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La ruée vers le Maroc

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  • La ruée vers le Maroc

    L’engouement des étrangers pour le Maroc, les grands projets de Mohammed VI, les investissements et le boom immobilier modifient le visage du royaume. Sa mue est spectaculaire. Et les Marocains diplômés rentrent au pays.

    De notre envoyée spéciale Mireille Duteil


    Le Maroc aurait-il une botte secrète pour susciter un tel engouement ? Depuis une douzaine d’années, le royaume chérifien est à la mode. Et la ruée vers ce pays d’ombre et de lumière, de grande richesse et d’extrême pauvreté, où le modernisme côtoie la tradition, n’est visiblement pas près de se calmer. Une vague de fond qui, après avoir embarqué les people dans son flot, touche aujourd’hui beaucoup de Français, les riches et les moins riches, comme l’Espagne dans les années 70, lorsque Madrid pariait sur le tourisme et les investisseurs étrangers.

    Quand Michelle et Robert B. achetèrent, avec deux couples d’amis, des terrains dans la palmeraie de Marrakech au milieu des années 80, ils n’imaginaient pas qu’ils étaient parmi les précurseurs d’un phénomène qui n’a fait que s’accentuer. Pour arriver à leur propriété, une étendue sèche, de couleur crayeuse, plantée de palmiers clairsemés, il fallait jadis parcourir un bon kilomètre d’une piste cahotante et étroite, dont l’entrée était barrée par une fondrière à la première pluie. Puis ils ont vu d’autres Français et des Marocains aisés acheter les terrains alentour, les promoteurs immobiliers sont arrivés et le bitume a recouvert les trous de la piste. La palmeraie est sortie de son oubli, elle est redevenue verdoyante en changeant de vie. Mais nombre de ses anciens habitants sont partis. Ils ne s’y retrouvaient plus.

    Explosion des prix


    « En 2008, 35 000 Français résident officiellement au Maroc et se sont fait immatriculer au consulat de France. Ils sont en fait deux fois plus nombreux à y vivre », affirme un diplomate. Il y a certes les people qui accourent à Marrakech pour un week-end, viennent s’y marier-tel l’humoriste Jamel Debbouze et la journaliste Mélissa Theuriau. Il y a ceux, retraités ou non, qui achètent des appartements ou des riads dans les médinas de Fès, de Rabat ou de Tanger, pour la beauté des lieux, le plaisir du dépaysement ou avec l’envie d’ouvrir des maisons d’hôtes.

    Les Anglais leur emboîtent le pas et les tea rooms se multiplient dans les ruelles pentues du vieux Fès. Les Espagnols suivent de près, en particulier dans le Rif, à Tanger et ses environs, où une grande partie de la population, Histoire oblige, parle encore le castillan. Mieux, les sociétés européennes et américaines se pressent pour investir. Sans compter les émirs du Golfe, qui déversent des centaines de millions de dollars dans l’immobilier à Tanger ou Rabat (sur le littoral et le long du fleuve Bou Regreg), bouleversant les paysages urbains du royaume millénaire.

    Une folie. La spéculation immobilière est effrénée. Elle a commencé dans le Rif, là où les gros trafiquants de haschisch ont construit et acheté des immeubles entiers pour blanchir l’argent de la drogue. Puis il y a la nécessité de se loger pour les jeunes Marocains, qui n’entendent plus vivre comme autrefois, avec plusieurs générations sous le même toit ; l’arrivée des nouveaux résidents, amateurs d’un art de vivre que le Maroc moderne ne veut surtout pas abandonner, et celle des touristes (5 millions en 2007, 10 millions espérés en 2010) ont fait exploser les prix.

    Les Marocains aisés ne sont pas en reste. Heureux propriétaire d’une grande villa à l’architecture d’avant-garde dans un quartier chic de Rabat, Ali, industriel, est ravi : en cinq ans, le prix de son terrain a été multiplié par sept. La proportion est pratiquement la même aux quatre coins du pays. Accumulant terrains et maisons qu’ils revendent souvent après quelques mois, les riches Marocains (de 5 à 10 % des 32 millions d’habitants) entretiennent la spéculation et font craindre des lendemains qui déchantent si la bulle immobilière éclate. « Les prix peuvent baisser, pas s’effondrer, car il manque trop de logements pour les citadins les moins aisés », rassure un haut fonctionnaire. Un optimisme qui n’est toutefois pas partagé par tous.

    Quoi qu’il en soit, la moindre bourgade est un chantier. Tanger, si longtemps oubliée, va transformer son port ( voir le reportage de Jean Guisnel ) en une marina branchée ; Rabat a abandonné son caractère provincial sans perdre son charme ; Marrakech la rouge explose et revendique, grâce au tourisme, le taux de chômage le plus faible du royaume (moins de 6 %, mais les salaires sont très faibles). Même Fès la religieuse s’est mise au goût du jour. Mais à son rythme et à sa façon, élégante et précieuse.

