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La Grande-Bretagne veut renforcer sa présence en Algérie

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  • La Grande-Bretagne veut renforcer sa présence en Algérie

    Début aujourd’hui de la visite de Bill Rammel


    C’est aujourd’hui que le ministre d’Etat britannique, Bill Rammel, entamera sa visite de travail de deux jours à Alger. Il sera reçu par Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des affaires maghrébines et africaines. Les deux hommes présideront, au cours de cette visite, la réunion de la troisième session du comité mixte algéro-britannique sur les relations bilatérales et les questions d’intérêt commun, créé en vertu du mémorandum signé par les deux pays lors de la visite du président de la République en 2006.

    Un comité qui a pour objectif de tracer les grandes lignes et de suivre les relations entre les deux pays. Il a pour mission également de veiller à l’application des engagements pris par les deux pays en matière de coopération multilatérale qui englobe le secteur économique, sécuritaire, la politique migratoire et les autres problèmes communs à plusieurs pays.

    Les travaux de cette session vont permettre d’aborder le volet relatif à l’état de la coopération bilatérale, souligne le communiqué rendu public par le ministère des Affaires étrangères. Un travail qui va se faire en prévision de la réunion prochaine de la première session du sous-comité chargé des affaires économiques, commerciales et financières. L’occasion sera donnée également aux deux hommes pour débattre de plusieurs questions régionales et internationales d’intérêt commun. Il sera question notamment des possibilités et opportunités d’affaires offertes par le marché algérien aux opérateurs économiques britanniques. La Grande-Bretagne, à l’instar des autres pays, a affiché son intérêt et ses grandes ambitions à investir en Algérie et à améliorer sa position sur la marché algérien. Une position motivée par les réformes économiques engagées en Algérie et par l’esprit d’ouverture de l’économie décidé chez nous.

    Outre les hydrocarbures, les responsables britanniques voient en Algérie un pays offrant des possibilités de coopération juteuses en matière de finances, services, infrastructures, télécommunications, éducation et bien d’autres domaines pouvant être plus fructueux.

    Le Jour d'Algérie
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