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Colloque international de la Tariqa tidjania à El Oued

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  • Colloque international de la Tariqa tidjania à El Oued

    Le Colloque international de la Tariqa tidjania, organisé à El Oued, aura eu la particularité d’avoir jeté les bases d’un mouvement fédérateur visant à faire de cette confrérie «une grande force spirituelle au service de l’humanité», a souligné hier le Dr Mohamed Laïd Tidjani, cheikh de la zaouïa de Témacine (Touggourt).

    Dans une déclaration à l’agence APS, le cheikh de la zaouïa de Témacine, qui a présidé ce colloque, le second du genre après celui d’Aïn Madhi (Laghouat) en 2006, a estimé qu’il s’agit «d’une réussite, à plusieurs égards». «Le discours soufi à l’ère de la mondialisation» a été le thème central de ce colloque. Cheikh Laïd Tidjani a indiqué que parmi les recommandations du forum, il y a eu le projet de création d’un «noyau» permanent ayant pour objectif de consolider la cohésion de groupe de la confrérie et coordonner les actions des différents pôles de la Tariqa tidjania dans le monde. Partant du constat que «le monde est en train de se structurer en grands ensembles», cheikh Tidjani, docteur en physique des solides, a fait valoir la nécessité pour la Tidjania de «rassembler toutes ses compétences» dont les différents pôles, établis dans pratiquement tous les continents, «parlent le même langage, ont les mêmes approches». «Il faut donc se rassembler, fédérer nos efforts, travailler ensemble», a poursuivi le leader spirituel, répondant par un «pourquoi pas?» à l’idée de faire de Témacine, qui est un des hauts lieux de l’histoire de la Tariqa tidjania, le siège du futur «noyau» dont la date de création n’a pas encore été fixée par les participants au Colloque international.

    C’est dans cette oasis que repose Cheikh Hadj Ali Temacini (1766-1844), qui assuma à son époque le Khalifat général de la Tidjania que lui avait confiée le fondateur de la confrérie à Aïn Madhi, Cheikh Ahmed Tidjani (1735-1815). La zaouïa de Témacine fut fondée sur le lieu Tamelahat en 1805. Dans cette nouvelle dynamique, les participants au Colloque international d’El Oued ont aussi recommandé de déployer les moyens pour faire de la Tariqa tidjania un grand courant de pensée en phase «avec son temps». «Il faut vivre avec son temps, tisser des liens, lancer des passerelles avec ses partenaires dans le monde entier», a souligné cheikh Mohamed Laïd Tidjani.

    Quant au prochain colloque international de la Tariqa, qui se tiendra à Alger, cheikh Laïd Tidjani a souhaité que ce forum puisse accueillir davantage de participants. Celui d’El Oued a vu la participation de 14 pays. Les nombreuses délégations étrangères de la Tariqa tidjania étaient hier à Aïn Madhi (Laghouat), berceau de la confrérie. Elles s’étaient regroupées vendredi, pour une journée spirituelle à Témacine, marquée par le rite du «Ouadhif», une structure d’invocations en choeur consacrée notamment à l’unicité de Dieu. Une soirée théologique, entrecoupée par de la poésie d’essence religieuse, a bouclé ce rendez-vous de l’une des plus grandes écoles mystiques du monde, avec comme fondement «l’amour de Dieu», et le strict respect de l’Islam sunnite générateur de paix, de l’enseignement du Sceau des prophètes, Mohammed (Qsssl). Les adeptes de la Tariqa tidjania glorifient notamment la «Salat El fatihi». «Vivre l’Islam le plus simplement du monde», dans ses principes de tolérance.

    Par l'Expression

  • #2
    Ce qui suit est le fruit de mes recherches personnelles, je le met à votre disposition. Loin de tout prosélytisme, n'étant pas adepte de la Tidjania, le but est de partager ce que j'ai pu glaner à travers mes recherches, et faire connaitre un peu l'histoire de cette Tariqa et des hommes qui l’ont façonné, une tariqa qui a su attirer des adeptes à travers le monde entier, et qui a inspiré le roman "Djebel Amour" à F.Roche (à lire avec prudence).

