Avant de quitter le palais des Nations, le président du RCD a expliqué à des journalistes son retrait de la salle avec son groupe. « On est sorti pour ne pas cautionner le discours du président», a-t-il dit. Saïd Sadi commentera le vote du projet de révision de la Constitution en soulignant « c'est le 3è coup d'Etat et ce qui est grave, c'est que ça s'est passé dans l'enceinte du Parlement».
Pris en aparté par les journalistes, le secrétaire général du FLN a affirmé par ailleurs, que « je ne suis pas demandeur du poste de vice-Premier ministre et je n'accepterais pas celui de premier ministre ». Abdelaziz Belkhadem lancera : « notre fierté est que le président de la République ait répondu à notre demande de révision de la Constitution ».
Interrogée à propos du renvoi du directeur de la Bibliothèque nationale d'El-Hamma, Amine Zaoui, la ministre de la Culture a, pour sa part, fait savoir à la presse qu'elle voulait le faire bien avant l'arrivée du poète syrien, Adonis. « Cela faisait trois mois déjà que j'avais proposé au président de la République de le relever de ses fonctions », a-t-elle dit.
Pour elle, la décision du limogeage de Zaoui « n'a rien de politique ». Elle soutient que si elle l'a prise « c'est qu'il a mal géré l'institution publique dont il avait la charge ».
Le Quotidien d'Oran
Pris en aparté par les journalistes, le secrétaire général du FLN a affirmé par ailleurs, que « je ne suis pas demandeur du poste de vice-Premier ministre et je n'accepterais pas celui de premier ministre ». Abdelaziz Belkhadem lancera : « notre fierté est que le président de la République ait répondu à notre demande de révision de la Constitution ».
Interrogée à propos du renvoi du directeur de la Bibliothèque nationale d'El-Hamma, Amine Zaoui, la ministre de la Culture a, pour sa part, fait savoir à la presse qu'elle voulait le faire bien avant l'arrivée du poète syrien, Adonis. « Cela faisait trois mois déjà que j'avais proposé au président de la République de le relever de ses fonctions », a-t-elle dit.
Pour elle, la décision du limogeage de Zaoui « n'a rien de politique ». Elle soutient que si elle l'a prise « c'est qu'il a mal géré l'institution publique dont il avait la charge ».
Le Quotidien d'Oran