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Curriculum vitea Abdelaziz Bouteflika

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  • Curriculum vitea Abdelaziz Bouteflika

    j'ai hésité depuis un moment de poster cet article, mais après l'annonce de son altesse de vouloir rester à vie sur le trône , j'ai trouvé intéressant au lecteur de fouiner un peu dans son CV afin de comprendre mieux sa démarche à rester éternellement au pouvoir.

    ALGÉRIE - 6 avril 1999 - par CHÉRIF OUAZANI

    A Alger, ce 1er février, la salle de l'hôtel Aurassi est trop exiguë pour recevoir les centaines d'invités - célèbres ou anonymes - qui se pressent pour assister à l'annonce solennelle de la candidature d'Abdelaziz Bouteflika à l'élection présidentielle. Ils sont manifestement curieux de (re)découvrir l'un des derniers représentants de l'ère Boumedienne - c'est lui qui, en décembre 1978, a prononcé l'éloge funèbre du président défunt -, l'homme qui a dirigé la diplomatie de leur pays à l'époque, déjà lointaine, où celui-ci comptait sur la scène internationale.
    Bouteflika a trop attendu son retour sur le devant de la scène pour ne pas avoir étudié le moindre détail de l'opération. Alors que la salle ne peut recevoir que deux mille personnes, plus de deux mille cinq cents cartons d'invitation avaient été envoyés. Stars du show-biz, vedettes sportives comme l'ancien footballeur Ali Bencheikh, ministres de Chadli en disgrâce, généraux à la retraite... Mais aussi des syndicalistes et des patrons, des intellectuels de gauche et des bailleurs de fonds notoires de l'islamisme politique... On pouvait voir des victimes de la « déboumédiennisation » côtoyer sans problème leurs anciens persécuteurs. Et des artistes s'entretenir aimablement avec leurs censeurs d'hier... On l'aura compris : le candidat s'efforce d'apparaître comme un rassembleur...
    Abdelaziz Bouteflika est né en 1937, à Oujda. Originaire de Tlemcen, son père s'était en effet installé, au milieu des années trente, dans la capitale du Maroc oriental, pour des raisons économiques. Enfance sans histoire, adolescence studieuse et baccalauréat français à 18 ans. Mais ni le collège ni le lycée ne le détournent de l'école coranique : l'année du bac sera aussi celle du brevet arabe. En 1956, il hésite entre l'université et la vie active. La guerre choisira pour lui. Le Front de libération nationale (FLN) demande à tous les lycéens et les étudiants de rejoindre les maquis. Il répond à l'appel. Ce n'est pas une surprise : au lycée déjà, il animait la cellule de l'Istiqlal, le parti nationaliste marocain d'Allal el-Fassi. Dans l'Oranais, contrairement à d'autres régions du pays, l'Armée de libération nationale (ALN), la branche armée du FLN, n'en est encore qu'à ses premiers balbutiements. Bouteflika traverse clandestinement la frontière et s'attelle à l'organisation des premières unités combattantes de la wilaya 5, dirigée par un certain Mohamed Boukherouba, plus connu sous son nom de guerre : Houari Boumedienne.
    En dépit de sa fragilité physique (il mesure à peine 1,65 m), le jeune homme fait montre d'une réelle aptitude au commandement et d'un sens aigu de l'organisation. Après plusieurs missions qui le mènent jusqu'aux confins méridionaux du pays, près de la frontière malienne, le désormais Si Abdelkader (son nom de guerre) rejoint le commandement de la wilaya 5, basé à Oujda. Il y côtoie le gotha de l'ALN : Cherif Belkacem, alias Si Djamel, Ahmed Medeghri (Si Hocine), Ahmed Kaïdi (Si Slimane) et Houari Boumedienne.
    En 1957, Bouteflika est légèrement blessé au cours d'une mission. Il est évacué sur Casablanca, où il est pris en charge par les réseaux de Mohamed Zeghar. Grand argentier du FLN, celui-ci s'occupe de l'approvisionnement des maquis et de l'armée des frontières en armes et en équipements. C'est dire qu'il est amené à gérer des sommes colossales et qu'il dispose de nombreux contacts dans le monde du renseignement. Il a, en outre, l'oreille de Boumedienne et jouit de la confiance absolue d'Abdelhafid Boussouf, qui dirige le ministère de l'Armement et des Liaisons générales (Malg), l'ancêtre de la Sécurité militaire (SM). Bouteflika sait tout cela. Il parvient à s'attirer les bonnes grâces de Zeghar, qu'il séduit par sa capacité à s'adapter aux situations les plus imprévues. Cultivé sans être pédant, le jeune homme est, en outre, d'un commerce agréable et sait parler de choses sérieuses avec humour. Désormais membre du « clan d'Oujda », il joue dans la cour des grands.
    Boumedienne lui confie les missions les plus délicates. D'homme de confiance, il devient homme d'influence. C'est lui qui souffle l'idée à Boumedienne de quitter Oujda pour Ghardimaou, en Tunisie. « Si nous restons ici, nous serons les héros d'une région. Pour jouer un rôle national, il faut aller en Tunisie. C'est là-bas que tout se décide. » L'homme qui tient ce langage au taciturne et très autoritaire Houari Boumedienne n'a que 21 ans...
    Dernière modification par Gingerman, 14 novembre 2008, 00h04.

