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JS KABYLIE : Ifticen jette l’éponge

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  • JS KABYLIE : Ifticen jette l’éponge

    Un petit tour et puis s’en va. L’entraîneur nouvellement installé de la JSK, Younès Ifticen, a jeté l’éponge, hier, quelques heures après le match nul de son club face à la modeste équipe de l’USM El Harrach. Selon certaines sources, sa démission serait motivée par les fréquents désaccords avec certains joueurs à l’instar du gardien Faouzi Chaouchi. Très en colère après une dispute avec le gardien, le deuxième entraîneur du club cette saison, après le roumain Alexandru Moldovan, a jeté l’éponge. Sa démission acceptée par le président du club, Arezki Amrouche a pris le relais. En effet, le départ de Younès Ifticen était, depuis quelques temps, très probable. L’actualité du club n’était également pas pour aider Ifticen dans sa tâche. La fin de mandat de l’actuel président et la venue de l’entrepreneur Haddad n’ont pas seulement dominé la scène mais, elle ont aussi perturbé les joueurs. La concentration ne pouvait s’installer de nouveau qu’après l’assemblée générale. A présent, après le départ d’Ifticen, la tâche de Arezki Amrouche ne sera pas facile. Les Canaris sont attendus sur plusieurs fronts. Dans quelques mois, ils devront entamer l’aventure de la League des champions africaine et dès demain, ils seront appelés à défendre leur titre de champions d’Algérie.
    Kamel BOUDJADI

  • #2
    Dur dur d'être entraineur de la JSK!

    I3ich Chaouchi berk.
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

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    • #3
      et dire qu'on veut le retour de saib !!!

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      • #4
        Le jour où on a préféré Chaouchi à Gaouaoui que j'ai compris que la JSK est en train de devenir un club quelconque...

        Autrefois, pour évoluer à la JSK il fallait avoir des qualités morales d'abord.
        "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
        Socrate.

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        • #5
          exact !! surtout avec la multiplication des cas d'indiscipline : chaouchi, derrag, athmani, wassiou, zafour, mazari, ...etc, la Jsk a perdu son statut de club qui ne négocie pas avec la discipline instaurée depuis zywotko et khalef.

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          • #6
            n'importe quoi, bricolage de hannachi !!!

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            • #7
              mecmad n'importe quoi, bricolage de hannachi !!!
              prenons ces 5/6 dernières saisons; la Jsk a vu se succéder plusieurs entraineurs, et le problème c'est que ce sont toujours les mêmes têtes qui vont puis reviennent...exp: ait djoudi 3fois entraineur de la jsk, mouassa 3fois, j y chay 2 fois, saib 2 fois. à mon avis lorsqu'on découvre qu'un entraineur est "nul" pourquoi lui faire encore confiance à nouveau puis le virer ...et l'appeler ensuite à la rescousse. le vrai problème, il faut le chercher ailleurs.

