Israël, l'Etat serial killer, rompt la trêve et châtie la terre martyre
Depuis le 19 juin 2008, une trêve devait suspendre les hostilités pour six mois au moins. Mais comme à son habitude, l’Etat hébreu, fort de ses soutiens parmi les puissances de ce monde qui lui accordent une quasi-impunité, a décidé de rompre la trêve et de châtier la terre martyre, de punir la population effrontée qui a eu le tort de choisir la résistance au lieu de la soumission.
Les prétextes techniques viennent justifier la folie guerrière : «L’armée israélienne doit détruire un tunnel qu’auraient creusé les terroristes palestiniens.» Une mécanique de la propagande bien huilée à l’adresse d’une communauté internationale qui se contentera de déplorer ces provocations palestiniennes qui ont conduit à une fermeté regrettable chez les Israéliens…
Schéma usé et hypocrite d’une opinion internationale officielle qui se fait volontiers juge et partie au profit du plus fort quelles que soient ses exactions. La bande de Gaza est donc encore une fois bouclée depuis le 4 novembre, soumise au chantage de la famine et de la catastrophe sanitaire et au viol quotidien de son intégrité territoriale par l’Etat voyou, grand tortionnaire insolent du Proche-Orient. Les journalistes du monde entier sont interdits d’accès, l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) déclare qu’il ne peut plus prévenir la catastrophe humanitaire faute de pouvoir acheminer les vivres et autres produits de première nécessité, l’électricité est sur le point d’être totalement coupée dans l’ensemble du territoire faute de carburant pour alimenter la centrale et les dénonciations des ONG ne parviennent pas à susvciter de réaction internationale capable d’intercéder en faveur d’une population civile tyrannisée par une monstrueuse armée engagée dans un processus d’extermination.
Gaza, terre insoumise !
La bande de Gaza symbolise à la fois la résistance face à l’occupant sioniste, la victoire lors du retrait des colonies juives en août 2005 après 38 ans d’occupation et enfin le martyre depuis des années en raison des agressions récurrentes d’une armée israélienne aveugle qui y exerce des représailles démesurées et toujours meurtrières sous prétexte de tirs de roquettes réels ou imaginaires imputés aux habitants de l’enclave. La population souffre donc régulièrement de blocus, de bombardements, d’incursions de commandos barbares qui s’acharnent dans un esprit de vengeance indigne d’une armée régulière sur des civils sans défense. On reproche à Gaza son obédience pour le Hamas, mouvement de résistance qualifié d’islamiste et de terroriste par tous les alliés inconditionnels de l’Etat sioniste alors que les Gazaouis lui reconnaissent une légitimité démocratique et une intégrité morale indiscutable dans la mission essentielle de résistance à la colonisation des terres de la Palestine.
Le bilan de l’impunité
Tous les chiffres que nous voudrions présenter sont approximatifs et certainement en deçà de la réalité tant la banalisation de la souffrance a gagné l’enclave souffre-douleur d’Israël, mais il reste indiscutable que des centaines de personnes ont été tuées depuis le départ des colons israéliens de Gaza en 2005. Une facture humaine très élevée en cadavres d’innocents parmi lesquels figurent de nombreux enfants, femmes, personnes âgées… assassinés par la machine à tuer israélienne qui s’inspire des techniques du génocide sans aucun état d’âme.
Le Jeune Indépendant
PEUPLE DE GAZA PARDON !
Depuis le 19 juin 2008, une trêve devait suspendre les hostilités pour six mois au moins. Mais comme à son habitude, l’Etat hébreu, fort de ses soutiens parmi les puissances de ce monde qui lui accordent une quasi-impunité, a décidé de rompre la trêve et de châtier la terre martyre, de punir la population effrontée qui a eu le tort de choisir la résistance au lieu de la soumission.
Les prétextes techniques viennent justifier la folie guerrière : «L’armée israélienne doit détruire un tunnel qu’auraient creusé les terroristes palestiniens.» Une mécanique de la propagande bien huilée à l’adresse d’une communauté internationale qui se contentera de déplorer ces provocations palestiniennes qui ont conduit à une fermeté regrettable chez les Israéliens…
Schéma usé et hypocrite d’une opinion internationale officielle qui se fait volontiers juge et partie au profit du plus fort quelles que soient ses exactions. La bande de Gaza est donc encore une fois bouclée depuis le 4 novembre, soumise au chantage de la famine et de la catastrophe sanitaire et au viol quotidien de son intégrité territoriale par l’Etat voyou, grand tortionnaire insolent du Proche-Orient. Les journalistes du monde entier sont interdits d’accès, l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) déclare qu’il ne peut plus prévenir la catastrophe humanitaire faute de pouvoir acheminer les vivres et autres produits de première nécessité, l’électricité est sur le point d’être totalement coupée dans l’ensemble du territoire faute de carburant pour alimenter la centrale et les dénonciations des ONG ne parviennent pas à susvciter de réaction internationale capable d’intercéder en faveur d’une population civile tyrannisée par une monstrueuse armée engagée dans un processus d’extermination.
Gaza, terre insoumise !
La bande de Gaza symbolise à la fois la résistance face à l’occupant sioniste, la victoire lors du retrait des colonies juives en août 2005 après 38 ans d’occupation et enfin le martyre depuis des années en raison des agressions récurrentes d’une armée israélienne aveugle qui y exerce des représailles démesurées et toujours meurtrières sous prétexte de tirs de roquettes réels ou imaginaires imputés aux habitants de l’enclave. La population souffre donc régulièrement de blocus, de bombardements, d’incursions de commandos barbares qui s’acharnent dans un esprit de vengeance indigne d’une armée régulière sur des civils sans défense. On reproche à Gaza son obédience pour le Hamas, mouvement de résistance qualifié d’islamiste et de terroriste par tous les alliés inconditionnels de l’Etat sioniste alors que les Gazaouis lui reconnaissent une légitimité démocratique et une intégrité morale indiscutable dans la mission essentielle de résistance à la colonisation des terres de la Palestine.
Le bilan de l’impunité
Tous les chiffres que nous voudrions présenter sont approximatifs et certainement en deçà de la réalité tant la banalisation de la souffrance a gagné l’enclave souffre-douleur d’Israël, mais il reste indiscutable que des centaines de personnes ont été tuées depuis le départ des colons israéliens de Gaza en 2005. Une facture humaine très élevée en cadavres d’innocents parmi lesquels figurent de nombreux enfants, femmes, personnes âgées… assassinés par la machine à tuer israélienne qui s’inspire des techniques du génocide sans aucun état d’âme.
Le Jeune Indépendant
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