    C’est à Ain Madhi que naquit en 1737, dans la maison de Si Mohammed Ben El Mokhtar Tidjani, un garçon qui va marquer son temps et l’histoire de l’Afrique. Il fera du petit Ksar de Ain Madhi une ville dont la renommée dépassera, un jour les frontières du Sahara, du Maghreb et de l’Afrique. Sid Ahmed Tidjani, car il s’agit de lui, montra dès son jeune âge une surprenante intelligence et une mémoire fabuleuse. D’une grande piété, généreux et magnanime, il fonda l’ordre Tidjani qui va, par la bonne parole et une doctrine philosophique basée sur la tolérance et l’amour de l’autre, conquérir le Maghreb et étendre ses racines jusqu’en Afrique occidentale.
    Mais les turcs voyaient d’un mauvais œil les activités du chérif et le crédit dont il jouissait auprès des populations les inquiétait. Ils tentèrent à maintes reprises de le soumettre mais Tidjani n’était pas de ceux qui se résignent facilement aux caprices des chefs temporels. Ils décidèrent alors de réduire son influence en ruinant le ksar qui affichait une opulence arrogante à leurs yeux.
    Sid Ahmed Tidjani se retira à Bousemghoun d’où il s’exila à Fès où il mourut en 1815 laissant deux enfants, Mohammed El Kébir et Mohammed Es Seghir. La Tariqa était alors à l’apogée de sa splendeur et le Ksar de Ain Madhi affichait une magnificence qui tranchait ostensiblement avec les autres villes du Sahara.
    C’est cette prospérité qui semble être le principal motif des malheurs de Ain Madhi. En effet, cela lui attirait les foudres des deys d’Alger, d’Oran et du Titteri. Il est vrai aussi que le Chérif Tidjani, sans afficher une quelconque inimitié vis à vis des turcs, refusait de reconnaître la suzeraineté des deys, et cela lui valait, de temps à autre, des visites dévastatrices.
    En effet les maitres d’Alger, d’Oran et du Titteri se donnaient les prétextes les plus excentriques et les plus capricieux pour aller le soulager de quelques Boudjous en argent.
    Le Chérif se pliait à leurs exigences pour éviter à son ksar l’anéantissement, et se résignait à leur verser des tributs exorbitants.
    En 1783, le bey d’Oran, Mohammed EL Kebir (à ne pas confondre avec Si Mohammed Lekbir Tidjani), à la tête d’une forte colonne, se présenta sous les murs de Ain Madhi qu’il soumit à un pilonnage systématique. Après avoir rasé la muraille du Ksar il lâcha ses hommes qui s’adonnèrent à un pillage "consciencieux" de la ville. Tidjani ne trouva son salut que dans le village de Bousemghoun où il se réfugia en attendant des jours meilleurs.
    A contre-cœur, les gens de Ain Madhi acceptèrent de verser immédiatement un tribut et promirent de payer la lezma annuelle qui leur était imposée par le bey.