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              • #8
                Les Canaris continuent à souffler le chaud et le froid. Après deux succès consécutifs, dont un à l’extérieur, les hommes de Younès Ifticen ont renoué avec leurs vieux démons en se faisant «crocheter» à domicile par l’USMH, (1-1). A ce rythme c’est l’entraîneur qui risque de trinquer et il semble bien ne plus faire l’unanimité. Vendredi, les supporters réclamaient carrément sa tête et même si Ifticen a fait mine de ne pas y prêter attention, en son for intérieur, il sait pertinemment que la porte ne tardera pas à se refermer derrière lui. Si le président Hannachi a rappelé qu’il ne comptait pas se séparer de son entraîneur au lendemain de la défaite face au CRB (1-0), la tendance a depuis basculé, faisant penser que la vérité d’un jour n’est pas forcément celle du lendemain. Et c’est ce flou justement qui entoure l’avenir de Younès Ifticen à la tête de la barre technique qui nous le fait penser. Comme nous l’indiquions plus haut, le technicien ne fait plus l’unanimité et cela s’est confirmé dès lors que c’est le vestiaire qui s’est révolté contre lui. Il est devenu évident, en effet, qu’il a perdu la maîtrise du groupe. C’est l’ensemble des joueurs et ce, même s’ils ne le disent pas tout haut, qui le décrient. On n’est plus dans le simple contexte de joueurs mécontents de ne pas être alignés, comme cela a pu se passer il y a quelques jours, mais le sentiment de révolte si l’on peut l’appeler ainsi s’est propagé jusqu’aux cadres de l’équipe, au point où on lui impute carrément la responsabilité du faux pas enregistré vendredi face à l’USMH. On lui reproche, en effet, d’avoir trop voulu jouer la prudence en deuxième mi-temps en optant pour une stratégie défensive. Ce qui n’est pas tout à fait faux. Qu’on en juge : 50’ Ifticen fait sortir Amaouche et le remplace par Bellat. Soit un milieu défensif contre un attaquant. Il demande après à Abdeslam de reculer d’un cran pour occuper le poste de deuxième stoppeur. Dans la foulée, Charef répond à ce changement par l’incorporation de Souakir à la place de T. Guessoum. Soit un attaquant pour un défenseur. Le jeu bascule dès lors à la faveur des Harrachis qui ont réussi au fil du temps à asseoir leur domination au milieu du terrain. Durant ce temps, les Kabyles cèdent du terrain, – laissant l’initiative à leur adversaire qui, sur un centre en retrait de Souakir, celui-là même qui venait de faire son entrée quelques minutes avant, – et le ballon ricoche sur la main de Abdeslam et … Penalty ! Cela pour revenir un peu sur le moment où la rencontre a basculé. Bechouche, le coach adjoint de l’USMH résume le tout dans une déclaration fort significative : «Tout s’est joué en deuxième mi-temps. En voyant le coach adverse faire sortir un attaquant pour un élément défensif, on savait qu’il y avait un coup à jouer. Nous avons fait entrer un attaquant pour créer le surnombre devant et ça a marché». A trop vouloir jouer la prudence, Ifticen a perdu la bataille des bancs. Et à ce rythme, c’est la guerre qu’il risque de perdre.
                A. A. A.
                «Si c’est moi le problème, je m’en vais»
                Younès Ifticen assume tout. Dans l’entretien qui suit, l’entraîneur kabyle dit être prêt à s’en aller, «si cela pouvait faire du bien à l’équipe» pour reprendre ses mots. Il revient au passage sur ce prétendu accrochage avec Chaouchi qu’il réfute catégoriquement.
                • Avec du recul et comme ça, à froid, comment expliquez-vous le faux pas concédé hier à domicile, (entretien réalisé hier, ndlr) ?
                  Mon impression sur le match n’a pas trop changé par rapport à ce que je vous ai dit hier. Je continue de penser que nous avons payé les gros efforts consentis lors du match de Blida. On a flanché vers la fin et cela a profité à l’adversaire qui s’est redéployé. Voilà tout. Après ça s’est joué sur un rien. Il y a eu ce penalty que je vais omettre de commenter et qui a fait basculer le match. Sans ça, je ne pense pas qu’on aurait cédé ces deux points.
                • Honnêtement, où situez-vous votre responsabilité dans ce faux pas ?
