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Le pétrole perd plus d'un dollar après publication des stocks US.
LONDRES (Reuters) - Le baril de pétrole perd du terrain jeudi pour la cinquième séance d'affilée, les retombées de la crise du crédit sur l'économie mondiale touchant la demande de carburant.
Vers 11h35 GMT, le contrat décembre sur le brut léger américain perdait 2,65%, soit 1,42 dollar, à 52,20 dollars le baril, tandis qu'à la même heure le future janvier sur le baril de Brent de la mer du Nord cédait 2,55% (1,31 dollar) à 50,45 dollars.
"L'absence de la moindre bonne nouvelle concernant la demande et la tourmente économique mondiale continuent d'avoir comme conséquence une pénurie de facteur haussier", a déclaré Jonathan Kornafel, de Hudson Capital Energy.
Si les stocks d'essence ont augmenté à peu près conformément au consensus et les réserves de produits distillés baissé contre toute attente, les stocks de brut ont grimpé la semaine dernière, de 1,6 million de barils, alors que les analystes tablaient sur une augmentation de 800.000 barils seulement, selon les statistiques publiées mercredi par l'Energy Information Administration (EIA) américaine.
Cette dernière a également indiqué que la baisse de la consommation imputable à la crise économique s'était traduite par un recul de 7% de la demande totale en produits pétroliers par rapport à la période comparable de l'an dernier.
La dégradation des perspectives économiques mondiales et ses implications pour la demande en énergie ont entraîné une forte chute du prix du baril depuis cet été: le brut léger US a maintenant cédé les deux tiers de sa valeur depuis son record historique de plus de 147 dollars inscrit en juillet.
Les ministres de l'OPEP qui se réuniront au Caire le 29 novembre ont déjà décidé le mois dernier de réduire la production de 1,5 millions de barils par jour. Ils ont prévu de se réunir également le 17 décembre en Algérie.
La séance de ce jeudi pourrait être plus volatile que les précédentes, le contrat décembre sur le brut léger expirant en fin de journée.
Vers 11h35 GMT, le contrat décembre sur le brut léger américain perdait 2,65%, soit 1,42 dollar, à 52,20 dollars le baril, tandis qu'à la même heure le future janvier sur le baril de Brent de la mer du Nord cédait 2,55% (1,31 dollar) à 50,45 dollars.
"L'absence de la moindre bonne nouvelle concernant la demande et la tourmente économique mondiale continuent d'avoir comme conséquence une pénurie de facteur haussier", a déclaré Jonathan Kornafel, de Hudson Capital Energy.
Si les stocks d'essence ont augmenté à peu près conformément au consensus et les réserves de produits distillés baissé contre toute attente, les stocks de brut ont grimpé la semaine dernière, de 1,6 million de barils, alors que les analystes tablaient sur une augmentation de 800.000 barils seulement, selon les statistiques publiées mercredi par l'Energy Information Administration (EIA) américaine.
Cette dernière a également indiqué que la baisse de la consommation imputable à la crise économique s'était traduite par un recul de 7% de la demande totale en produits pétroliers par rapport à la période comparable de l'an dernier.
La dégradation des perspectives économiques mondiales et ses implications pour la demande en énergie ont entraîné une forte chute du prix du baril depuis cet été: le brut léger US a maintenant cédé les deux tiers de sa valeur depuis son record historique de plus de 147 dollars inscrit en juillet.
Les ministres de l'OPEP qui se réuniront au Caire le 29 novembre ont déjà décidé le mois dernier de réduire la production de 1,5 millions de barils par jour. Ils ont prévu de se réunir également le 17 décembre en Algérie.
La séance de ce jeudi pourrait être plus volatile que les précédentes, le contrat décembre sur le brut léger expirant en fin de journée.