaient les marcheurs à travers les grandes artères de la ville n'étaient pas armés.
Cette nouvelle forme d'intervention policière a été rendue possible par l'Inspecteur général intérimaire Sunday Ehindero, qui a ordonné à ses hommes de se défaire de leurs armes et de traiter les marcheurs avec courtoisie pour garantir le caractère pacifique de la marche.
M. Ehindero, lors d'une réunion avec Adams Oshiomhole du Nigeria Labour Congress (NLC) à Abuja, avait aussi assuré que la police ne disperserait pas la manifestation, ce qui constitue un changement radical par rapport à la pratique habituelle consistant à faire échouer violemment les manifestations contre le gouvernement.
Nombreux sont ceux qui attribuent ce revirement de la police à l'invalidation par un tribunal de la Loi sur l'ordre public, qui remontait à l'époque coloniale.
La police se basait sur cette loi qui stipule que les manifestations devaient être autorisées par ses services.
Bien que les policiers postés au niveau des "points chauds" de la capitale économique portaient des armes à feu, les dizaines d'autres qui accompagnaient les marcheurs à travers les grandes artères de la ville n'étaient pas armés.
Cette nouvelle forme d'intervention policière a été rendue possible par l'Inspecteur général intérimaire Sunday Ehindero, qui a ordonné à ses hommes de se défaire de leurs armes et de traiter les marcheurs avec courtoisie pour garantir le caractère pacifique de la marche.
M. Ehindero, lors d'une réunion avec Adams Oshiomhole du Nigeria Labour Congress (NLC) à Abuja, avait aussi assuré que la police ne disperserait pas la manifestation, ce qui constitue un changement radical par rapport à la pratique habituelle consistant à faire échouer violemment les manifestations contre le gouvernement.
Nombreux sont ceux qui attribuent ce revirement de la police à l'invalidation par un tribunal de la Loi sur l'ordre public, qui remontait à l'époque coloniale.
La police se basait sur cette loi qui stipule que les manifestations devaient être autorisées par ses services.
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