    Chaque début du mois de juin (le 6, cette année), le Festival des musiques sacrées est devenu un must. Le concert d’ouverture, sous les remparts ocre illuminés du Mechouar, la place qui précède le grand portail de bois du palais royal, est une des soirées les plus chics et les plus courues de l’année. Les plus grands de l’art lyrique s’y donnent rendez-vous et font accourir le tout-Rabat et le tout-Casablanca, mais aussi nombre d’amateurs européens. Parallèlement, les mêmes orchestres se produisent dans la ville pour des concerts gratuits.

    La mue la plus spectaculaire touche Casablanca, la métropole blanche où la spectaculaire mosquée Hassan-II (le deuxième minaret du monde après celui de La Mecque) rivalise avec les tours de verre et d’acier. Un symbole du Maroc de Mohammed VI. C’est là que les investissements étrangers sont le plus visibles. « En ce domaine, le pays a changé d’échelle » , explique Nadia Salah, rédactrice en chef et éditorialiste de L’Economiste, un quotidien épluché par le gotha des affaires et du gouvernement. Elle poursuit : « Maintenant, à moins de 2 milliards de dirhams [180 millions d’euros] , on n’annonce plus les projets à la une. »

    Le retour au bercail

    Casablanca est devenue la deuxième place financière du continent. Elle draine 48 % des investissements et assure 60 % du PNB du pays. Européens et Américains (la Snecma, EADS, Boeing...) se sont installés dans sa banlieue pour créer Casa Aerocity. En 2008, les seules réparations de moteurs d’avion vont engendrer une activité de 100 millions de dollars. La recherche y commence timidement.

    Le Maroc a formé 5 000 ingénieurs en 2006 mais en espère 10 000 en 2010. Ce sera le plus difficile. Car il faut plus de temps pour former les hommes que pour attirer les investissements à grands renforts d’incitations fiscales et de faibles coûts de main-d’oeuvre.

    Là encore, le Maroc n’a pas dit son dernier mot. Il dispose d’une réserve de matière grise à l’étranger et espère la faire rentrer au pays. Les jeunes des milieux aisés vont faire leurs études à Paris, Montréal, New York, Londres. Autrefois, ils restaient y vivre. Ce n’est plus le cas. Après quelques années, une expérience acquise, ils rentrent au bercail.

    Ce n’est pas encore un processus de masse, mais plus qu’un frémissement. « Les occasions sont multiples ici, ce serait stupide de ne pas en profiter », explique Brahim Sedrati. Avec son cousin, Reda, ils ont à peine 60 ans à eux deux et ont lancé un quotidien gratuit, le premier du Maroc. « C’est vrai, c’est difficile. Au Canada, on crée une entreprise en trente minutes et personne ne vous dit que vous êtes trop jeune.

    Mais la concurrence y est rude. Ici, l’administration est tatillonne, tout est lent, mais quand le succès vient la vie est plus facile. » Surtout pour les couples avec enfants. Une évidence qui leur fait sauter le pas.

    « Ce n’est pas parce que le pays n’est pas encore au niveau européen que j’allais attendre pour rentrer. Je voulais au contraire faire l’expérience d’une société où tout est à construire », s’enthousiasme Khadija Mekouar. Elle a ouvert un cabinet de conseil aux entreprises étrangères qui veulent installer des franchises. « Je suis arrivée au bon endroit au bon moment, explique-t-elle en secouant ses longues mèches brunes.

    Les sociétés étrangères voulaient s’installer au Maroc et ne savaient pas comment s’y prendre. Au départ, elles estimaient pouvoir réussir seules, puis elles ont vu qu’il valait mieux me rémunérer et que leur dossier avance plutôt que de faire quatre séjours pour rien. » L’arrivée des Américains et des Anglais, beaucoup moins à l’aise avec ce marché francophone que les entreprises françaises, est une incontestable opportunité pour Khadija, parfaitement bilingue. Elle n’est plus un oiseau rare. Le ministre de l’Economie et des Finances est venu à Paris en mars pour rencontrer des anciens des grandes écoles et les inciter à rentrer.

    Nommés à la tête de sociétés d’Etat ou d’administrations, on espère qu’ils vont secouer la machine. La lourdeur administrative, surtout des échelons intermédiaires, dont les mentalités n’ont pas évolué, reste un grave handicap.

