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L’affaire de la libération inattendue des touristes autrichiens par un groupe affilié à l’Organisation Al Qaida au Maghreb Islamique dans le Sahel a soulevé beaucoup de questions sur le rôle Libyen.
Pour connaître la nature des efforts fournis par Tripoli pour régler cette crise, El Khabar a contacté l’ambassade de la Libye en Algérie, mais toutes nos tentatives ont été vaines.
Les medias autrichiens n’hésitent pas à critiquer la manière par laquelle le gouvernement libyen a traité avec les ravisseurs notamment après des informations indiquant le rôle joué par cette dernière à travers l’association caritative d’Al Kadhafi pour convaincre ces ravisseurs de libérer les otages.
La ministre autrichienne des affaires étrangères Ursula Plassnik, indique que son pays n’a versé aucune rançon pour libérer ses compatriotes kidnappés par l’organisation le 22 février passé sur le sol Tunisien. Elle a affirmé que les efforts fournis par les pays de la région ont fini par clore le dossier.
Si l’Algérie a annoncé officiellement la fin de la crise, des sources médiatiques locales ont attribué à des « sources Algériennes » un « sentiment d’insatisfaction » quant à la manière dont la crise a été réglée, accusant l’Autriche et la Libye à de plus haut niveau de « soutien aux terroristes d’Al Qaida » dans la région.
- Elkhabar
Pour connaître la nature des efforts fournis par Tripoli pour régler cette crise, El Khabar a contacté l’ambassade de la Libye en Algérie, mais toutes nos tentatives ont été vaines.
Les medias autrichiens n’hésitent pas à critiquer la manière par laquelle le gouvernement libyen a traité avec les ravisseurs notamment après des informations indiquant le rôle joué par cette dernière à travers l’association caritative d’Al Kadhafi pour convaincre ces ravisseurs de libérer les otages.
La ministre autrichienne des affaires étrangères Ursula Plassnik, indique que son pays n’a versé aucune rançon pour libérer ses compatriotes kidnappés par l’organisation le 22 février passé sur le sol Tunisien. Elle a affirmé que les efforts fournis par les pays de la région ont fini par clore le dossier.
Si l’Algérie a annoncé officiellement la fin de la crise, des sources médiatiques locales ont attribué à des « sources Algériennes » un « sentiment d’insatisfaction » quant à la manière dont la crise a été réglée, accusant l’Autriche et la Libye à de plus haut niveau de « soutien aux terroristes d’Al Qaida » dans la région.
- Elkhabar