A peine l'accord d'association entre l'Algérie et l'UE signé, voilà que la chaîne de restauration Quick annonce son arrivée prochaine sur le marché algérien. Celà nous changera un peu des frites-merguez et de la garantita!
Attention au surpoids, même si Quick jure que chez eux, le goût est roi...
= Quick en Algérie à fin mars 2006 =
Quick, l’enseigne belge de renommée internationale, ouvrira les portes de son premier établissement de restauration rapide à Alger au plus tard fin mars 2006. Avec un engagement des responsables du groupe: maintenir la qualité et afficher des prix accessibles au plus grand nombre de consommateurs.
« Nous espérons une ouverture le plus vite possible. Nous sommes clairement venus identifier avec notre partenaire tous les sites susceptibles d’accueillir les premiers Quick et se faire une meilleure idée sur les prix auxquels cela va se situer», a affirmé Jean-Paul Brayer, président-directeur général du groupe dans un entretien au Quotidien d’Oran, en marge d’une visite de travail à Alger, ce week-end.
Une franchise exclusive sur tout le territoire national a été accordée par Quick au Groupe Bertrand qui gère des franchises de la marque en France.
L’enseigne se fixe pour objectif le 1er trimestre 2006 comme échéance, d’autant que la faisabilité du projet n’est pas mise en doute, car elle concerne actuellement le choix d’implantation des sites. «Notre ambition est d’ouvrir le premier Quick à Alger avant 1er trimestre 2006. On en rêvait pour la fin de cette année.
Après, nous ouvrirons d’autres enseignes dans les grandes villes. Je voudrais en avoir plus qu’un d’ouvert en 2006.
Nous sommes sûr du succès et il ne sert à rien de traîner», a indiqué Jean-Paul Brayer. En l’état actuel de l’avancement, les responsables du groupe ne connaissent pas le montant global de l’investissement qui sera consenti.
Cette visite a également permis au staff dirigeant de Quick de situer la fourchette des prix qui seront alignés par les franchises. Un plateau complet devrait coûter, selon le PDG du groupe, entre 300 et 400 dinars. «Nous avons étudié les prix pratiqués sur le marché. Nous n’allons pas changer le concept Quick qui est accessible au plus grand nombre sur des recettes reconnues avec quelques ajustements dus aux coutumes locales, comme pour la viande ou certaines sauces. Nous ne pouvons pas et nous ne voulons pas transformer Quick en restauration de luxe. Quick a pour objectif d’être mangé par le plus grand nombre», a précisé Jean-Paul Brayer.
L’argument de Quick tient au fait que les marges de bénéfices dégagées par le groupe ne se réalisent pas sur un client mais grâce à un nombre important de consommateurs. «Si jamais nous mettons la barre des prix trop haut, nous ne nous en sortons pas. Par contre, si nous avons le bon prix consommateur, il n’y a pas de problèmes», a indiqué le PDG de Quick.
Quick tient toutefois à sa marque de fabrique. Ses responsables s’engagent à avoir la même de qualité de service à Alger, Paris ou Bruxelles. «Nous avons un système normé et nous ne dérogeons pas à notre règle stricte.
La qualité doit être la même quel que soit le pays. Nous n’aurons pas de problèmes de langue et nous pourrons envoyer le personnel en formation dans notre école». La formation est obligatoire au sein du groupe. «Elle est la garantie du succès de la continuité de notre affaire. Si dans un pays ça fonctionne bien et dans un autre non, cela fait désordre. Nous voulons un Quick identique pour tous les pays», a souligné Jean-Paul Brayer.
Il est néanmoins trop tôt pour connaître les sources d’approvisionnement de la marque en Algérie, d’autant que la stratégie en la matière dépend de la taille de la chaîne.
«Nous essayons à chaque fois que possible d’être en approvisionnement local. Mais nous avons également besoin des garanties de sécurité alimentaire. Nous ne sommes pas des producteurs d’origine, nous rassemblons plutôt les producteurs. C’est vrai que nous allons acheter le moins cher possible. Le fait d’acheter sur place est la plupart du temps moins cher, à condition que les producteurs respectent nos cahiers de charge», a noté le PDG du groupe.
Pour le premier responsable du groupe, le marché algérien est porteur. Le plan d’expansion de Quick en Algérie est dans ce cadre important. Le nombre de fast-foods sur le territoire national devrait atteindre, à moyen terme, au moins une vingtaine d’enseignes, voire le double.
«Si les deux ou trois premiers Quick rencontrent le succès et que nos études de marché sont confirmées, nous n’aurons pas de limites. L’Algérie est un pays important, avec une population jeune», a précisé le PDG de Quick.
