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Béjaïa : L’ex-directeur de la culture devant le juge

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  • Béjaïa : L’ex-directeur de la culture devant le juge

    Béjaïa
    L’ex-directeur de la culture devant le juge


    mercredi dernier, Mohand Benamara ( alias djamel benamara, animateur chaine III)a comparu devant le tribunal de Béjaïa en tant que prévenu. C’est en qualité d’ex-directeur que celui-ci s’est présenté à la barre pour répondre à de graves griefs qui lui sont reprochés. Suite à une plainte déposée contre lui par l’ancien wali, Rachid Fatmi, la premiére instance juridictionnelle lui a demandé de s’expliquer sur les accusations de “destruction de biens publics”. Lors de l’audience, l’avocat de l’APC a souligné devant le juge qu’il s’agit du maire de la commune de Boudjellil. L’évocation de son statut d’édile municipal était sans doute pour l’avocat un argument de taille pour balayer d’un revers de la main les chefs d’accusation qui pesaient lourdement sur son client. En réalié, quel lien existe-t-il puisqu’il est poursuivi en tant qu’ex-directeur de la culture. La défense de la partie plaignante a fait savoir au magistrat que le prévenu a dû être expulsé d’un logement dont il s’est longtemps refusé à rendre la clé. Selon la même source, il aura fallu la présence d’un huissier de justice appuyé par la force publique pour le contraindre à rendre les clés de l’appartement que les autorités de la wilaya lui réclamaient des mois durant. Autres faits plus graves qui lui sont reprochés, l’état dégradé et délabré dans lequel le logment a été restitué qui a poussé les pouvoirs publics à faire venir un huissier pour dresser l’état des lieux. L’ex-directeur de la culture dont on dit qu’il a été radié, a-t-il par représailles procédé à la destruction du bien immobilier qu’il occupait à une époque lorsqu’il assumait cette fonction ? C’est le verdict qui sera rendu la semaine prochaine qui en dira plus sur l’affaire mise en délibéré qui risque de susciter un retentissant scandale.

    L.M (la Dépêche de Kabylie)

  • #2
    Tapis Volants ???

    Cette affaire des tapis de l’Entreprise algérienne du tapis traditionnel (EATT) de Cherchell traîne depuis plus d’une année, tandis que les responsables de cette unité de l’artisanat s’inquiètent de l’absence de réponse à toutes les démarches entreprises pour récupérer leurs biens.


    M. Benamara, directeur de la culture de la wilaya de Béjaïa s’était présenté au siège de l’EATT, avait signé la décharge le 15 mars 2004 et s’était emparé de 4 tapis traditionnels, représentant les couleurs et les motifs de la région de Béjaïa, afin de pouvoir les exposer à l’occasion de l’organisation de la semaine culturelle de Béjaïa, qui avait eu lieu au Palais de la culture à Alger au mois de mars 2004. Le prix unitaire d’un tapis fabriqué à la main coûte 39 820,80 DA tandis que le montant global de la décharge signée par le directeur de la culture de la wilaya de Béjaïa s’élève à 170 433,02 DA. Il semble qu’un tapis avait été offert au président de la République et son règlement sera assuré par le ministère de la Culture. Mais la question qui demeure sans réponse pour l’EATT, où sont les trois autres tapis ? Le directeur de la culture de la wilaya de Béjaïa n’a pas daigné répondre au courrier que lui a envoyé l’EATT le 3 décembre 2004 sous la référence 402. La direction de l’EATT devant le mutisme de la direction de la culture de la wilaya de Béjaïa a saisi la ministre de la Culture le 26 mars 2005 pour user de son autorité et intervenir auprès de sa direction à Béjaïa. C’est le ministère de l’Artisanat, de la PME/PMI de Bendada qui a réagi, en envoyant une lettre à l’EATT, le 24 avril 2005. L’EATT est une unité de production du tapis artisanal, sa notoriété a dépassé les frontières algériennes. Elle compte 65 ouvrières. Elle est équipée de 22 métiers. En 2004, les ouvrières de l’EATT, en dépit de toutes les difficultés, sont arrivées à produire 1600 m2 de tapis, soit un nombre qui avoisine 300 tapis traditionnels qui font ressortir les couleurs et les motifs du terroir. La cession de l’EATT au profit des travailleurs de cette même unité, dans le cadre de sa privatisation, a été officialisée par la direction des Domaines de la wilaya de Tipaza le 30 mars 2005. L’EATT s’acharne à récupérer ses biens tout simplement pour assainir sa situation.



    Par M’hamed H. (El Watan-11/05/05)

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    • #3
      même la route entre aftiss et boudjlile est une catastrophe
      La vie comme la respiration, c'est quand elles deviennent pénibles que l'on se rend compte qu'on vit.....Asirem

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