    Cinq ans plus tard, le bey Osman, fils de Mohammed El Kébir, auquel il a succédé à la tête du Beylicat d’Oran, prit à son tour le chemin de la capitale des Tidjanis. L’impôt, qu’il trouvait d’ailleurs très en déça des possibilités qu’offre la prospérité de la cité sacrée, tardait à rentrer et il tenait à faire respecter leur engagement aux Madhouis et, pourquoi pas, augmenter la contribution de l’opulente cité et leur soutirer quelques boudjous supplémentaire.
    Il faut dire que, l’éloignement aidant, les gens de Ain Madhi mettaient beaucoup de mauvaise volonté à s’acquitter de l’impôt ! Osman leur imposa donc un tribut de 17000 Boudjous en argent et obtint l’engagement d’une ponctualité sans faille quand au versement de la lezma. Il s’en alla satisfait du résultat de sa tournée !
    Après cette expédition les deys semblent avoir oublié Ain Madhi qui connut une période d’accalmie; les Tidjanis ne demandaient pas mieux. Si Mohammed mit à profit cette relative quiétude et renforça les remparts de sa capitale en prévision d’une inéluctable incursion turque; l’avenir va justifier ces mesures. Pour le moment les Madhouis sont rassérénés et Ain Madhi a retrouvé sa santé d’antan. Pas pour longtemps !
    En 1822 le dey Hussein d’Alger lança ses troupe sur le fief des Tidjanis. Il cannone la ville avant de se retirer, fou de rage, en raison de l’infructuosité de son entreprise et des pertes subies.
    Ne pouvant se résoudre à un échec aussi humiliant, il ordonna au bey du Titteri, Mohammed Boumezrag , de réduire la place et ramener le chérif de Ain Madhi à de meilleurs sentiments. Boumezrag ne se le fit pas répéter. Il sauta sur son destrier et, à la tête d’une forte colonne, traversa les hauts plateaux du nord au sud, à une vitesse fulgurante et arriva au pied de l’atlas saharien à quelques encablûres de la capitale des Tidjanis. A sa grande surprise, Si Mohammed Lekbir, averti à temps, l’attendait de pied ferme. Les Madhouis, maintenant rompus aux techniques des Ottomans, engagèrent le combat avec une telle férocité que les turcs perdent pied et opèrent une retraite à brides abattues ; ce qui acheva de les déconsidérer définitivement aux yeux des sahariens.
    Ce succès va enhardir les autres tribus, qui ont longtemps subit le joug des turcs avec résignation, et les inciter à relever la tête. Si Mohammed El Kébir lui même, las de subir les incursion des beys, songeait à adopter vis à vis des Ottomans une politique plus offensive, plus dissuasive. Et, lorsque, en 1827, les Hachem de la plaine de Ghris, tribu de l’émir Abdelkader, le sollicitent pour combattre les turcs et libérer le pays, il n’hésita pas un instant malgré l’opposition de son petit frère, Si Mohammed Seghir, qui s’est montré septique et peu enclin à répondre à l’appel des Hachem.
    A la tête de quatre cents cavaliers, Sidi Mohammed Lekbir prit la direction du nord, décidé à en découdre avec le bey Hassan d’Oran. Cette expédition fût fatale au cheikh des Tidjanis.
    Son arrivée à Mascara dont il voulait surprendre la garnison était presque simultanée avec celle des troupes du bey Hassan. Le combat, immédiatement engagé, tourna vite à la débandade et les tribus coalisées autour du chérif prirent la fuite dans un désordre forcené.
    Abandonné de ses alliés, Tidjani n’avait qu’une issue : résister ! Les turcs ne le lâcheraient pas, il en était conscient ! Il connaissait les sentiments qu’ils nourrissaient à son endroit ; ils ne lui feront pas de cadeau, cela est entendu!
    Il savait aussi la précarité de sa situation ; il s’agissait pour lui de vendre chèrement sa peau.
    Entouré du dernier carré de ses fidèles cavaliers, Tidjani résista avec acharnement, mais le vide se faisait autour de lui au fur et à mesure que le cercle se renfermait. Sous le poids du nombre, les plus fidèles d’entre les fidèles continuèrent à le couvrir, exposant leurs poitrines aux yatagans et aux balles des soldats du bey. Une balle atteignit le chérif qui s’affala parmi les siens qui continuaient à faire un véritable cordon autour de lui.

    Il vivait encore lorsqu’il est découvert par l’un des auxiliaires des turcs, Adda Ben Kaddour, Agha des Zmala, qui l’acheva d’une balle et alla apporter la nouvelle au bey Hassan.
    Le bey ordonna de trancher la tête de Si Mohammed Tidjani et envoya le maccabre trophé, bien enveloppé, au dey Hussein qui, pour effrayer ceux qui pourraient avoir des idées de rebellion, ordonna de l’exposer à Bab Azzoun !

