GAZA, 19 novembre (Xinhua) -- Les efforts faits par les Palestiniens pour fournir du pétrole à la bande de Gaza ont échoué, ce qui a entraîné la paralysie de certains secteurs d'importants services, car Israël a prolongé sa clôture des passages, ont déclaré mercredi des responsables palestiniens.
Israël a fermé les passages le 4 novembre dernier dû à une recrudescence de la violence dans laquelle des militants palestiniens ont repris des attaques à la roquette contre des villes frontalières israéliennes, pour se venger d'une série d'opérations militaires israéliennes ayant tué 14 combattants palestiniens.
Mahmoud al-Shawa, dirigeant du syndicat des propriétaires de stations-services, a indiqué que leurs appels et leurs contacts pour vaincre la crise, qui s'élargit après la pénurie du gaz, ont connu un échec.
"Les boulangeries et les restaurants ont été fermés et les gens souffrent à leur domicile à cause du manque de gaz", a-t-il ajouté.
Israël a aussi détenu le diesel industriel que l'Europe fournit à la seule centrale électrique dans la bande de Gaza, ce qui a forcé la centrale, qui produit 25% de l'électricité pour Gaza, à arrêter ses opérations depuis jeudi.
De plus, la surcharge a endommagé quelques lignes électrique qui viennent directement d'Israël. "La crise actuelle est sans précédent et elle affecte 1,5 million de personnes", a ajouté M. al-Shawa.
Parallèlement, le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a décidé de prolonger le blocage dans la bande de Gaza, citant la poursuite des tirs de roquette depuis la bande contrôlée par le Hamas.
Les récentes violences ont bouleversé le cessez-le-feu proposé par l'Egypte entre le Hamas et Israël. Cet accord appelle Israël à ouvrir les points de passage en échange de l'arrêt des attaques à la roquette.
Israël a fermé les passages le 4 novembre dernier dû à une recrudescence de la violence dans laquelle des militants palestiniens ont repris des attaques à la roquette contre des villes frontalières israéliennes, pour se venger d'une série d'opérations militaires israéliennes ayant tué 14 combattants palestiniens.
Mahmoud al-Shawa, dirigeant du syndicat des propriétaires de stations-services, a indiqué que leurs appels et leurs contacts pour vaincre la crise, qui s'élargit après la pénurie du gaz, ont connu un échec.
"Les boulangeries et les restaurants ont été fermés et les gens souffrent à leur domicile à cause du manque de gaz", a-t-il ajouté.
Israël a aussi détenu le diesel industriel que l'Europe fournit à la seule centrale électrique dans la bande de Gaza, ce qui a forcé la centrale, qui produit 25% de l'électricité pour Gaza, à arrêter ses opérations depuis jeudi.
De plus, la surcharge a endommagé quelques lignes électrique qui viennent directement d'Israël. "La crise actuelle est sans précédent et elle affecte 1,5 million de personnes", a ajouté M. al-Shawa.
Parallèlement, le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a décidé de prolonger le blocage dans la bande de Gaza, citant la poursuite des tirs de roquette depuis la bande contrôlée par le Hamas.
Les récentes violences ont bouleversé le cessez-le-feu proposé par l'Egypte entre le Hamas et Israël. Cet accord appelle Israël à ouvrir les points de passage en échange de l'arrêt des attaques à la roquette.
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