  • #2
    En 1961, celui-ci, devenu chef d'état-major général, entre en conflit avec le
    Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). La crise entre les politiques du FLN et les militaires de l'ALN prend des proportions graves. Avec l'ouverture des négociations d'Évian, l'indépendance est inéluctable. Boumedienne, qui dispose d'une armée bien entraînée, se sait tout-puissant, mais il a besoin d'une légitimité politique. Il charge son homme de confiance de négocier le soutien de l'un des dirigeants historiques détenus au château d'Aulnoy, en France : Mohamed Boudiaf. Bouteflika accepte la mission, mais risque une suggestion. « Je suis sûr, dit-il, qu'Ahmed Ben Bella ferait mieux notre affaire, Boudiaf est moins malléable. » Boumedienne se laisse convaincre. La suite des événements donnera raison à Bouteflika.
    En 1962, l'Algérie accède à l'indépendance, mais la crise couve toujours. L'armée de Boumedienne installe Ben Bella au pouvoir et Bouteflika délaisse ses galons de commandant pour embrasser définitivement la carrière politique. Il est nommé ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme. Quelques mois plus tard, Mohamed Khemisti, le chef de la diplomatie, est assassiné par un dément (c'est du moins la version officielle). Bouteflika lui succède. Il n'a que 25 ans. Certains s'en inquiètent : comment un homme aussi jeune pourra-t-il faire oublier un Saad Dahlab, le chef de la diplomatie du GPRA ?
    Le pouvoir de Ben Bella est autocratique. Seules la Défense (Boumedienne) et les Affaires étrangères échappent à son contrôle. Le jeune ministre lui donne du fil à retordre : il fait tout pour saborder le rapprochement avec l'Égypte de Nasser et s'abstient de le consulter pour les nominations d'ambassadeurs. Le 18 juin 1965, Ben Bella décide de le limoger. C'en est trop pour Boumedienne. Ben Bella est renversé dès le lendemain. Le putsch confirme la mainmise du clan d'Oujda sur le pays : Boumedienne est aux commandes, Bouteflika aux Affaires étrangères, Medeghri à l'Intérieur, Kaïdi aux Finances et Cherif Belkacem à l'Orientation politique du parti unique.
    C'est le début du « redressement révolutionnaire ». Désormais, Bouteflika a les coudées franches. Son style marquera la diplomatie algérienne de son empreinte. Il s'habille chez les grands couturiers, ne dédaigne pas les mondanités, mais continue de fréquenter les révolutionnaires du monde entier. Il se tue à la tâche, mais trouve encore le temps de vivre. Par sa culture, il parvient même à séduire le président sénégalais Léopold Sédar Senghor, pourtant peu suspect de sympathies pour l'orientation révolutionnaire de l'Algérie.
    En 1973, alors que les relations avec Washington sont quasi gelées depuis la guerre des Six Jours (en 1967), il suggère au président de se rendre à New York pour revendiquer, devant l'Assemblée générale de l'ONU, l'instauration d'un nouvel ordre économique mondial. Boumedienne n'est qu'à demi convaincu. Bouteflika appelle à la rescousse son ami Zeghar, désormais reconverti dans le négoce international. Le président finit par consentir. Zeghar prend en charge la logistique de l'opération et Bouteflika l'aspect politique. Alger va donc renouer avec Washington, mais sans se renier : sur le chemin du retour, la délégation fera escale à La Havane...
    Certains, à l'époque, accusaient volontiers la diplomatie algérienne d'« arrogance ». Ce n'est pourtant pas le style de Bouteflika. À preuve, cette anecdote rapportée à un journaliste par l'ancien ministre marocain (et patron de l'USFP) Abderrahim Bouabid. En 1974, lors de la Conférence des non-alignés de Colombo, un diplomate marocain interpelle violemment Bouteflika avant l'ouverture de la séance consacrée à l'épineuse question du Sahara : « Je vais te rentrer dedans ! » L'Algérien ne perd pas son sang-froid et réplique par un proverbe : « La pierre lancée par un ami est une pomme. » Si Bouteflika sait, à l'occasion, montrer les dents, il sait aussi quand le sourire est de mise...

