Après l’offshoring et l’aéronautique, les gestionnaires de la ville de Casablanca ambitionnent de faire de celle-ci une véritable plaque tournante de la finance à l’échelle de la région et du continent. Pour cela, la métropole devait d’abord se doter d’un centre qui symboliserait cette activité.
C’est aujourd’hui décidé. Dans la future zone urbaine qui se développera sur les 320 ha de l’ancien aéroport d’Anfa, il y aura un quartier dédié à la finance internationale. Plus d’un million de mètres carrés de bureaux sont d’ores et déjà réservés dans les futurs buildings de la nouvelle cité.
Le principe est simple : faire en sorte que les pays africains connus pour être de grands producteurs de minerais ou de denrées agricoles puissent venir les faire coter à Casablanca au lieu d’aller sur des places européennes, nord-américaines ou autres.
Autre idée. Aujourd’hui, de nombreux pays africains vont lever des fonds étrangers, emprunts et autres, en Europe. «Casablanca peut parfaitement jouer ce rôle de mise en relation entre bailleurs de fonds et emprunteurs», affirme le directeur du Centre régional d’investissement (CRI) de Casablanca, Hamid Ben Elafdil, convaincu que la ville a toutes les potentialités pour cela.
Il avance pour arguments, entre autres, la nature du flux touristique : 5,9 millions de passagers arrivent chaque année au Maroc par l’aéroport Mohammed V, et la plupart sont soit des passagers en transit soit des hommes d’affaires.
C’est la preuve, selon lui, que Casa est déjà un hub régional. Ce qui reste à faire maintenant, c’est de capter cette «clientèle» de passage au lieu de la laisser se diriger vers d’autres destinations. Affaire à suivre...
C’est aujourd’hui décidé. Dans la future zone urbaine qui se développera sur les 320 ha de l’ancien aéroport d’Anfa, il y aura un quartier dédié à la finance internationale. Plus d’un million de mètres carrés de bureaux sont d’ores et déjà réservés dans les futurs buildings de la nouvelle cité.
Le principe est simple : faire en sorte que les pays africains connus pour être de grands producteurs de minerais ou de denrées agricoles puissent venir les faire coter à Casablanca au lieu d’aller sur des places européennes, nord-américaines ou autres.
Autre idée. Aujourd’hui, de nombreux pays africains vont lever des fonds étrangers, emprunts et autres, en Europe. «Casablanca peut parfaitement jouer ce rôle de mise en relation entre bailleurs de fonds et emprunteurs», affirme le directeur du Centre régional d’investissement (CRI) de Casablanca, Hamid Ben Elafdil, convaincu que la ville a toutes les potentialités pour cela.
Il avance pour arguments, entre autres, la nature du flux touristique : 5,9 millions de passagers arrivent chaque année au Maroc par l’aéroport Mohammed V, et la plupart sont soit des passagers en transit soit des hommes d’affaires.
C’est la preuve, selon lui, que Casa est déjà un hub régional. Ce qui reste à faire maintenant, c’est de capter cette «clientèle» de passage au lieu de la laisser se diriger vers d’autres destinations. Affaire à suivre...
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