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Appréhender les arts d'Océanie dans toute leur diversité n'est sans doute pas chose aisée, tant ils sont marqués par des visions du monde différentes de celle des Occidentaux et utilisés dans des contextes qui nous sont souvent étrangers.
Un site à l'approche plutôt oronginale et didactique, devrait guider les amateurs dans leur découverte ou l'approndissement de leurs connaissances des peuples d'Océanie et de leur continent.
Un site qui vaut vraiment le détour :
http://www.oceanie.org
L'océanie, peuple des eaux, gens des îles, propose d'aborder le Pacifique et les peuples qui l'occupent, de plusieurs manières. On peut commencer par une excursion, dont le parcours donne un aperçu de la géographie,des cultures, de l'histoire et des enjeux contemporains en ce continent d'îles et d'eau. De la formation diu continent, à son peuplement et de là, à l'organisation culturelle, puis à l'arrivée des Occidentaux, vous naviguerez jusqu'aux enjeux contemporains (économie, démographie, urbanité, migration). Des images viennent illustrer chacun des thèmes : en cliquant sur l'une d'elles, le visiteur accède à une encyclopédie culturelle de l'Océanien présentée dans une section appelée "Graphes". Celle-ci, divisée en 3 parties (graphes ancêtres, maisons ou wantok) utilise les liens hypertextes pour faire voyager l'internaute à travers le temps, l'espace et les concepts, tout en privilégiant une approche concrète de ceux-ci. La maison par exemple, peut amener à s'intéresser au rôle des missionnaires, à l'oraganisation de la famille, au mobilier, aux hangars à copra ou encore aux constructions traditionnelles et à leur disparition progressive. A chaque fois, des images (photos d'oeuvres, vidéos de cérémonies et rituels) viennent illustrer les thèmes. Le choix des termes (ancêtre, maison wantok) reflète le souci des concepteurs de privilégier des mots aant un sens vital pour les Océaniens et liés à leur quotidien. Ainsi le terme wantok (one talk), c'est-à-dire ceux qui, parlant la même langue, se retrouvent dans les villes du Pacifique pour se regrouper en communautés plus ou moins stables, sera préféré à celui d'anthropologie urbaine. Les ancêtres illustreront la religion, et la monnaie symbolisera l'économie. Cette encyclopédie culturelle hypermédia de l'Océanie, inspirée des neurosciences et mise au point par une équipe franco-québecoise, permet de naviguer du jardin d'ignames, cultivé par des femmes, au système d'alimentation différentielle selon les genres, ou encore de s'intéresser à la culture intensive du copra pratiquée du milieu du 19ème siècle jusqu'à son déclin au milieu du siècle dernier. Led site permet tous les allers-retours possibles, tout en lisant quelques lignes sur les problèmes d echômage, ceux causés par la colonisation en termes de destruction du tissu traditionnel, tout en découvrant de nombreuses oeuvres d'art, illustrant de nombreux usages. A l'image de l'aquaculture de la région (en particulier la Polynésie française), ce site recèle quelques perles.
Un site à l'approche plutôt oronginale et didactique, devrait guider les amateurs dans leur découverte ou l'approndissement de leurs connaissances des peuples d'Océanie et de leur continent.
Un site qui vaut vraiment le détour :
http://www.oceanie.org
L'océanie, peuple des eaux, gens des îles, propose d'aborder le Pacifique et les peuples qui l'occupent, de plusieurs manières. On peut commencer par une excursion, dont le parcours donne un aperçu de la géographie,des cultures, de l'histoire et des enjeux contemporains en ce continent d'îles et d'eau. De la formation diu continent, à son peuplement et de là, à l'organisation culturelle, puis à l'arrivée des Occidentaux, vous naviguerez jusqu'aux enjeux contemporains (économie, démographie, urbanité, migration). Des images viennent illustrer chacun des thèmes : en cliquant sur l'une d'elles, le visiteur accède à une encyclopédie culturelle de l'Océanien présentée dans une section appelée "Graphes". Celle-ci, divisée en 3 parties (graphes ancêtres, maisons ou wantok) utilise les liens hypertextes pour faire voyager l'internaute à travers le temps, l'espace et les concepts, tout en privilégiant une approche concrète de ceux-ci. La maison par exemple, peut amener à s'intéresser au rôle des missionnaires, à l'oraganisation de la famille, au mobilier, aux hangars à copra ou encore aux constructions traditionnelles et à leur disparition progressive. A chaque fois, des images (photos d'oeuvres, vidéos de cérémonies et rituels) viennent illustrer les thèmes. Le choix des termes (ancêtre, maison wantok) reflète le souci des concepteurs de privilégier des mots aant un sens vital pour les Océaniens et liés à leur quotidien. Ainsi le terme wantok (one talk), c'est-à-dire ceux qui, parlant la même langue, se retrouvent dans les villes du Pacifique pour se regrouper en communautés plus ou moins stables, sera préféré à celui d'anthropologie urbaine. Les ancêtres illustreront la religion, et la monnaie symbolisera l'économie. Cette encyclopédie culturelle hypermédia de l'Océanie, inspirée des neurosciences et mise au point par une équipe franco-québecoise, permet de naviguer du jardin d'ignames, cultivé par des femmes, au système d'alimentation différentielle selon les genres, ou encore de s'intéresser à la culture intensive du copra pratiquée du milieu du 19ème siècle jusqu'à son déclin au milieu du siècle dernier. Led site permet tous les allers-retours possibles, tout en lisant quelques lignes sur les problèmes d echômage, ceux causés par la colonisation en termes de destruction du tissu traditionnel, tout en découvrant de nombreuses oeuvres d'art, illustrant de nombreux usages. A l'image de l'aquaculture de la région (en particulier la Polynésie française), ce site recèle quelques perles.
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