    Ainsi va le Maroc de Mohammed VI, qui fêtera ses 9 ans de pouvoir en juillet-et ses 45 ans en août. Le royaume a un pied dans la modernité, l’autre dans la pauvreté. Le bled, 45 % de la population, n’évolue guère. Les bidonvilles sont toujours une réalité et l’islam radical n’a pas disparu. « Ce n’est pas encore un pays à revenus moyens, mais les pièces du puzzle pour y parvenir sont en train de se mettre en place », affirme un économiste. En cinq ans, c’est la première fois qu’il semble optimiste...

    lepoint.fr
    Dernière modification par diablo-colorado, 15 novembre 2008, 19h29.

  • #2
    Un « plan vert » pour l'agriculture

    « Le Maroc doit devenir le pays de l'olivier », a proclamé Mohammed VI en avril, lors du 3e Salon international de l'agriculture de Meknès. Après le « plan bleu » pour le tourisme, le royaume lance un « plan vert » pour l'agriculture, qui occupe 46 % de la population active et reste un des points faibles du pays.
    A la sortie de Marrakech, à peine a-t-on tourné le dos aux nouveaux ensembles immobiliers et aux golfs arrosés que l'on croise les hommes allant au souk sur leurs ânes et les laboureurs qui poussent l'araire. Des scènes qui se répètent partout, à quelques exceptions près (grandes exploitations maraîchères près d'Agadir et oliveraies et vignobles dans la région de Meknès). L'agriculture reste principalement céréalière et tributaire des pluies.
    Aux grands maux les grands remèdes. A l'automne dernier, le roi a nommé un des principaux hommes d'affaires du royaume, Aziz Akhannouch, patron du groupe Akwa (carburants, télécoms, immobilier), au portefeuille de l'Agriculture et des Pêches. Avec la consigne expresse de secouer le secteur. Le nouveau ministre s'est tourné vers le cabinet McKinsey pour faire un diagnostic et proposer des solutions.
    D'ores et déjà, de grandes sociétés étrangères, en particulier espagnoles, louent des centaines d'hectares pour y planter des oliviers et exporter de l'huile. La balance commerciale en sera améliorée, mais les paysans risquent, eux, de rester au Moyen Age. Les 750 000 fermes sont petites (85 % ont moins de 3 hectares) et les paysans n'ont ni la formation ni les moyens d'accéder aux crédits. Il est pourtant indispensable qu'ils y parviennent (le Crédit agricole du Maroc a des caisses pleines). Ils doivent aussi accepter un remembrement des terres et voir modifier les régimes fonciers (terres collectives et indivision). Une difficile révolution pour le bled.

    lepoint.fr

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    • #3
      Publié le 05/06/2008.

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      • #4
        La journaliste Mireille Duteil est connue pour ses livres et articles élogieux sur le Maroc. Elle fait partie du cercle des « amis du Maroc ». Ces français qui ont élus domicile au Maroc. Elle a écrit le livre "Chroniques marocaines".

        L’Algérie a eu droit à des livres comme "La Poudrière Algérienne" ou "Les Martyrs de Tibhérine".

        Je vous laisse imaginer le type de journaliste ...
        Dernière modification par icosium, 15 novembre 2008, 20h06.
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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        • #5
          Publié le 05/06/2008.

          il y a à peine 5 mois
          tu veux dire que la crise est passé par là oui c'est comme pour le pétrole c'est une crise qui ne dépassera pas fin 2009.

          l'engouement pour le Maroc même fébrile est réelle il y aura un ralentissement en 2009 et une varai relance à partir de 2010

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          • #6
            Envoyé par diabolo005
            Publié le 05/06/2008

            tu veux dire que la crise est passé par là oui c'est comme pour le pétrole c'est une crise qui ne dépassera pas fin 2009.
            Il veut dire que tu fais du réchauffé, et l'article a surement été posté en son temps par l'un de tes collegue.

            Ici c'est la rubrique actualité économique et pas contes et légandes

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            • #7
              pas contes et légendes
              C'est plutôt ta spécialité mendz, non ?

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              • #8
                encore une fois un article bidon sur "l'eldorado" qui est le maroc

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                • #9
                  ils sont entrain de brader tout signe qu'il n ya de bousculade sinon les prix seront infernales.

                  les europeens fuient l'intolerance et l'insecurité ils ne leurs restent que les pays froids du nord en ayant le monopole du chauffage ainsi celui i ne produira pas son propre chauffage deguerpira ou périra.

