Bonjour,
Une situation presque ubuesque est vécue par les publicitaires et les journaux algériens.
L'état algérien leurs imposent de passer par l'ANEP. Celle-ci s’arroge le droit de distribuer cette manne financière de préférence aux quotidiens publics de l'aveu même du chef du gouvernement lors de sa dernière rencontre avec les journalistes.
Après la 5 octobre 1988 et la libération du champ médiatique les quotidiens nationaux privés ou publics étaient libres de gérer leurs réseau publicitaire. Quelques années après un mystérieuse directive atterrit sur le bureau des quotidiens algériens : désormais vous devez passer la l'ANEP.
Bien-sur, cette institution distribue la manne publicitaire a son humeur et suivant la ligne éditorialiste du quotidien. Inutile de dire que cette institution est devenue une arme de pression phénoménale aux mains des décideurs algériens, pour mettre aux pas les lignes éditoriales qui ne sont pas en phases avec le discours officiel.
Au moment ou libéralise tous les secteurs de l'économie algérienne. Au moment ou on nous chante les vertus de libre économie et de la nécessité que l'état délaisse la gestion des entreprises public. On verrouille, le monde de la publicité.
Avec le boom économique que vit l'Algérie et l'installation de futurs groupes internationaux en Algérie, il va sans dire que les rentrées de publicités vont monter en flèche. Mais le Hic! c'est que toute publicité dépendra des dirigeants de l'ANEP.
Notons aussi, que ces dirigeants sur trier sur le volet. Après le passage de Mohamed Raouraoua l'ANEP est actuellement dirigée par l'ex Ministre Ahmed Boucena
La question se pose : jusqu'a quand assisterons nous à ce paradoxe algérien ? il est temps de libérer le champ publicitaire en Algérie.
Stanislas
Bon samedi.
Une situation presque ubuesque est vécue par les publicitaires et les journaux algériens.
L'état algérien leurs imposent de passer par l'ANEP. Celle-ci s’arroge le droit de distribuer cette manne financière de préférence aux quotidiens publics de l'aveu même du chef du gouvernement lors de sa dernière rencontre avec les journalistes.
Après la 5 octobre 1988 et la libération du champ médiatique les quotidiens nationaux privés ou publics étaient libres de gérer leurs réseau publicitaire. Quelques années après un mystérieuse directive atterrit sur le bureau des quotidiens algériens : désormais vous devez passer la l'ANEP.
Bien-sur, cette institution distribue la manne publicitaire a son humeur et suivant la ligne éditorialiste du quotidien. Inutile de dire que cette institution est devenue une arme de pression phénoménale aux mains des décideurs algériens, pour mettre aux pas les lignes éditoriales qui ne sont pas en phases avec le discours officiel.
Au moment ou libéralise tous les secteurs de l'économie algérienne. Au moment ou on nous chante les vertus de libre économie et de la nécessité que l'état délaisse la gestion des entreprises public. On verrouille, le monde de la publicité.
Avec le boom économique que vit l'Algérie et l'installation de futurs groupes internationaux en Algérie, il va sans dire que les rentrées de publicités vont monter en flèche. Mais le Hic! c'est que toute publicité dépendra des dirigeants de l'ANEP.
Notons aussi, que ces dirigeants sur trier sur le volet. Après le passage de Mohamed Raouraoua l'ANEP est actuellement dirigée par l'ex Ministre Ahmed Boucena
La question se pose : jusqu'a quand assisterons nous à ce paradoxe algérien ? il est temps de libérer le champ publicitaire en Algérie.
Stanislas
Bon samedi.
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