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Il n'es jamais trop tard pour bien recouvrer le sentiment de fierté qui nous caractérise nous autres. Avec cet exemple, il parait que les choses sont clairement exposées de prime abord mais il est loin d'être le cas. Commencez par considérer vos voisins, vous allez remarquer qu'ils ont tous quelque chose de fondamentalement différent de ce que vous pensez de l'homme en général. Je ne dis pas cela pour vous induire en erreur ou vous faire croire que les choses sont simples mais pour vous amener à méditer sur la nature animale profonde. En effet depuis la nuit du temps, les peuples sont divisés en plusieurs catégories. Il n'est pas question de supériorité génétique de l'un ou de l'autre mais d'une différence catégorielle marquée. L'homme selon les ages en a fait, de ces différences, des critères de sélection, cependant dans l'absolue, cela souligne seulement une différence.
Essayons de voir la chose de plus près ! Vous avez devant vous un castor, ce que vous allez remarqué en premier chez lui est qu'il un castor, non parce que vous êtes un spécialiste des castors mais parce que vous connaissez ce mot et vous savez que ces phonèmes combinés de la sorte sont associés à ce que vous voyez. Ce qui est valable pour le castor est valable aussi pour l'amour. Tenez ! La dernière fois que j'ai rencontré ce qui pourrait être apparenté à de l'amour, j'ai eu du mal à croire que le mot lui convient tant la définition est floue. J'ai conclu non sans une profonde conviction que je suis floué par le mot. C'est ainsi alors que nous devons être méfiant devant les mots. Vous dites que l'homme se détruit aujourd'hui avec les armes qu'il a fabriquées lui même mais en réalité, il a commencé à se détruire la minute même où il a inventé le premier mot. Et si l'Algérie, pour revenir au sujet du forum, n'est qu'un mot, elle devient dangereuse pour tous ceux qui croient en ce mot. La solution comme pour les armes nucléaires, il faudrait abolir les mots dont la définition n'est pas aussi claire que celle du mot Castor. C'est la même chose pour la religion et l'islam. Les sectes du surcroît ont cette fâcheuse tendance à utiliser les mots. Ils palient à la faiblesse de leurs définitions par l'intonnation qu'ils leur donnent en les prononçant. Vous avez tous fait cette expérience de litanies récitées dans les temples et mosquées et qui vous influencent physiologiquement, et, cela va sans dire, psychologiquement jusqu'à vous rendre vulnérables devant ces sons que vous entendez. Cette vulnaribilité à la longue est associée aux mots que formaient les sons incriminées. J
Je ne vais pas m'étaler dans mon interventions sur d'autres exemples de manipulations par les mots. Ma secrétaire a pu détourner de l'argent parce que je lui ai confiée des tâches qui devaient être du resort du comptable. Mais n'ayant pas su associer les mots qu'il faut aux compétences qu'il faut, je me suis retrouvé dépouillé d'une partie de mes avoirs. Je vous dis que le coupable ne peut être l'homme mais le mot. Il reste à s'assurer que le mot est inventé par l'homme. Si au commencement était le verbe, l'homme se retrouve du coup déchargé de cette culpabilité. Mais moi, je doute que ce soit si simple. Je me permets de douter parce que je n'aime pas le confort des réponses faciles. J'aime être tiraillé par des questionnement et cela depuis que j'étais petit. Il parait que l'enfant en ouvrant la première fois les yeux, il exprime l'interrogation non la peur.
Ce sont les réponses dont il se contente en se laissant volontairement flouer par les mots qui sont à l'origine de ses maux.
Je vais aller boire un café.
Essayons de voir la chose de plus près ! Vous avez devant vous un castor, ce que vous allez remarqué en premier chez lui est qu'il un castor, non parce que vous êtes un spécialiste des castors mais parce que vous connaissez ce mot et vous savez que ces phonèmes combinés de la sorte sont associés à ce que vous voyez. Ce qui est valable pour le castor est valable aussi pour l'amour. Tenez ! La dernière fois que j'ai rencontré ce qui pourrait être apparenté à de l'amour, j'ai eu du mal à croire que le mot lui convient tant la définition est floue. J'ai conclu non sans une profonde conviction que je suis floué par le mot. C'est ainsi alors que nous devons être méfiant devant les mots. Vous dites que l'homme se détruit aujourd'hui avec les armes qu'il a fabriquées lui même mais en réalité, il a commencé à se détruire la minute même où il a inventé le premier mot. Et si l'Algérie, pour revenir au sujet du forum, n'est qu'un mot, elle devient dangereuse pour tous ceux qui croient en ce mot. La solution comme pour les armes nucléaires, il faudrait abolir les mots dont la définition n'est pas aussi claire que celle du mot Castor. C'est la même chose pour la religion et l'islam. Les sectes du surcroît ont cette fâcheuse tendance à utiliser les mots. Ils palient à la faiblesse de leurs définitions par l'intonnation qu'ils leur donnent en les prononçant. Vous avez tous fait cette expérience de litanies récitées dans les temples et mosquées et qui vous influencent physiologiquement, et, cela va sans dire, psychologiquement jusqu'à vous rendre vulnérables devant ces sons que vous entendez. Cette vulnaribilité à la longue est associée aux mots que formaient les sons incriminées. J
Je ne vais pas m'étaler dans mon interventions sur d'autres exemples de manipulations par les mots. Ma secrétaire a pu détourner de l'argent parce que je lui ai confiée des tâches qui devaient être du resort du comptable. Mais n'ayant pas su associer les mots qu'il faut aux compétences qu'il faut, je me suis retrouvé dépouillé d'une partie de mes avoirs. Je vous dis que le coupable ne peut être l'homme mais le mot. Il reste à s'assurer que le mot est inventé par l'homme. Si au commencement était le verbe, l'homme se retrouve du coup déchargé de cette culpabilité. Mais moi, je doute que ce soit si simple. Je me permets de douter parce que je n'aime pas le confort des réponses faciles. J'aime être tiraillé par des questionnement et cela depuis que j'étais petit. Il parait que l'enfant en ouvrant la première fois les yeux, il exprime l'interrogation non la peur.
Ce sont les réponses dont il se contente en se laissant volontairement flouer par les mots qui sont à l'origine de ses maux.
Je vais aller boire un café.