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    • #3
      La même année, il est élu, à l'unanimité, président de l'Assemblée générale de l'ONU. Il en profite pour inviter Yasser Arafat à s'exprimer à la tribune. Le chef de la diplomatie algérienne a d'ailleurs de nombreux points commun avec le leader palestinien : la ruse, une indiscutable habileté manoeuvrière et... le goût du célibat. Bouteflika aime les femmes, mais n'a apparemment pas le temps d'en choisir une. À l'époque, ses détracteurs lui prêtaient de nombreuses liaisons féminines. Il mettait cela sur le compte de la jalousie...
      Tous ceux qui ont eu l'occasion de travailler avec lui reconnaissent qu'il n'est pas un patron facile. « Avant de s'entretenir avec lui, mieux vaut avoir bien préparé son dossier, car il ne supporte pas l'approximation. Il est exigeant sans être autoritaire », se souvient un ancien ambassadeur. Respecté par ses collaborateurs, le ministre est, en permanence, courtisé par les médias : son sens de la formule fait merveille. Lors de ses conférences de presse, « Little Big Man », comme on le surnomme, parvient à faire passer le message le plus compliqué avec les mots les plus simples, parfois les plus drôles. La France est excédée par sa prestance. Les États-Unis se méfient d'un homme qui n'a pas hésité à accueillir le terroriste Carlos après la prise d'otages des ministres du Pétrole de l'Opep, en 1977. L'Égypte l'exècre, mais l'Afrique l'adule.
      En décembre 1978, la mort de Boumedienne prend de court l'establishment algérien. Bouteflika est le dauphin naturel, mais c'est compter sans l'armée : occupé ailleurs, le ministre des Affaires étrangères avait quelque peu perdu le contact avec les militaires. Certains de ses amis avaient pris leur retraite, d'autres avaient changé de centre d'intérêt. Kasdi Merbah, l'inamovible patron des services de sécurité, avec lequel il avait de tout temps collaboré, sera le premier à le trahir. C'est lui qui suggérera au Congrès extraordinaire du FLN de nommer à la présidence l'officier le plus ancien dans le grade le plus élevé, en l'occurrence le colonel Chadli Bendjedid. Pour Bouteflika, commence une longue traversée du désert...
      Pour asseoir son pouvoir, Chadli est convaincu de la nécessité d'entreprendre une « déboumédiennisation » des institutions. La chasse aux sorcières est ouverte. Une Cour des comptes est instituée, dont la présidence est confiée à Ahmed Taleb Ibrahimi, aujourd'hui rival de Bouteflika pour la présidentielle. Un dossier sur une mauvaise gestion des fonds secrets du ministère des Affaires étrangères est préparé par la SM, que dirige Lakehal Ayat. La Cour des comptes instruit le dossier et le transmet à la justice. Le procès n'aura jamais lieu, mais Bouteflika est exclu du Comité central du FLN. Lui et sa famille sont chassés de la résidence d'État qu'ils occupent à Poirson, sur les hauteurs d'Alger. L'ancien numéro deux du régime est contraint à l'exil : il s'installe chez l'un de ses amis, ancien ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis. Comme d'autres, Bouteflika aurait pu lancer un mouvement d'opposition, dénoncer les rumeurs colportées par ses détracteurs. Il choisit de faire le dos rond et attend patiemment son heure.
      En 1987, il rentre en Algérie. C'est Mouloud Hamrouche, directeur général du protocole à la présidence (il participe, lui aussi, au scrutin du 15 avril), qui se charge de lui trouver un logement à Alger. Dans un premier temps, il s'abstient soigneusement de toute activité politique et ne sort de son mutisme qu'au lendemain des événements d'octobre 1988 : avec dix-sept autres personnalités, il signe une motion en faveur de la démocratisation de la vie publique. Deux mois plus tard, il réintègre le Comité central du FLN.
      La victoire du Front islamique du salut aux élections législatives provoque l'interruption du processus électoral. Chadli est démis de ses fonctions en janvier 1992 et une direction collégiale instituée, sous la présidence de Mohamed Boudiaf. Bouteflika est « approché » : on lui propose un poste de conseiller politique. Refus poli.
      Deux ans plus tard, son nom est à nouveau évoqué, cette fois pour la présidence de l'État. Il s'agit de conduire la transition vers la reprise du processus électoral. Estimant que les conditions ne sont pas réunies, il décline la proposition.
      Tout a changé depuis l'annonce du départ anticipé du président Liamine Zéroual. Désormais, le jeu en vaut la chandelle et il s'est donc lancé dans la course. La précampagne électorale a démontré qu'il n'a rien perdu de son habileté. Avant même l'annonce de sa candidature, il était au centre de toutes les supputations. Il est parvenu à accréditer l'idée qu'il dispose du soutien de l'armée, sans jamais le solliciter et, moins encore, le négocier. Son silence est souvent plus éloquent que les interventions tonitruantes de certains de ses rivaux. Du coup, la moindre de ses « petites phrases » fait événement. Ses rares sorties publiques provoquent une véritable cohue et ses interviews sont disséquées par les états-majors de ses adversaires. Même le choix des supports obéit à une stratégie clairement définie. Par exemple, il a refusé de participer à une émission de la chaîne de télévision qatarie Al Djazira, alors que les autres candidats tentent désespérément d'y être invités. Pour sa première interview, il a choisi le quotidien Le Jeune indépendant, dont les tirages sont loin d'atteindre les sommets, au détriment des grosses pointures de la presse privée. Même Nicholas Burns, du New York Times, en a été pour ses frais.
      Plus de deux mille comités de soutien à sa candidature ont vu le jour. Les partenaires traditionnels de l'Algérie ont mis à contribution leurs services de renseignements pour évaluer l'évolution du personnage. Bouteflika a sans doute vieilli depuis son retrait des affaires. Mais la manière dont il mène sa campagne montre qu'il n'a pas perdu la main. En s'abstenant de critiquer ceux qui l'ont naguère écarté du pouvoir, il fait coup double : il évite d'apparaître comme un revanchard et impose, au contraire, une image de rassembleur.

