Le prix du pétrole s'est enfoncé jeudi sous la barre des 50 dollars le baril à Londres, pour la première fois depuis mai 2005, et l'a frôlée à New York, dans un marché toujours déprimé par la crise économique et financière.
Vers 13H30 GMT, le baril de Brent, échangé à Londres, est tombé à 48,54 dollars.
A New York, le baril de "light sweet crude" est tombé à 50,22 dollars, un plus bas depuis la mi-janvier 2007.
Depuis leurs records de juillet (147,50 dollars à Londres et 147,27 à New York), les prix du pétrole ont perdu plus des deux-tiers de leur valeur.
Le pessimisme macroéconomique s'est nourri des chiffres publiés mercredi par la Réserve fédérale américaine, qui a revu en forte baisse ses prévisions pour l'économie des Etats-Unis, n'écartant pas la possibilité d'une contraction de l'activité l'an prochain, et a prévenu qu'un retour à la normale serait un chemin long et difficile.
Le rapport hebdomadaire du Département américain de l'Energie, publié mercredi, n'a rien fait non plus pour apaiser les inquiétudes sur la demande, montrant une nouvelle baisse de la consommation sur les quatre dernières semaines.
Dans ce contexte, ni les craintes sur l'offre, avec un probable resserrement des quotas de la part de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, ni la baisse du dollar ne parvenaient à freiner l'effondrement des cours.
Vers 13H30 GMT, le baril de Brent, échangé à Londres, est tombé à 48,54 dollars.
A New York, le baril de "light sweet crude" est tombé à 50,22 dollars, un plus bas depuis la mi-janvier 2007.
Depuis leurs records de juillet (147,50 dollars à Londres et 147,27 à New York), les prix du pétrole ont perdu plus des deux-tiers de leur valeur.
Le pessimisme macroéconomique s'est nourri des chiffres publiés mercredi par la Réserve fédérale américaine, qui a revu en forte baisse ses prévisions pour l'économie des Etats-Unis, n'écartant pas la possibilité d'une contraction de l'activité l'an prochain, et a prévenu qu'un retour à la normale serait un chemin long et difficile.
Le rapport hebdomadaire du Département américain de l'Energie, publié mercredi, n'a rien fait non plus pour apaiser les inquiétudes sur la demande, montrant une nouvelle baisse de la consommation sur les quatre dernières semaines.
Dans ce contexte, ni les craintes sur l'offre, avec un probable resserrement des quotas de la part de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, ni la baisse du dollar ne parvenaient à freiner l'effondrement des cours.
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