«Le dossier du projet d’une nouvelle carte administrative sera soumis bientôt pour examen au conseil du gouvernement». C’est ce qu’a déclaré, hier, en marge de la journée commémorative des inondations du 10 novembre 2001 à Bab El-Oued, Nouredine Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, qui a précisé, par ailleurs, que «l’opération de découpage est achevée». Le ministre a saisi cette occasion pour donner quelques précisions sur le nombre de daïras qui seront touchées en annonçant le nombre de «95, et qui seront promues, dans un premier temps et à titre transitoire, au rang de wilayas déléguées, avant de passer au statut de wilayas».
Ce chiffre devrait changer, a également annoncé M. Zerhouni. Quant à l’objectif recherché à travers cette reconfiguration de la carte administrative qui remonte à 1984, le représentant du gouvernement a déclaré: «Notre objectif est de renforcer l’administration, de la rapprocher des citoyens et de prendre en charge les nouvelles donnes de la répartition de notre population dans le territoire sans pour autant négliger les zones où il y a moins de populations». A rappeler que lors de sa dernière visite dans la wilaya de Naâma, M. Zerhouni est revenu longuement sur le nouveau découpage administratif, annoncé par le président de la République en indiquant que «l’idée de passer au nouveau découpage administratif est inspirée des résultats du dernier recensement général de la population. Dans sa présentation du projet, le ministre s’est appuyé sur des données statistiques comparatives en rappelant que «dans les années 1960 et 1970, 30 % de la population vivaient dans les centres urbains. Aujourd’hui, ce sont 86% qui occupent les centres urbains. Ça veut dire que la configuration et l’implantation des citoyens a changé». Ce fait signifie aux yeux du ministre que «dans les endroits où la population a augmenté, il y a un déficit en termes de proximité administrative. Par contre, dans des zones où la population a baissé, il peut y avoir une sur dotation».
Ce chiffre devrait changer, a également annoncé M. Zerhouni. Quant à l’objectif recherché à travers cette reconfiguration de la carte administrative qui remonte à 1984, le représentant du gouvernement a déclaré: «Notre objectif est de renforcer l’administration, de la rapprocher des citoyens et de prendre en charge les nouvelles donnes de la répartition de notre population dans le territoire sans pour autant négliger les zones où il y a moins de populations». A rappeler que lors de sa dernière visite dans la wilaya de Naâma, M. Zerhouni est revenu longuement sur le nouveau découpage administratif, annoncé par le président de la République en indiquant que «l’idée de passer au nouveau découpage administratif est inspirée des résultats du dernier recensement général de la population. Dans sa présentation du projet, le ministre s’est appuyé sur des données statistiques comparatives en rappelant que «dans les années 1960 et 1970, 30 % de la population vivaient dans les centres urbains. Aujourd’hui, ce sont 86% qui occupent les centres urbains. Ça veut dire que la configuration et l’implantation des citoyens a changé». Ce fait signifie aux yeux du ministre que «dans les endroits où la population a augmenté, il y a un déficit en termes de proximité administrative. Par contre, dans des zones où la population a baissé, il peut y avoir une sur dotation».
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