La réhabilitation des zones industrielles commence à prendre forme. Le projet, vieux de plusieurs années, vient d'être officiellement lancé par le ministère de l'Industrie et de la promotion des investissements, avec le démarrage d'un concours de recrutement de bureaux d'études internationaux spécialisés la réhabilitation et le réaménagement des zones industrielles, appris TSA auprès de ce ministère.
Cette première étape du projet concerne l'élaboration des études techniques d'exécution des opérations de réhabilitation et d'aménagement des zones industrielles. Les bureaux d'études retenus seront également chargés du suivi et du contrôle des travaux de réhabilitation de ces zones.
Avec ce projet, le gouvernement entend mettre de l'ordre dans les zones industrielles en les organisant et en récupérant les terrains affectés et non exploités.
Des sociétés de gestion de ces zones devraient être créées pour mieux gérer les espaces, assurer la sécurité et rendre attractive les zones industrielles.
Ces dernières sont actuellement dans une situation catastrophique, faute de sociétés de gestion et à cause de l'importance du nombre de terrains non exploités et des usines à l'arrêt.
Autre soucis : les occupants de ces zones refusent souvent de payer leurs cotisations à l'Etat.
En Algérie, seules les zones industrielles pétrolières comme Arzew et Skikda sont bien gérées notamment parce que les entreprises qui y sont présentent s'acquittent régulièrement de leurs cotisations.
(c) TSA 10/11/2008
Cette première étape du projet concerne l'élaboration des études techniques d'exécution des opérations de réhabilitation et d'aménagement des zones industrielles. Les bureaux d'études retenus seront également chargés du suivi et du contrôle des travaux de réhabilitation de ces zones.
Avec ce projet, le gouvernement entend mettre de l'ordre dans les zones industrielles en les organisant et en récupérant les terrains affectés et non exploités.
Des sociétés de gestion de ces zones devraient être créées pour mieux gérer les espaces, assurer la sécurité et rendre attractive les zones industrielles.
Ces dernières sont actuellement dans une situation catastrophique, faute de sociétés de gestion et à cause de l'importance du nombre de terrains non exploités et des usines à l'arrêt.
Autre soucis : les occupants de ces zones refusent souvent de payer leurs cotisations à l'Etat.
En Algérie, seules les zones industrielles pétrolières comme Arzew et Skikda sont bien gérées notamment parce que les entreprises qui y sont présentent s'acquittent régulièrement de leurs cotisations.
(c) TSA 10/11/2008
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