                  J’assume tout. Je suis l’entraîneur en chef, donc, forcément, c’est moi qui devrais assumer en cas d’échec. Cela se passe comme ça et on ne peut rien y changer. Seulement, je ne veux pas qu’on ne retienne que ce qui n’a pas marché. Il y a eu du bon, il ne faut pas l’occulter.
                • Que vous êtes-vous dit dans le vestiaire à la fin du match ?
                  Rien de spécial. Je pense que les garçons étaient très déçus, je n’avais pas à remuer le couteau dans la plaie. J’ai préféré laisser passer et revenir sur cela tranquillement à la reprise. Je préfère parler à tête reposée. C’est ce que je fais toujours.
                • On a dit pourtant que vous vous êtes accroché avec votre gardien Chaouchi. Qu’en est-il au juste ?
                  Franchement, je me suis étonné de lire ça dans le journal ce matin. Ça m’a surpris vraiment dès lors qu’il n’y a absolument rien de tout ça. Il ne s’est absolument rien passé, ni avec Chaouchi ni quelqu’un d’autre d’ailleurs. Comme je vous l’ai dit plus haut, je ne suis pas du genre à parler aux joueurs après un match. Je leur ai donné rendez-vous dimanche pour la reprise, c’est tout. Je tiens à le répéter, il n’y a jamais eu d’accrochage avec quiconque. Je ne connais pas les motivations de ceux qui propagent ce genre de calomnies, mais c’est la stabilité du groupe qui est visée.
                • Votre avenir est flou… depuis hier on parle avec insistance d’un probable départ…
                  Honnêtement, je ne suis pas en mesure, à l’heure actuelle, d’affirmer quoi que ce soit. Je préfère encore attendre pour voir Maintenant, si je vois que c’est moi le problème, je m’en irai. Il n’y a aucun souci. Seulement, je dois d’abord voir ce qu’il en est au juste. Je sais que certains sont en train de tout faire pour me pousser à partir, mais je ne céderai pas à la manipulation. Car à l’opposée, il y a des gens qui me soutiennent. Des messages de soutien, j’en ai reçu des dizaines ce matin. C’est pour cette raison que je n’ai pas envie de me précipiter.
                  Entretien réalisé par
                  Achour Aït Ali
                Le coup de fil de Hannachi
                L’avenir de Younès Ifticen est toujours en suspens. Le coach kabyle, dont la tête est mise à prix après le faux pas concédé à domicile vendredi face à l’USMH, s’est expliqué hier avec le président Hannachi pour mettre les choses au clair. L’entraîneur kabyle que nous avons joint hier matin par téléphone se disait prêt à partir. «Si jamais je voyais que c’est moi le problème, je suis un professionnel, un entraîneur qui assume ce qu’il fait. Si je vois que mon départ pouvait arranger la situation, eh bien il n’y a aucun souci, je partirai. Seulement, je dois d’abord rencontrer le président pour voir ce qu’il pense de tout cela» nous a-t-il fait savoir. Finalement, Hannachi n’a pas laissé traîner les choses. Il a, en effet, appelé hier son entraîneur pour s’expliquer avec lui. Les deux hommes sont, naturellement revenus sur le faux pas concédé face à l’USMH, mais aussi sur ses prétendus rapports conflictuels avec certains joueurs. Seulement, pour l’heure aucune décision n’a été prise. Ifticen reste donc en place... jusqu’à nouvel ordre.
                A. A. A.
                Hannachi «J’aurai sa réponse définitive aujourd’hui»
                Le sujet d’actualité à la JSK est l’avenir de Younès Ifticen. Restera ou ne restera pas en poste? Selon nos informations, on pencherait vers la deuxième option même si, pour le moment, rien d’officiel n’a filtré. Cela ne saurait tarder, on aura notre réponse aujourd’hui selon le premier responsable du club. «J’ai discuté avec Ifticen au sujet de ce qui s’est passé vendredi après le match contre l’USMH. Je lui ai clairement fait savoir que je lui renouvelais ma confiance, mais je ne vous cache pas que je l’ai senti hésitant. Je lui ai alors demandé de bien réfléchir à son avenir et de me rendre une réponse définitive et officielle à l’occasion de la rencontre que nous aurons demain dimanche», nous fera savoir président kabyle.
                A. H (le buteur)