      --------------------------

      Donc il a eu ce qu'il voulait, ce qu'il cherchait depuis des lustres.............un rêve lointain qui aujourd'hui est devenu réalité.... il a pris sa revanche en fait. Bsahtek mate.

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      • #4
        bref: bac français + brevet en arabe
        c'est pas mal tout de même

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        • #5
          Azul

          Le jour où le culte de la personne sera relégué au dernier plan, ce jour-là nous nous porterons mieux

          Je passe sous silence un nombre de points mais celui-là est le plus marrant

          Kasdi Merbah, l'inamovible patron des services de sécurité, avec lequel il avait de tout temps collaboré, sera le premier à le trahir. C'est lui qui suggérera au Congrès extraordinaire du FLN de nommer à la présidence l'officier le plus ancien dans le grade le plus élevé, en l'occurrence le colonel Chadli Bendjedid.
          A se tordre de rire....

          Elle est superbe l'histoire contée par un pro...Mais ma parole c'est une conspiration contre un génie. C'est l'obscurantisme contre les lumières du savoirs. C'est la corruption contre l'honnêteté ambulante. S'en est presque émouvant ...

          Quel tableau !! C'est extraordinaire on regretterai presque sa mise à l'écart en 1978, ça lui aurait fait 30 ans de règne...
          “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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          • #6
            Bonjour,

            Personne ne peut nier ce qu'a fait Bouteflika quand il était ministre des affaires étrangères !