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                  • #10
                    notre medecin du petit village ou j'habite est parti y de ça 5 ans en vacance au maroc ....depuis ..il a chaeter une maison en suite il a ouvert un cabiné medicale la bas ou il travaillet 15 jour et 15 jour ici et la depuis 2 ans ...il travaille 29 jour au maroc et une journée par moi en france ..... ça fille et son fils ce sont instaler la bas depuis 1 ou 2 ans eux aussi ...par contre la fille fille et revenu suite a une mauvaise aventure avec la "dictature " policier ..elle a eut affaire au vrai visage de la police d'un pays arabe ...donc elle a repri ç clic et clac et rentrer en france
                    tu tombe je tombe car mane e mane
                    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                    • #11
                      algerie

                      ca devient crainios

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                      • #12
                        g retenu la derniere partie de l'article , l'agriculture , le maroc joue gros , tres gros avec ce capitaliste qui s'adonne au jeu de revolutionner l'agriculture au maroc , et on c deja ce qu'il va en faire ... toucher a l'economie rurale pour un pays comme le maroc c secouer son assise economique et sociale .. je remarque aussi que 85% des fermes ont moins de 3 Hectares ?!! et on pousse l'arraire, donc on labour avec des betes juste a la sortie de grandes aglomerations comme fes et meknes ... pour dire qu'au maroc pays des extremes il ne faut jamais se fier à ce que vous voyes et vous entendez ,,le premier virage d'apres vous verrez le contraire extreme .
                        en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                        • #13
                          Le but de la réforme est de passer à de plus grandes surfaces par agriculteur, et mécaniser le tout, sous la gestion de groupes privées ayant les moyens de financer la mise à niveau.
                          Dans quelques années le Maroc produira énormément plus. Le tout est de savoir si on tiendra face aux produits importés des US sans taxe douanière.
                          La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                          • #14
                            geaas , je ne veus pas discuter de l'agriculture marocaine je ne connais pas ttes ses realité , mais j'en connais assez , je suis agriculteur , et je suis en contact avec des gens qui travaillent avec des agriculteurs marocains et qui se deplacent bcp au maroc et en espagne, reste que l'agriculture marocaine ds ses structures ,ds ses fondamentaux n'est pas tres differente de celle d'ici , les 40 années de stabilité , de liberalisme , d'ouverture de son marché à l'export fait qu'elle est plus exportatrice , plus specialisée ds certaines filieres , mais ds l'ensemble elle est comme l'algerienne deficitaire , sous encadrée, sous equipée , tres dependantes aux aleas climatiques , aux perturbations du marché interieur en algerie , et à l'export chez vous ..etc .. ce qu'on ne sait pas au maroc c'est que la paysannerie algerienne a été complettement fagocitée par le terrorisme , des millions de paysans ont quitté leur terre difinitivement ou poartiellement , le maroc a la chance d'voir cette assise rurale encore solidement ancrée ds son environnement , elle produit , elle s'alimente et fournie la ville meme , muer cette sphere en autre chose type agriculture intensive à l'europeene ne se fait pas comme ça par magie , ça a des incidences immences ,economiques ,mais aussi sociales et culturelles , un type comme ce akhanouche ne conçoit que l'aspect economique de la chose , calqué sur un model ,imaginé , importé, conseillé , imposé , n'importe mais qui aura des consequences monstres ... je suis de ceux qui pensent qu'un pays comme l'algerie c'est le monde rural et sa stabilité , et le developpement humain, enseignement et santé qui sont la base de tt , le monde rural c'est la stabilité economique et sociale actuelle , l'enseignement et la santé feront la realité de demain ... le passage graduelle d'une agriculture comme celle du maroc a une agriculture exclusivement intensive , exportatrice , avec un haut rendement à l'hectar et par agriculteur necessite non pas un capitaliste ,mais des decenie de travail ds le cadre d'une politique agricole concertée , volontaire , et surtt intelligente .. produire des fraises , des oranges , et etre dependant en lait, en blé, en viande , faire exploser ses ville vider ses campagnes ..
                            pour finir un exemple ,on peut etre tres performant ds une ferme de deux hectares , 90 % de l'agriculture allemande est de type familiale , 80 % des fermes allmandes sont informatisées , on peu parler de la qualification, et de l'age des agriculteurs allemands , et hollandais ,les 10 % des fermes restantes fournissent l'essentiel de la production agricole de type industrielle .. au maroc faut aussi penser au probleme de l'eau , de l'energie ..etc ..
                            en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                            • #15
                              Salam,

                              Y a déjà une facette abordé par McKenzy lors du rapport sur l'industrie, ils ont mis l'accent sur quelques agro-industries, qui vu la carence de l'offre, ne peuvent souffrir d'une quelconque difficulté à l'export .. L'huile d'olive figure en bonne partie.

                              C'est qui est curieux -et que je soutiens pleinement au passage-, c'est que la stratégie non encore entièrement dévoilée prévoit un long volet "céreales" .. Enfin le reveil .. il parait qu'ils vont se baser sur une "carte de rentabilité" pour ne faire l'acompagnement qu'aux exploitations/régions(?) pouvant être compétitives.

                              Mais dans tous les cas, le plan Maroc vert ne peut être qu'un grand plus au Maroc, la logique des tomates et oranges à l'export est -pour moi- une grande stupidité pour un pays hydriquement pas très bien loti.

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