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“La médecine légale et société“ a été le thème central d’une rencontre nationale qui s’est tenue à la salle des conférences de l’auditorium de la faculté de médecine de l’université Abou-Bekr Belkaïd de Tlemcen.
A l’initiative du service de la médecine légale du CHU Tidjani Damerdji de Tlemcen. Cette rencontre qui s’est déroulée jeudi dernier a été marquée par la participation de professeurs en médecine, praticiens, chercheurs, juristes, représentants des corps de sécurité qui ont eu l’opportunité de débattre des thèmes variés ayant un lien avec la médecine légale.
C’est le wali de Tlemcen, M. Abdelouahab Nouri, qui a inauguré ces travaux à travers une allocution dans laquelle il a mis en relief, l’opportunité de cette rencontre et l’étude d’un thème qui constitue, a-t-il souligné, le sujet de l’heure.
Après cet intermède et durant la seule matinée, plusieurs communications ont été présentées par des intervenants et qui ont trait aux “incidents médico-légaux”, “l’expertise judiciaire du dommage corporel”, “la responsabilité médicale en milieu hospitalier”, “le certificat prénuptial serologie, MST et nullité du mariage” et enfin le “trafic d’organes en Algérie, est-ce un mythe ou réalité”. Ce dernier thème n’a pas manqué de faire l’objet d’un débat bien engagé parmi les participants.
La pathologie médico-légale a été également au centre de cette rencontre où des thèmes sensibles ont été traités notamment “Crime d’homicide conjugale”, “Violence et maladie mentale”, “Hémoragie intra-ventriculaire post-traumatique”. A ce sujet et dans une déclaration à El Moudjahid, le professeur Oussadite, chef de service de la médecine légale du CHU de Tlemcen a indiqué : “A travers l’avancée technologique, la médecine légale de par le monde connaît un développement sans précédent et participe activement à la recherche et la découverte de la vérité sera un crime ou un dommage corporel”, fera-t-il observé.
L’après-midi de cette journée a été marquée par la présentation de communication liées à l’analyse toxicologique et également “la scène de crime”. Pour ce dernier chapitre des thèmes liés à “la levée du corps”, “le magistrat et la scène du crime”, “la place de la médecine légale dans la scène de crime”, ont fait l’objet d’un débat appuyé par des supports didactiques sur datachow ont été ainsi traités. Le professeur Meslih A. de Tlemcen a tenu à préciser : “Aujourd’hui, la médecine légale à travers le pays connaît une profonde mutation et demeure ainsi bien positionnée pour accompagner l’action de la justice dans les scènes du crime, les dommages corporels et établir une vérité”. “Elle est la clé de tous les mystères dans les crimes de sang”, fera observer un magistrat prenant part à cette rencontre.
A signaler enfin que sur la base de ces communications des recommandations ont été sériés par le bureau de cette rencontre et qui visent à développer et enrichir davantage les connaissances en matière de médecine légale.
- ElMoudjahid
A l’initiative du service de la médecine légale du CHU Tidjani Damerdji de Tlemcen. Cette rencontre qui s’est déroulée jeudi dernier a été marquée par la participation de professeurs en médecine, praticiens, chercheurs, juristes, représentants des corps de sécurité qui ont eu l’opportunité de débattre des thèmes variés ayant un lien avec la médecine légale.
C’est le wali de Tlemcen, M. Abdelouahab Nouri, qui a inauguré ces travaux à travers une allocution dans laquelle il a mis en relief, l’opportunité de cette rencontre et l’étude d’un thème qui constitue, a-t-il souligné, le sujet de l’heure.
Après cet intermède et durant la seule matinée, plusieurs communications ont été présentées par des intervenants et qui ont trait aux “incidents médico-légaux”, “l’expertise judiciaire du dommage corporel”, “la responsabilité médicale en milieu hospitalier”, “le certificat prénuptial serologie, MST et nullité du mariage” et enfin le “trafic d’organes en Algérie, est-ce un mythe ou réalité”. Ce dernier thème n’a pas manqué de faire l’objet d’un débat bien engagé parmi les participants.
La pathologie médico-légale a été également au centre de cette rencontre où des thèmes sensibles ont été traités notamment “Crime d’homicide conjugale”, “Violence et maladie mentale”, “Hémoragie intra-ventriculaire post-traumatique”. A ce sujet et dans une déclaration à El Moudjahid, le professeur Oussadite, chef de service de la médecine légale du CHU de Tlemcen a indiqué : “A travers l’avancée technologique, la médecine légale de par le monde connaît un développement sans précédent et participe activement à la recherche et la découverte de la vérité sera un crime ou un dommage corporel”, fera-t-il observé.
L’après-midi de cette journée a été marquée par la présentation de communication liées à l’analyse toxicologique et également “la scène de crime”. Pour ce dernier chapitre des thèmes liés à “la levée du corps”, “le magistrat et la scène du crime”, “la place de la médecine légale dans la scène de crime”, ont fait l’objet d’un débat appuyé par des supports didactiques sur datachow ont été ainsi traités. Le professeur Meslih A. de Tlemcen a tenu à préciser : “Aujourd’hui, la médecine légale à travers le pays connaît une profonde mutation et demeure ainsi bien positionnée pour accompagner l’action de la justice dans les scènes du crime, les dommages corporels et établir une vérité”. “Elle est la clé de tous les mystères dans les crimes de sang”, fera observer un magistrat prenant part à cette rencontre.
A signaler enfin que sur la base de ces communications des recommandations ont été sériés par le bureau de cette rencontre et qui visent à développer et enrichir davantage les connaissances en matière de médecine légale.
- ElMoudjahid