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Sur les starting-blocks depuis quelques mois, la banque HSBC Algérie, filiale d’un des plus importants groupes bancaires du monde, a annoncé à la faveur d’une cérémonie organisée lundi dernier à cet effet à l’hôtel El Djazaïr son entrée effective dans la compétition interbancaire qui se déroule sur le marché algérien.
S’exprimant à cette occasion, Rachid Sekak, dirigeant principal de la banque, a qualifié l’économie algérienne d’« émergente », susceptible d’offrir les meilleures opportunités de croissance de la région, et qu’à ce titre elle intéresse beaucoup HSBC que d’aucuns considèrent comme l’un des leaders mondiaux dans ce type de marchés.
Soutenue par son groupe qui emploie plus de 320 000 personnes à travers le monde, HSBC Algeria peut efficacement contribuer à développer l’intermédiation financière et dynamiser les marchés de capitaux qui ont du mal à prendre l’essor qui convient à l’économie algérienne, qui affiche pourtant des ambitions dans ces domaines.
Déployée avec succès dans plus de 80 pays, HSBC n’a aucune raison d’échouer en Algérie où elle souhaite capter des affaires à la mesure de ses capacités de financement de grands investissements (pétrochimie, hydraulique, etc.), de commerce extérieur et de mobilisation de l’épargne, en général.
D'apres El watan
Par Nordine Grim. Le 22 octobre 2008.
S’exprimant à cette occasion, Rachid Sekak, dirigeant principal de la banque, a qualifié l’économie algérienne d’« émergente », susceptible d’offrir les meilleures opportunités de croissance de la région, et qu’à ce titre elle intéresse beaucoup HSBC que d’aucuns considèrent comme l’un des leaders mondiaux dans ce type de marchés.
Soutenue par son groupe qui emploie plus de 320 000 personnes à travers le monde, HSBC Algeria peut efficacement contribuer à développer l’intermédiation financière et dynamiser les marchés de capitaux qui ont du mal à prendre l’essor qui convient à l’économie algérienne, qui affiche pourtant des ambitions dans ces domaines.
Déployée avec succès dans plus de 80 pays, HSBC n’a aucune raison d’échouer en Algérie où elle souhaite capter des affaires à la mesure de ses capacités de financement de grands investissements (pétrochimie, hydraulique, etc.), de commerce extérieur et de mobilisation de l’épargne, en général.
D'apres El watan
Par Nordine Grim. Le 22 octobre 2008.
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