Oui, vous ne rêvez pas ! Au Nebraska, il est possible, légalement de se débarrasser de nos affreux ados boutonneux, chiants, qui cassent les portes, nous crient à tout bout de champ :"Mais je suis un incompris !" ; ceux-là même qui sortent le week-end :"Ici, ca craint trop, je m'aère ! Bande de vieux... !" Ah et si vous n'avez jamais connu cela , je vous rassure, ça arrive un jour et ça passe aussi, et après tout le monde en rigole... les anecdotes ne manquent pas pour moi, j'en ai eu trois, et pas des tendres s'il vous plaît!
Alors, imaginez, je suis tombée sur la petite brève qui va nous faire tous sourire , en se rappelant qu'une fois ou deux, nous aussi aurions voulu juste une heure de tranquilité, à défaut de s'en débarrasser légalement et définitivement comme au Nebraska!
Lisez plutôt
C'est Le Matin qui en parle. Selon lui, plus une trentaine d'enfants et d'adolescents ont été abandonnés par leurs parents, ces dernières semaines.
Comment c'est possible?
A l'orgine, la loi partait d'une bonne intention: protéger les enfants non désirés en autorisant leurs parents à les déposer dans un hôpital sans craindre de poursuites.
Par contre, cette loi, votée en juillet 2008 et promulguée en septembre, n'a pas précisé l'âge limite!
Alors les hôpitaux ont vu affluer des grands enfants entre 12 et 17 ans amenés par leurs parents, dont certains venaient même des Etats voisins...
"Beaucoup de ces enfants sont là parce que les parents ne savent plus quoi faire d'eux à cause de leur comportement, ou parce que ce sont simplement des enfants qui traversent une crise d'adolescence", a précisé au Matin Todd Landry, le directeur des services sanitaires et sociaux de l'Etat.
La situation va-t-elle perdurer?
Le gouverneur de l'Etat Dave Heineman a ordonné, selon le Matin, la tenue d'un débat au Parlement de l'Etat pour réviser la loi. Un projet de loi, instaurant une limite d'âge de trois jours pour le nourrisson, sera soumis au vote le 21 novembre....
A défaut de nous en débarrasser, je sens que la formule: "Attention sinon nous partons nous installer au Nebraska!" va sans doute redonner de l'espoir aux parents en manque de compréhension de la part de leurs ados, mais la meilleure formule est, après usage éprouvé et vérification approuvée chez moi: "Toujours prendre son mal en patience, ça leur passe !"
Ah ces ricain toujours un temps d'avance sur nous
Alors, imaginez, je suis tombée sur la petite brève qui va nous faire tous sourire , en se rappelant qu'une fois ou deux, nous aussi aurions voulu juste une heure de tranquilité, à défaut de s'en débarrasser légalement et définitivement comme au Nebraska!
Lisez plutôt
C'est Le Matin qui en parle. Selon lui, plus une trentaine d'enfants et d'adolescents ont été abandonnés par leurs parents, ces dernières semaines.
Comment c'est possible?
A l'orgine, la loi partait d'une bonne intention: protéger les enfants non désirés en autorisant leurs parents à les déposer dans un hôpital sans craindre de poursuites.
Par contre, cette loi, votée en juillet 2008 et promulguée en septembre, n'a pas précisé l'âge limite!
Alors les hôpitaux ont vu affluer des grands enfants entre 12 et 17 ans amenés par leurs parents, dont certains venaient même des Etats voisins...
"Beaucoup de ces enfants sont là parce que les parents ne savent plus quoi faire d'eux à cause de leur comportement, ou parce que ce sont simplement des enfants qui traversent une crise d'adolescence", a précisé au Matin Todd Landry, le directeur des services sanitaires et sociaux de l'Etat.
La situation va-t-elle perdurer?
Le gouverneur de l'Etat Dave Heineman a ordonné, selon le Matin, la tenue d'un débat au Parlement de l'Etat pour réviser la loi. Un projet de loi, instaurant une limite d'âge de trois jours pour le nourrisson, sera soumis au vote le 21 novembre....
A défaut de nous en débarrasser, je sens que la formule: "Attention sinon nous partons nous installer au Nebraska!" va sans doute redonner de l'espoir aux parents en manque de compréhension de la part de leurs ados, mais la meilleure formule est, après usage éprouvé et vérification approuvée chez moi: "Toujours prendre son mal en patience, ça leur passe !"
Ah ces ricain toujours un temps d'avance sur nous
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