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«Vers la promotion de nouvelles techniques dans le secteur des travaux publics»
Un colloque international, sur l’utilisation des produits géosynthétiques dans le domaine des travaux publics, a entamé, hier, ses travaux au Palais des expositions d’Alger par une allocution du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, qui a fait le point sur ces produits innovants qui sont de plus en plus utilisés dans notre pays.
Cette technique lancée en Algérie en 2003 a été utilisée entre autres pour régler le problème de plusieurs glissements de terrain, dans la réalisation de plusieurs routes et autoroutes dans des zones inondables.
Par ailleurs, cette nouvelle technique a servi dans la réalisation d’infrastructures maritimes dans des terrains soumis à la corrosion, de beaucoup d’ouvrages d’arts et de plates-formes aéroportuaires dans le Grand Sud, alors qu’on a fait appel à ces produits innovants dans le drainage des sols routiers, ainsi que pour effectuer de grands remblais sur des terrains au comportement gâté.
Dans sa déclaration, le ministre précise que les travaux de ce colloque permettront d’évaluer la période 2003-2008, et «ancrer durablement notre démarche-qualité en s’appuyant sur les produits innovants et continuer dans un cadre plus méthodique, où l’on prend aspect de la maîtrise de la qualité», puisqu’aujourd’hui nous avons 16 wilayas où les géosynthétiques sont appliquées sur le terrain.
Ainsi, le ministre a insisté à pour que toutes les techniques doivent être normalisées, surtout les normes d’application sur le terrain, où il existe pas moins de 80 normes de par le monde.
Revenant sur le bilan des cinq années précédentes en matière d’utilisation des géosynthétiques, le ministre a précisé que l’utilisation de ces produits innovants «a donné de très bons résultats, mais un résultat positif il faut le généraliser», puisque nous avons besoin de partenaires et chercheurs en la matière.
Pour surmonter notre déficience, le ministre a invité les directions des travaux publics et les compétences du pays à trouver des solutions. «Certes, nous avons franchi des étapes mais nous pouvons aller plus loin dans notre démarche-qualité», a-t-il insisté.
Tout en précisant que ces produits sont très économiques et renferment des performances inégalables, M. Ghoul a révélé qu’un institut supérieur de gestion des produits géosynthétiques est en cours de réalisation à Alger.
Alors il invite les chercheurs à créer un comité algérien en la matière, et celui-ci qui sera un espace de compétence, doit naître le plutôt possible, a insisté le ministre. C’est-à-dire être un espace où «l’idée prime sur toute hiérarchie».
Concernant la réalisation de l’autoroute Est-Ouest, M. Amar Ghoul, a précisé que 1 000 compétences nationales entre ingénieurs en hydraulique et génie civil seront recrutés dans les semaines à venir, dans le cadre de cet immense chantier.
L'Authentique
Cette technique lancée en Algérie en 2003 a été utilisée entre autres pour régler le problème de plusieurs glissements de terrain, dans la réalisation de plusieurs routes et autoroutes dans des zones inondables.
Par ailleurs, cette nouvelle technique a servi dans la réalisation d’infrastructures maritimes dans des terrains soumis à la corrosion, de beaucoup d’ouvrages d’arts et de plates-formes aéroportuaires dans le Grand Sud, alors qu’on a fait appel à ces produits innovants dans le drainage des sols routiers, ainsi que pour effectuer de grands remblais sur des terrains au comportement gâté.
Dans sa déclaration, le ministre précise que les travaux de ce colloque permettront d’évaluer la période 2003-2008, et «ancrer durablement notre démarche-qualité en s’appuyant sur les produits innovants et continuer dans un cadre plus méthodique, où l’on prend aspect de la maîtrise de la qualité», puisqu’aujourd’hui nous avons 16 wilayas où les géosynthétiques sont appliquées sur le terrain.
Ainsi, le ministre a insisté à pour que toutes les techniques doivent être normalisées, surtout les normes d’application sur le terrain, où il existe pas moins de 80 normes de par le monde.
Revenant sur le bilan des cinq années précédentes en matière d’utilisation des géosynthétiques, le ministre a précisé que l’utilisation de ces produits innovants «a donné de très bons résultats, mais un résultat positif il faut le généraliser», puisque nous avons besoin de partenaires et chercheurs en la matière.
Pour surmonter notre déficience, le ministre a invité les directions des travaux publics et les compétences du pays à trouver des solutions. «Certes, nous avons franchi des étapes mais nous pouvons aller plus loin dans notre démarche-qualité», a-t-il insisté.
Tout en précisant que ces produits sont très économiques et renferment des performances inégalables, M. Ghoul a révélé qu’un institut supérieur de gestion des produits géosynthétiques est en cours de réalisation à Alger.
Alors il invite les chercheurs à créer un comité algérien en la matière, et celui-ci qui sera un espace de compétence, doit naître le plutôt possible, a insisté le ministre. C’est-à-dire être un espace où «l’idée prime sur toute hiérarchie».
Concernant la réalisation de l’autoroute Est-Ouest, M. Amar Ghoul, a précisé que 1 000 compétences nationales entre ingénieurs en hydraulique et génie civil seront recrutés dans les semaines à venir, dans le cadre de cet immense chantier.
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