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                • #9
                  Football : l’entraîneur de la JS Kabylie démissionne

                  Football : l’entraîneur de la JS Kabylie démissionne


                  Par ameziane athali ,

                  L'entraineur de la JS Kabylie Younes Ifticène a démissionné, dimanche matin, de ses fonctions, suite au match nul (1-1) obtenu par son club vendredi en championnat face à l'USM El-Harrach à Tizi-Ouzou, a indiqué à *************** une source proche de la direction de la JSK. M. Ifticène a appelé le président de la JSK pour lui dire « qu'il ne viendra plus à Tizi-Ouzou » a confié un dirigeant du club qui a souhaité garder l'anonymat.

                  C'est le troisième entraineur à claquer la porte du club Kabyle depuis le début de l'année, après les départs de Saib et du Roumain Moldovan. Le nom de Nacer Sandjak, actuel entraîneur du club français Noisy-le-Sec (division d'honneur) est avancé pour succéder à Ifticène à la tête d'un club qui connait de sérieuses difficultés depuis le début de la saison.

                  TSA

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                  • #10
                    Moha

                    C'est un classic en algérie, 12 entraineurs, en 12 journées.

                    Moi je veux bien être entraineur de la JSK.........

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                    • #11
                      C’est officiel, Younès Ifticen n’est plus l’entraîneur de la JSK. Le technicien a confirmé hier au cours d’un entretien téléphonique sa décision de mettre fin à ses fonctions à la tête barre technique des Canaris. Une décision qui n’étonne guère, à vrai dire, vu que son départ était une issue fort évidente, après le semi-échec - un de trop !- concédé à domicile face à l’USMH. Un échec qui n’a fait que précipiter un destin déjà scellé depuis un moment. En effet, il ne subsistait plus l’ombre d’un doute quant à l’avenir de Younès Ifticen qui, dès le départ, ne faisait pas l’unanimité chez les Kabyles dont l’écrasante majorité ne voyait pas d’un bon œil l’arrivée de ce technicien qu’on avait fait venir pour parer à une situation d’urgence. Le compte à rebours s’est en quelque sorte enclenché dès lors que Ifticen a posé pied à Tizi Ouzou. Maintenant, simple coïncidence ou ironie du sort, les faits sont là. Ifticen n’est plus l’entraîneur de la JSK depuis hier. Une issue à laquelle le technicien ne pouvait échapper, pour le simple fait que déjà côté résultats, ça laisse à désirer, alors si on y ajoute ses relations conflictuelles avec plusieurs cadres de l’équipe et certains dirigeants, ça ne pouvait se passer autrement. Ifticen laisse derrière lui un bilan mitigé. Quelques éclats éphémères en Coupe de la CAF et des prestations carrément piteuses en championnat. Sous sa coupe, la JSK a réalisé, toutes compétitions confondues, cinq victoires, quatre matches nuls et quatre défaites. C’est en championnat que la copie produite sous l’ère Ifticen est peu probante avec deux victoires, une défaite et quatre matches nuls, dont trois à domicile. Le nul de vendredi face à l’USMH a donc tout précipité. Ainsi donc, Ifticen s’en va, après moins de trois mois de présence - c’est ainsi qu’on devrait l’appeler - à la barre technique des Canaris. Il a, par ailleurs, communiqué sa décision au président Hannachi hier au téléphone. Celui-ci devrait dès lors se mettre à lui chercher un successeur. Le champion sortant s’apprête donc à connaître son troisième entraîneur depuis le début de la saison. En attendant, c’est Mourad Rahmouni, comme il y a trois mois, qui a assuré la reprise hier soir et probablement l’intérim, en attendant la nomination d’un entraîneur en chef.
                      A. A. A.
                      «Vu le contexte, il m’était impossible de continuer»
                      • Votre avenir à la JSK continue de faire jaser et on aimerait bien que vous nous apportiez des éclaircissements à ce sujet ?
                        Eh bien, il n’y a plus matière à spéculer ! Je vous apprends qu’à compter d’aujourd’hui, je ne suis plus l’entraîneur de la JSK. J’ai bien réfléchi à tout ça ces deux derniers jours et je suis parvenu à la conclusion qu’il vaudrait mieux pour tout le monde que je parte. Dans le contexte actuel, il m’est impossible de rester. Il y a trop de choses qui allaient de travers. Et comme je suis quelqu’un qui tient à sa dignité, je préfère m’en aller.
                      • Quand vous dites qu’il y a des choses qui vont de travers, à quoi faites-vous allusion ?
                        Ce sont des choses que je voudrais laisser pour moi. J’en ai parlé au président et lui sait pertinemment de quoi il s’agit. Je suis quelqu’un qui fait son travail dans la transparence et comme il y a eu de la manipulation, je préfère laisser ma place propre que d’entrer dans le jeu de ces gens malintentionnés.
                      • Sincèrement, vous ne pensez pas que ça allait arriver tôt ou tard ?
                        Ecoutez, la vie d’un entraîneur est ainsi faite. Aucun entraîneur au monde ne peut se targuer d’être éternel à son poste. Moi, je suis venu, j’ai travaillé en mon âme et conscience. J’y ai mis du cœur, je vous l’assure. J’ai cru en ce que je faisais. Maintenant, on est arrivé à un point ou il m’est difficile de continuer, je préfère donc m’en aller.
                      • On a beaucoup spéculé sur vos relations conflictuelles avec certains joueurs ; serait-ce la raison de votre décision de partir ?
                        Non, pas du tout. Avec les joueurs, il y a toujours eu une relation transparente. Je n’ai jamais lésé personne, contrairement à ce que j’ai pu entendre çà et là. J’ai essayé d’être correct avec tout le monde, de faire tourner l’effectif de manière à donner sa chance à chacun. Non, de ce côté-ci, ça n’a jamais été un problème.
                      • Avez-vous mis au courant le président Hannachi de votre départ ?
                        Je le ferai tout à l’heure, même si on en a parlé hier. Comme je vous le disais, on a tiré les choses au clair. Comme je suis quelqu’un de réfléchi, j’ai préféré ne pas prendre de décision à la hâte. Je me suis donné du temps pour réfléchir à tout ça. Je lui communiquerai ma décision tout à l’heure. (Entretien réalisé hier, ndlr).
                        Entretien réalisé par
                        Achour Aït Ali(le buteur)

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