    La nouvelle consterna profondément les Madhouis et les gens du Sahara d’une manière générale. Les fidèles de la Tariqa apprirent avec stupéfaction la nouvelle, pleurèrent leur chef et adressèrent leur prières au seigneur, vouant aux gémonies la sublime porte, les dey et les pachas. Les Ottomans seront à tout jamais des ennemis !
    La direction de la Tidjania échoit à Si Mohammed Séghir, successeur naturel de son ainé.
    Plus enclin à la méditation qu’à l’aventure, le nouveau maître de Ain Madhi aspirait à vivre dans la paix et la sérénité ; il passait plus de temps à l’ombre de la mosquée à égrener son chapelet qu’à chevaucher à travers les espaces arides du Sahara à la recherche de conquêtes et de butins. Il ne chercha même pas à venger son frère !
    Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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    • #3
      La confrérie des Tijaniya aurait beaucoup plus d'influence au-delà des nos frontières surtout au Sénégal et dans la région soudanaises du Darfour. Elle jouit d'un statut spécial au Maroc où elle maintient son influence sur les régions où ses adeptes vivent, par contre en Algérie elle sera utilisé que pour des fins politiques locales. Pourquoi le Sénégal est toujours sur la même ligne que le Maroc? Dernièrement le prédident sénégalien se serait aligné avec M6 sur sa position envers la Mauritanie. On estime le nombre des adeptes à quelques 200 000 000. Je trouve ce nombre exagéré.
      En plus Ils auraient collaboré avec les forces de l'occupation et se seraient opposés aux troupes d'Emir Abdelkader qui les a menacé. C'est pour cela qu'on parle de resistance aux beyleks mais jamais des relations avec l'Emir.
      Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

      J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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      • #4
        Djamel
        Quand on ne connait pas l'histoire, il vaut mieux se taire.
        Les Tidjanis ne s'étaient pas opposé à l'émir, ils avaient soutenu un siège de 8 mois imposé par l'émir. Je parlerais plus tard de cet épisode, mais saches qu'en 1837 (l'année où l'émir avait mit ses batteries devant Ain Madhi), les français occupaient à peines quelques bandes du littoral algérien et n'avaient pas pénétré à l'intérieur du pays.
        Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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        • #5
          Ettargui

          Exact, les Tidjanis ont combattu aux côtés de l'Emir Abdelkader. C'était des farouches guerriers qui ont donné beaucoup de fil à retordre à tous les colons. Leur enseignement n'a strictement rien à voir avec celui des salafistes ou des wahhabistes, ce sont de farouches partisans de la négociation et du pacifisme mais quand ils sont agressés, ils deviennent redoutables. D'ailleurs les traces historiques existent encore de leur contribution à la liberté sous toutes les occupations.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Quand est-ce que les Tidjanis ont combattu les troupes françaises et pourquoi attendre la réponse afin que tu ailles te ressourcer ailleurs, alors je te donne la réponse maintenant : Ils n'ont jamais lutté contre les troupes du colonialisme. C'est comme les Benguana de la région de Biskra. Et ils votent Bouteflika pour votre information...
            Dernière modification par djamal 2008, 09 novembre 2008, 21h40.
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            • #7
              J'attends de bien rédiger mon papier, de le mettre en forme, pour ne pas distiller des âneries. Dès le début j'avais annoncé la couleur : il s'agit d'un travail de rechrche, un travail personnel qui m'a pris beaucoup de temps ! Les ressources documentaires sont dans mon PC.
              Pour ta part tu ignores manifestement l'histoire de cette région, le plus sage serait donc de ne pas t'aventurer sur un terrain que tu ne connais pas.
              Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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              • #8
                N'oublie pas la date de la résistance depuis Aïn Madhi, dans ta recherche, je te souhaite bonne chance.
                Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

