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ALGER, 11 nov 2008 (AFP) - La société publique algérienne de l'électricité et du gaz (Sonelgaz) va investir près de 3,3 milliards de dollars d'ici 2017 pour développer le transport du gaz sur le marché algérien, a annoncé mardi sa filiale transport du gaz GRTG.
Ces investissements entrent dans le cadre d'un plan de développement du réseau de transport du gaz dont l'objectif principal est de répondre à toutes les demandes d'approvisionnement émanant des utilisateurs sur le marché national, selon GRTG cité par l'agence APS.
Ces investissements devraient permettre de porter à 31,2 milliards de m3 la capacité de gaz transporté annuellement en 2017, contre 19 milliards de m3/an transportés en 2008 pour les clients du marché local (clients industriels haute pression, centrales électriques, Sonatrach, ménages...), a précisé la même source.
Actuellement, la clientèle nationale se répartit à hauteur de 59% pour les centrales électriques, de 25% pour la distribution publique, de 14% pour les clients industriels haute pression et de 2% pour Sonatrach (société publique d'hydrocarbures).
La consommation du marché algérien en gaz naturel devrait passer à 10,6 milliards de m3 en 2017 pour la distribution publique (contre 4,7 milliards m3 en 2008), à 5,2 milliards de m3 pour les clients industriels (contre 3,2 milliards), et à 15,4 milliards m3 pour les centrales électriques (contre 11,1 milliards).
Ces hausses ont été induites par le programme de construction de un million de logements d'ici à 2009, le raccordement de nouvelles unités industrielles telles que cimenteries et briqueteries et la réalisation de centrales électriques qui sont les plus gros utilisateurs du gaz naturel.
Le marché gazier algérien est approvisionné par dix gazoducs de Sonatrach à partir du champ gazier de Hassi R'mel (Sahara), pour une capacité actuelle disponible de transport de 37,4 milliards de m3/an, selon la même source.
L'Algérie produit actuellement 62 milliards de m3 de gaz par an et compte porter sa production à 85 milliards de m3 par an en 2010, selon le ministre algérien de l'Energie Chakib Khelil.
Ces investissements entrent dans le cadre d'un plan de développement du réseau de transport du gaz dont l'objectif principal est de répondre à toutes les demandes d'approvisionnement émanant des utilisateurs sur le marché national, selon GRTG cité par l'agence APS.
Ces investissements devraient permettre de porter à 31,2 milliards de m3 la capacité de gaz transporté annuellement en 2017, contre 19 milliards de m3/an transportés en 2008 pour les clients du marché local (clients industriels haute pression, centrales électriques, Sonatrach, ménages...), a précisé la même source.
Actuellement, la clientèle nationale se répartit à hauteur de 59% pour les centrales électriques, de 25% pour la distribution publique, de 14% pour les clients industriels haute pression et de 2% pour Sonatrach (société publique d'hydrocarbures).
La consommation du marché algérien en gaz naturel devrait passer à 10,6 milliards de m3 en 2017 pour la distribution publique (contre 4,7 milliards m3 en 2008), à 5,2 milliards de m3 pour les clients industriels (contre 3,2 milliards), et à 15,4 milliards m3 pour les centrales électriques (contre 11,1 milliards).
Ces hausses ont été induites par le programme de construction de un million de logements d'ici à 2009, le raccordement de nouvelles unités industrielles telles que cimenteries et briqueteries et la réalisation de centrales électriques qui sont les plus gros utilisateurs du gaz naturel.
Le marché gazier algérien est approvisionné par dix gazoducs de Sonatrach à partir du champ gazier de Hassi R'mel (Sahara), pour une capacité actuelle disponible de transport de 37,4 milliards de m3/an, selon la même source.
L'Algérie produit actuellement 62 milliards de m3 de gaz par an et compte porter sa production à 85 milliards de m3 par an en 2010, selon le ministre algérien de l'Energie Chakib Khelil.