Le groupe a près de 400 enseignes à travers le monde, dont 2 au Maroc et 2 au Emirats Arabes Unis.
Source : Le Quotidien d'Oran
Attention au surpoids, même si Quick jure que chez eux, le goût est roi...
= Quick en Algérie à fin mars 2006 =
Quick, l’enseigne belge de renommée internationale, ouvrira les portes de son premier établissement de restauration rapide à Alger au plus tard fin mars 2006. Avec un engagement des responsables du groupe: maintenir la qualité et afficher des prix accessibles au plus grand nombre de consommateurs.
« Nous espérons une ouverture le plus vite possible. Nous sommes clairement venus identifier avec notre partenaire tous les sites susceptibles d’accueillir les premiers Quick et se faire une meilleure idée sur les prix auxquels cela va se situer», a affirmé Jean-Paul Brayer, président-directeur général du groupe dans un entretien au Quotidien d’Oran, en marge d’une visite de travail à Alger, ce week-end.
Une franchise exclusive sur tout le territoire national a été accordée par Quick au Groupe Bertrand qui gère des franchises de la marque en France.
L’enseigne se fixe pour objectif le 1er trimestre 2006 comme échéance, d’autant que la faisabilité du projet n’est pas mise en doute, car elle concerne actuellement le choix d’implantation des sites. «Notre ambition est d’ouvrir le premier Quick à Alger avant 1er trimestre 2006. On en rêvait pour la fin de cette année.
Après, nous ouvrirons d’autres enseignes dans les grandes villes. Je voudrais en avoir plus qu’un d’ouvert en 2006.
Nous sommes sûr du succès et il ne sert à rien de traîner», a indiqué Jean-Paul Brayer. En l’état actuel de l’avancement, les responsables du groupe ne connaissent pas le montant global de l’investissement qui sera consenti.
Cette visite a également permis au staff dirigeant de Quick de situer la fourchette des prix qui seront alignés par les franchises. Un plateau complet devrait coûter, selon le PDG du groupe, entre 300 et 400 dinars. «Nous avons étudié les prix pratiqués sur le marché. Nous n’allons pas changer le concept Quick qui est accessible au plus grand nombre sur des recettes reconnues avec quelques ajustements dus aux coutumes locales, comme pour la viande ou certaines sauces. Nous ne pouvons pas et nous ne voulons pas transformer Quick en restauration de luxe. Quick a pour objectif d’être mangé par le plus grand nombre», a précisé Jean-Paul Brayer.
L’argument de Quick tient au fait que les marges de bénéfices dégagées par le groupe ne se réalisent pas sur un client mais grâce à un nombre important de consommateurs. «Si jamais nous mettons la barre des prix trop haut, nous ne nous en sortons pas. Par contre, si nous avons le bon prix consommateur, il n’y a pas de problèmes», a indiqué le PDG de Quick.
Quick tient toutefois à sa marque de fabrique. Ses responsables s’engagent à avoir la même de qualité de service à Alger, Paris ou Bruxelles. «Nous avons un système normé et nous ne dérogeons pas à notre règle stricte.
La qualité doit être la même quel que soit le pays. Nous n’aurons pas de problèmes de langue et nous pourrons envoyer le personnel en formation dans notre école». La formation est obligatoire au sein du groupe. «Elle est la garantie du succès de la continuité de notre affaire. Si dans un pays ça fonctionne bien et dans un autre non, cela fait désordre. Nous voulons un Quick identique pour tous les pays», a souligné Jean-Paul Brayer.
Il est néanmoins trop tôt pour connaître les sources d’approvisionnement de la marque en Algérie, d’autant que la stratégie en la matière dépend de la taille de la chaîne.
«Nous essayons à chaque fois que possible d’être en approvisionnement local. Mais nous avons également besoin des garanties de sécurité alimentaire. Nous ne sommes pas des producteurs d’origine, nous rassemblons plutôt les producteurs. C’est vrai que nous allons acheter le moins cher possible. Le fait d’acheter sur place est la plupart du temps moins cher, à condition que les producteurs respectent nos cahiers de charge», a noté le PDG du groupe.
Pour le premier responsable du groupe, le marché algérien est porteur. Le plan d’expansion de Quick en Algérie est dans ce cadre important. Le nombre de fast-foods sur le territoire national devrait atteindre, à moyen terme, au moins une vingtaine d’enseignes, voire le double.
«Si les deux ou trois premiers Quick rencontrent le succès et que nos études de marché sont confirmées, nous n’aurons pas de limites. L’Algérie est un pays important, avec une population jeune», a précisé le PDG de Quick.
Le groupe a près de 400 enseignes à travers le monde, dont 2 au Maroc et 2 au Emirats Arabes Unis.
Source : Le Quotidien d'Oran
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