Tu griffes l’ombre avec tes cils
Premier essor du plaisir
Qui fait naitre sur mon torse
L’abime divin du plaisir
Quand ta bouche perd les mots
Ton corps sait mieux dire
Les douces phrases du silence
Qui me font der-chef frémir
On danse phalène sur des rythmes lumineux
Les yeux dévorés par le vide
Nos ailes façonnent les cristaux de nos
Serments informulés
Nos fronts propagent les ondes nacrées
Sur les draps de cette chambre folle
Tes yeux m’annoncent les cieux
Qui écrasent tes paupières déjà closes
Ton cou s’allonge jusqu’à dieu
Le soleil sur tes reins se pose
Pour se ressourcer de chaleur humaine
Je me déploie nuage du soir
Su l’horizon de laine rose
Le soleil s’efface intimidé
par cet instant, métempsychose
Gondolier des rivières de tes pensées
Qui n’ont de sens que le non-être
De ces deux âmes entrelacées
De ces deux corps qui s’enchevêtres
Premier essor du plaisir
Qui fait naitre sur mon torse
L’abime divin du plaisir
Quand ta bouche perd les mots
Ton corps sait mieux dire
Les douces phrases du silence
Qui me font der-chef frémir
On danse phalène sur des rythmes lumineux
Les yeux dévorés par le vide
Nos ailes façonnent les cristaux de nos
Serments informulés
Nos fronts propagent les ondes nacrées
Sur les draps de cette chambre folle
Tes yeux m’annoncent les cieux
Qui écrasent tes paupières déjà closes
Ton cou s’allonge jusqu’à dieu
Le soleil sur tes reins se pose
Pour se ressourcer de chaleur humaine
Je me déploie nuage du soir
Su l’horizon de laine rose
Le soleil s’efface intimidé
par cet instant, métempsychose
Gondolier des rivières de tes pensées
Qui n’ont de sens que le non-être
De ces deux âmes entrelacées
De ces deux corps qui s’enchevêtres
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