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La mise au jour d'un nouveau potentiel antibiotique se veut prometteur quant à l'élaboration d'une nouvelle catégorie d'anti-infectieux qui permettraient de combattre efficacement les agents bactériens résistants aux médicaments utilisés présentement, selon une étude publiée dans le journal Cell.
Les scientifiques de l'Institut de médecine Howard Hugues à l'Université Rutgers soulignent que près d'un quart du taux de mortalité au plan international serait causé par des affections bactériennes, celles-ci résultant de plus en plus de pathogènes infectieux résistants aux traitements antibiotiques.
Par ailleurs, les auteurs ajoutent que les antibiotiques étaient jusqu'ici le principal cheval de bataille contre ces maladies bactériennes, mais que leur inquiétant pouvoir de résistance qui ne cesse de se s'intensifier démontre la nécessité criante de mettre sur pieds de nouvelles gammes d'antibactériens pour faire face à ce phénomène.
La cohorte d'experts auraient donc établi dans quelles mesures trois antibiotiques, précisément la myxopyronine, la corallopyronine et la ripostatine, interviennent pour éradiquer les agents infectieux.
Alors que la tuberculose est une maladie très fréquente et sensiblement compliquée à soigner, ces nouveaux antibiotiques expérimentaux pourraient probablement se révéler être des candidats de choix afin d'élaborer une thérapie antituberculeuse d'une plus grande efficacité, mais d'une plus courte durée.
Armée de leur découverte, l'équipe espère être en mesure de diminuer le traitement actuel de 6 mois contre la tuberculose à une durée relativement plus courte, soit à 2 semaines, tout comme pour les autres infections bactériennes, ce qui permettrait d'enrayer la maladie.
Source: Radio-canada
Les scientifiques de l'Institut de médecine Howard Hugues à l'Université Rutgers soulignent que près d'un quart du taux de mortalité au plan international serait causé par des affections bactériennes, celles-ci résultant de plus en plus de pathogènes infectieux résistants aux traitements antibiotiques.
Par ailleurs, les auteurs ajoutent que les antibiotiques étaient jusqu'ici le principal cheval de bataille contre ces maladies bactériennes, mais que leur inquiétant pouvoir de résistance qui ne cesse de se s'intensifier démontre la nécessité criante de mettre sur pieds de nouvelles gammes d'antibactériens pour faire face à ce phénomène.
La cohorte d'experts auraient donc établi dans quelles mesures trois antibiotiques, précisément la myxopyronine, la corallopyronine et la ripostatine, interviennent pour éradiquer les agents infectieux.
Alors que la tuberculose est une maladie très fréquente et sensiblement compliquée à soigner, ces nouveaux antibiotiques expérimentaux pourraient probablement se révéler être des candidats de choix afin d'élaborer une thérapie antituberculeuse d'une plus grande efficacité, mais d'une plus courte durée.
Armée de leur découverte, l'équipe espère être en mesure de diminuer le traitement actuel de 6 mois contre la tuberculose à une durée relativement plus courte, soit à 2 semaines, tout comme pour les autres infections bactériennes, ce qui permettrait d'enrayer la maladie.
Source: Radio-canada