Tweet
L'entrée en vigueur de l’accord d’association avec l’UE qui cause tant de frayeur à la fillière du sucre au niveau de l'import aura un impact tout à fait bénéfique au niveau du volume des exportations algériennes( Hors Hydrocarbures) qui passeront de 700 Millions de dollars à 3 Milliards de dollars.
L'Algérie exporte vers 70 pays (dont 17 en Afrique, 9 au Proche-Orient, 7 en Europe et 6 en Asie) des produits semi manufacturés, des matières premières et des équipements industriels.
=============
L’entrée en vigueur de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne, permettra l’augmentation des exportations agricoles nationales selon, le président de l’ANEXAL M. Idriss Yalaoui.
Les exportations des produits agricoles et des demi-produits industriels, exonérés de taxes douanières ou soumises à contingentement, «pourraient rapidement porter le volume des exportations algériennes hors hydrocarbures aux alentours des 3 milliards de dollars contre quelque 700 millions de dollars actuellement (3 % des exportations globales)» a-t-il déclaré à l’APS. Pour ce faire, M. Yalaoui préconise que les opérateurs économiques algériens doivent procéder immédiatement à la mise à niveau de leurs entreprises.
Ainsi, les exportations algériennes hors hydrocarbures dépasseront de facto l’objectif tracé par l’Etat estimé à 2 milliards de dollars. L’impossibilité d’atteindre ce chiffre a trouvé plusieurs explications chez les exportateurs nationaux qui n’ont pas manqué d’avancer à chaque occasion, «la défaillance de l’administration», tout en mettant en relief «l’absence de la protection de l’Etat du marché national». Dans la même optique il soulignera qu’il faut «dépasser les problèmes bureaucratiques et mettre en oeuvre des stratégies existantes de promotion des exportations hors hydrocarbures», notamment la création de guichets uniques dans les ports et les aéroports afin d’éviter aux exportateurs ce «parcours du combattant» qui leur fait subir plus d’une douzaine de passages avant d’obtenir «le bon à exporter». Toutefois, le président de l’association des exportateurs soulignera que ses adhérents «accueillent avec satisfaction» ce début d’application de l’accord d’association, qui permettra l’instauration de la zone de libre échange avec l’Union européenne à l’horizon 2017.
Les exportateurs souhaitent, selon M. Yalaoui, que le Conseil consultatif de promotion des exportations hors hydrocarbures, créé en 2004 et placé sous la présidence du chef du gouvernement, soit installé le plus rapidement possible car susceptible, de par ses prérogatives, d’«apporter des solutions pratiques aux problèmes des exportateurs».
Les exportations hors hydrocarbures, selon les statistiques des services de douanes, ont augmenté de 21 % en 2004 par rapport à 2003 atteignant la valeur de 769 millions de dollars.
L’Algérie exporte vers 70 pays (dont 17 en Afrique, 9 au Proche-Orient, 7 en Europe et 6 en Asie) des produits semi manufacturés, des matières premières et des équipements industriels.
Les effets immédiats de la mise en oeuvre de l’accord d’association seront visibles en particulier sur le plan commercial où les deux parties ont convenu d’une approche progressive dans le démantèlement des droits de douane.
Rappelons, que le ministre du Commerce M. El Hachemi Djaaboub a installé le mois dernier, une commission technique chargée de suivi de la mise en œuvre de la zone de libre-échange avec l’UE.
Source : La tribune
L'Algérie exporte vers 70 pays (dont 17 en Afrique, 9 au Proche-Orient, 7 en Europe et 6 en Asie) des produits semi manufacturés, des matières premières et des équipements industriels.
=============
L’entrée en vigueur de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne, permettra l’augmentation des exportations agricoles nationales selon, le président de l’ANEXAL M. Idriss Yalaoui.
Les exportations des produits agricoles et des demi-produits industriels, exonérés de taxes douanières ou soumises à contingentement, «pourraient rapidement porter le volume des exportations algériennes hors hydrocarbures aux alentours des 3 milliards de dollars contre quelque 700 millions de dollars actuellement (3 % des exportations globales)» a-t-il déclaré à l’APS. Pour ce faire, M. Yalaoui préconise que les opérateurs économiques algériens doivent procéder immédiatement à la mise à niveau de leurs entreprises.
Ainsi, les exportations algériennes hors hydrocarbures dépasseront de facto l’objectif tracé par l’Etat estimé à 2 milliards de dollars. L’impossibilité d’atteindre ce chiffre a trouvé plusieurs explications chez les exportateurs nationaux qui n’ont pas manqué d’avancer à chaque occasion, «la défaillance de l’administration», tout en mettant en relief «l’absence de la protection de l’Etat du marché national». Dans la même optique il soulignera qu’il faut «dépasser les problèmes bureaucratiques et mettre en oeuvre des stratégies existantes de promotion des exportations hors hydrocarbures», notamment la création de guichets uniques dans les ports et les aéroports afin d’éviter aux exportateurs ce «parcours du combattant» qui leur fait subir plus d’une douzaine de passages avant d’obtenir «le bon à exporter». Toutefois, le président de l’association des exportateurs soulignera que ses adhérents «accueillent avec satisfaction» ce début d’application de l’accord d’association, qui permettra l’instauration de la zone de libre échange avec l’Union européenne à l’horizon 2017.
Les exportateurs souhaitent, selon M. Yalaoui, que le Conseil consultatif de promotion des exportations hors hydrocarbures, créé en 2004 et placé sous la présidence du chef du gouvernement, soit installé le plus rapidement possible car susceptible, de par ses prérogatives, d’«apporter des solutions pratiques aux problèmes des exportateurs».
Les exportations hors hydrocarbures, selon les statistiques des services de douanes, ont augmenté de 21 % en 2004 par rapport à 2003 atteignant la valeur de 769 millions de dollars.
L’Algérie exporte vers 70 pays (dont 17 en Afrique, 9 au Proche-Orient, 7 en Europe et 6 en Asie) des produits semi manufacturés, des matières premières et des équipements industriels.
Les effets immédiats de la mise en oeuvre de l’accord d’association seront visibles en particulier sur le plan commercial où les deux parties ont convenu d’une approche progressive dans le démantèlement des droits de douane.
Rappelons, que le ministre du Commerce M. El Hachemi Djaaboub a installé le mois dernier, une commission technique chargée de suivi de la mise en œuvre de la zone de libre-échange avec l’UE.
Source : La tribune
Commentaire