            Rares sont les hommes qui ont fait comme lui :

            L'ancien numéro deux du régime est contraint à l'exil : il s'installe chez l'un de ses amis, ancien ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis. Comme d'autres, Bouteflika aurait pu lancer un mouvement d'opposition, dénoncer les rumeurs colportées par ses détracteurs. Il choisit de faire le dos rond et attend patiemment son heure.

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            • #7
              Bonjour,

              Personne ne peut nier ce qu'a fait Bouteflika quand il était ministre des affaires étrangères !

              Rares sont les hommes qui ont fait comme lui :
              n'oublions pas le poids diplomatique de l'algérie à cette époque là, et que n'importe quel dz aurait pu présider une ag de l'onu sans problème aucun

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              • #8
                Personne ne peut nier ce qu'a fait Bouteflika quand il était ministre des affaires étrangères !

                Rares sont les hommes qui ont fait comme lui :
                Il a fait quoi au juste qui mérite tant de louanges?

                Je veux des actions concrètes, des faits d'armes indéniables, pas des fables.
                « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

                Commentaire


                • #9
                  n'oublions pas le poids diplomatique de l'algérie à cette époque là, et que n'importe quel dz aurait pu présider une ag de l'onu sans problème aucun
                  Ce poids est tombé du ciel ???

                  Tu me fais rire, n'importe quel DZ pouvait présider une assemblée de l'ONU ?? Donc tu pouvais le faire toi aussi

                  Tu peux ne pas être d'accord avec l'homme mais tu ne peux pas nier tout ce qu'il a fait !!!

                  Il a fait quoi au juste qui mérite tant de louanges?

                  Je veux des actions concrètes, des faits d'armes indéniables, pas des fables.
                  Lis l'article !!

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                  • #10
                    Lis l'article !!
                    J'ai dit : pas de fables
                    « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

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                    • #11
                      Ce poids est tombé du ciel ???
                      un poids hérité de la révolution de tout un peuple...

                      Tu me fais rire, n'importe quel DZ pouvait présider une assemblée de l'ONU ?? Donc tu pouvais le faire toi aussi
                      ...peut être toi, qui le sait.

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                      • #12
                        Abdelaziz Bouteflika est né en 1937, à Oujda.
                        Pourtant il n´est jamais mentionné dans sa biographie offieille qu´il est natif de la ville d´oujda:
                        http://www.el-mouradia.dz/francais/p...biographie.HTM
                        Est ce une honte de citer le lieu de sa naissance?

                        Plus mediocre encore, dans la biographie de Bouteflika sur le site des Nations Unis, il est ecrit: "l est né le 2 mars 1937 à Tlemcen, en Algérie. "
                        http://www.un.org/french/ga/president/bios/bio29f.shtml
                        :-)
                        Generalement dans tous les Passeports, on mentionne le lieu de naissance, et je me demande ce qui est ecrit sur le Passeport de Bouteflika

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                        • #13
                          Moha

                          Bonjour,

                          Personne ne peut nier ce qu'a fait Bouteflika quand il était ministre des affaires étrangères !

                          Rares sont les hommes qui ont fait comme lui :

                          Citation:
                          L'ancien numéro deux du régime est contraint à l'exil : il s'installe chez l'un de ses amis, ancien ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis. Comme d'autres, Bouteflika aurait pu lancer un mouvement d'opposition, dénoncer les rumeurs colportées par ses détracteurs. Il choisit de faire le dos rond et attend patiemment son heure.
                          Mdr!!!!!
                          Oui, on ne peut vraiment pas nier tout ses faits et gestes!!!!!!
                          Cher zaki, tu pourrais s'il te plait nous dire pourquoi il s'est exilé???

                          Ahhhh quand l'algérie était un vrai pays, la justice n'avait peur de personne, et surtout une cour des comptes n'avait pas peur de poursuivre des ministres (futurs présidents) voleurs.........

                          Commentaire


                          • #14
                            Moha

                            Comme l'a dit notre cher lotfi:
                            "Rashoum kbir lakhatar l3aroug t3a rashoum mbouchyine"

                            Commentaire


                            • #15
                              Il a fait quoi au juste qui mérite tant de louanges?

                              Je veux des actions concrètes, des faits d'armes indéniables, pas des fables.
                              que du bla bla remplissant
                              c'est pire qu'une fable monsieur !
                              Dernière modification par ARROUBI, 17 novembre 2008, 11h06.

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