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Dans une déclaration, hier, au Jeune Indépendant, Me Farouk Ksentini annonce que la grève de la faim entamée par des détenus algériens en Libye a pris fin.
Pour ce qui est de la grève de la faim entamée par les femmes emprisonnées, le président de la Commission nationale de protection et de promotion des droits de l’homme a ajouté qu’il ne dispose pas d’informations à ce sujet. «Il est difficile d’avoir des informations», lance-t-il. Les Algériens détenus dans les prisons libyennes seront-ils libérés incessamment ? «La balle est dans le camp des autorités libyennes, mais je reste optimiste», répond-il.
A la veille de l’Aïd-el-Adha, les familles de ces détenus souhaitent vivre cette fête religieuse en compagnie de leurs proches. Il est à noter que plusieurs de ces détenus avaient accusé les responsables des prisons libyennes dans lesquelles ils croupissent de «maltraitance».
Pour rappel, treize parmi eux ont été graciés par le leader libyen, mais ils attendent toujours d’être libérés.
Par ailleurs, huit des ressortissants algériens avaient été condamnés à la peine capitale, cinq à l’amputation de la main, et 17 autres attendent d’être jugés.
Face à ce drame, les familles de ces détenus avaient, plusieurs fois, organisé des sit-in dans l’espoir de faire entendre leur cri de détresse.
Récemment, une commission algéro-libyenne a été installée pour tenter de trouver une solution à ce problème, à l’issue de la visite en Algérie du ministre libyen des Affaires étrangères.
- Le JeuneIndependant
Pour ce qui est de la grève de la faim entamée par les femmes emprisonnées, le président de la Commission nationale de protection et de promotion des droits de l’homme a ajouté qu’il ne dispose pas d’informations à ce sujet. «Il est difficile d’avoir des informations», lance-t-il. Les Algériens détenus dans les prisons libyennes seront-ils libérés incessamment ? «La balle est dans le camp des autorités libyennes, mais je reste optimiste», répond-il.
A la veille de l’Aïd-el-Adha, les familles de ces détenus souhaitent vivre cette fête religieuse en compagnie de leurs proches. Il est à noter que plusieurs de ces détenus avaient accusé les responsables des prisons libyennes dans lesquelles ils croupissent de «maltraitance».
Pour rappel, treize parmi eux ont été graciés par le leader libyen, mais ils attendent toujours d’être libérés.
Par ailleurs, huit des ressortissants algériens avaient été condamnés à la peine capitale, cinq à l’amputation de la main, et 17 autres attendent d’être jugés.
Face à ce drame, les familles de ces détenus avaient, plusieurs fois, organisé des sit-in dans l’espoir de faire entendre leur cri de détresse.
Récemment, une commission algéro-libyenne a été installée pour tenter de trouver une solution à ce problème, à l’issue de la visite en Algérie du ministre libyen des Affaires étrangères.
- Le JeuneIndependant
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