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                • #9
                  La résistance opposée par les gens de Laghouat aux généraux Pélissier, Bouscaren, Youssou...(décembre 1852) est restée dans les anales (Pour ton information Ain Madhi est à environ 30 Km de Laghouat, et beaucoup de Laghouatis sont Tidjanis). Idem à l'est du pays.
                  En Afrique, le résistance s'est faite sous l'étendard des Tidjanis commandé par El Hadj Omar Tall (mort en 1863) qui était d'obédience tidjane.
                  Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                  • #10
                    Maintenant vous parlez de Laghouat qui n'ont rien à voir avec les tijaniya, et ils en veulent à eux pour leur alliance avec la France, et je rappelle que leur chef avait à un temps épousait Aurélie Picard mais c'est non plus dans tes recherches. As-tu visité son palais " Cour d'Anne" nommée après la soeur d' Aurelie. Son mariage aurait été approuvée par le Mufti Hanafite d'Alger, qui lui prédit qu'elle n'aurait d'enfants avec lui, et qu'il ne faillait pas qu'il s'inquiète autrement il serait non-valide de se marier avec une fille de l'ennemi, ainsi fut le destin.
                    Dernière modification par djamal 2008, 09 novembre 2008, 22h25.
                    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

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                    • #11
                      Djamel 2008
                      Et ils votent Bouteflika pour votre information...
                      Et aprés? il se peut qu'il y ait des tijanis qui votent pour Bouteflika comme il en existe qui ne votent pas pour lui. Bouteflika affiche clairement son soutien à toutes les confréries soufies en Algérie et c'est normal que les Cheikhs de ces confréries lui affichent leur sympathie. A ma connaissance il n ya jamais eu de mots d'ordre de la part des cheikhs de la Tidjania appelant leurs adeptes à voter pour Bouteflika

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                      • #12
                        Hahahaha
                        Je vois ! ta référence est le "ROMAN" de F.Roche. Tu n'as pas lu ma mise en garde. "Djebel Amour" est un ROMAN et il ne peut être pris comme une référence documentaire! Tu demandes trop à un roman. De plus les péripéties du roman se déroulent après 1870, près de la moitié de l'Algérie était sous occupation et l'émir lui même était entré dans les bonne grâces de la France.

                        Dire que les Laghouatis n'ont rien à voir avec la Tidjani montre combien tu ignores cette question.

                        PS
                        Mises au point :
                        1. L'orthographe est KOURDANE et non "cour d'Anne"
                        2. L'Islam n'interdit pas le mariage avec une chrétienne et le mariage de Sid Ahmed Tidjani (le petit fils du fondateur de l'ordre) avec Aurélie n'avait rien de répréhensible.
                        Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                        • #13
                          Le code est secret chez eux, ce que dit leur chef est repris à la lettre. Moi je n'ai pas de problème avec. En revanche j'ai un problème avec ce rite soufiste qui aurait pris des positions anti-nationalistes pendant l'occupation, et, ce faisant, des positions anti-musulmans ainsi.
                          Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                          J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                          • #14
                            C'est faux, ils ne savait pas écrire en ces temps-là C'est bien cour d'Anne bien que c'est écrit kourdane, y'a même des gens qui penserait à cour d'ânes, lais c'est après sa soeur qu'elle à nommé ce palais. Mais non ce n'est pas le fait qu'il aurait épousé une des gens du livre mais une fille de l'ennemi, alors pourquoi aurait-il voulu la bénédiction du Mufti hanafite alors qu'il serait plutôt du rite Chaffe3ite ou même soufiste, c'était pour donner à son mariage une certaine validation qui n'existait pas à ces temps. Comment épouser un fille d'un peuple qui aurait commis des massacres tel que d'Al Assafiya, lieu-dit près de Laghouat, en mettons le feu dans une grotte que les habitants s'y étaient réfugié? Et vous trouvez quelque chose de glorifiant dans cette confrérie, qui toujours représentait l'obscurantisme à outrance.

                            Si tu veux vraiment savoir ce que fait cette confrérie à partir du Maroc et quel rôle elle voudrait jouer en Algérie, je pourrais t'informer encore plus. Ce n'est pas par hasard que notre gouvernement les veut de son coté.
                            Dernière modification par djamal 2008, 09 novembre 2008, 23h03.
                            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                            • #15
                              Tijani ......... encore des Marrabou du senegal

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