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Retour au pouvoir absolu ?

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  • Retour au pouvoir absolu ?

    telle est la conclusion qu'a tiré Ait ahmed dans un message aux "electeurs" Algeriens matraqués à longueur de temps par une surenchere propagandiste jamais égalé depuis la semi ouverture démocratique d'octobre 1988 !
    on nous dira pas qu'on a pas "gueulé" quand il le fallait, quoi faire d'autres ? monter encore au maquis ? ca n'a pas fait avancer tellement l'algerie et les algeriens bien au contraire !
    vivement alors la fin du........ troisieme mandat de boutef... :22: , il n'a pas d'heritiers c'est deja ça !

    lire l'article
    in Liberté algerie
    http://www.liberte-***********/edit.php?id=44647

  • #2
    Bonsoir, tizi

    Bouteflika est en train de tarnsfomer le systéme politique algérien en systéme presidentiel. Si compte en plus son charisme. Il ne faut pas étre savant pour voir que toute opposition (au président) est vouée à l'echec.

    Je compare Bouteflika à DeGaulle. ils ont le même parcours il ont tous les deux sauvés leurs pays.

    Maintenant faut il avoir des mai 68 en Algérie.... l'heure n'est pas venue à ca !
    “If you think education is expensive, try ignorance”
    Derek Bok

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    • #3
      salut tout le monde
      il aurait ete facile et suffisant si la convention de saint egidio etait concretisee ,on aura pas aujourd'hui besoin de boutef ni de ses projets pour trouver la paix et epargner tant de vies humaines .

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      • #4
        FLN: un troisième mandat pour boutef

        http://www.lesdebats.com/rubriques/edito.htm

        Diversions et provocation
        L’intervention ce dimanche, du secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, sur les ondes de la chaîne satellitaire El Moustakilla, a fini par apporter toute la lumière voulue sur une démarche qui ne recelait plus en vérité le moindre mystère. Il vient donc d’avouer que le projet du FLN est bien de déverrouiller la Constitution en supprimant l’article 74 qui empêche le Président de la République de se présenter à un troisième mandat. Une annonce qui intervient, ne l’oublions pas alors qu’un référendum autour d’un projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale est en préparation et qu’une campagne par ailleurs fort opaque en compromet d’ores et déjà gravement l’issue. La moindre des retenues et de la courtoisie politique, aurait voulu que le FLN laisse passer le référendum qui est déjà sur le feu avant de songer à lancer une campagne dans la campagne. Le plus évident dans tout cela est que nous allons assister à un parasitage supplémentaire de l’une par l’autre. Au vu de toutes les réserves émises par le FLN par rapport à un projet de charte déjà accepté du bout des lèvres, nous sommes alors légitimement en droit de nous demander si cela n’est pas fait exprès pour ajouter encore plus de confusion au climat politique ambiant. Tant il est vrai que ce qui pose vraiment problème, n’est pas le fait de remettre sur le chantier une nouvelle constitution, mais de greffer cette revendication à un processus politique en cours qui est déjà assez difficile à maîtriser comme cela. Le plus inquiétant étant que Abdelaziz Belkhadem n’est pas seulement secrétaire général du FLN, mais aussi et surtout ministre d’Etat représentant personnel du Président de la République. En s’exprimant comme il le fait sur un sujet aussi délicat et qui concerne aussi directement la carrière du chef de l’Etat, il commet un autre impair aussi condamnable que le premier, car il laisse ainsi penser que c’est le Président lui-même qui le pousse à revendiquer en son nom la possibilité de postuler à un troisième mandat présidentiel. Ce qui en soit peut faire l’objet d’un débat, mais met Abdelaziz Bouteflika dans une position plus qu’inconfortable à un moment où il n’est déjà pas très à l’aise sur le sujet d’une réconciliation nationale qui ne veut pas aller aussi loin qu’il le souhaiterait. Le fait est, que mis ensemble, les discours développés par le secrétaire général et par le président du FLN s’orientent dans une direction qui n’a que peu à voir avec les nécessités d’une réconciliation nationale qui vise avant toute chose le rétablissement de la paix et de la sécurité dans le pays au milieu d’un climat politique apaisé. En plaçant au détour de la plupart de ses discours de campagne l’affirmation que l’Algérie est appelée à connaître dans le futur d’autres étapes que celle-là sur le chemin de la réconciliation nationale et en laissant s’ouvrir dés maintenant le débat sur une éventuelle révision de la Constitution, il est clair que le FLN nous conduit tout droit vers un affrontement politique qui est aux antipodes de ce que cherche à atteindre l’actuel projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale. Un affrontement avec le RND d’abord, qui refuse catégoriquement tout idée de nouvelle étape à venir et en tout cas certainement pas celle d’une amnistie générale et d’un retour du Fis dissous, et avec le reste de la classe politique ensuite qui n’acceptera jamais que le jeu politique soit ainsi verrouillé au profit du Président en place, après que le Président Liamine Zeroual ait inauguré une tradition d’alternance au pouvoir qui a besoin de se voir renforcée pour devenir irréversible. A quelques jours du 29 septembre, l’ouverture prématurée du front de la révision de la Constitution prend des allures de véritable diversion que certains peuvent même prendre pour une provocation pure et simple. Sachant que la partie est loin d’être gagnée au moment où le chef en exil du Fis dissous vient d’appeler ouvertement ses troupes à voter non lors du prochain référendum. Cet appel pèsera assurément très lourd dans la balance, sachant les formidables capacités de mobilisation d’une mouvance islamiste qui a réussi à réinvestir la société de façon discrète certes, mais bien réelle. Une mouvance qui s’imposera inévitablement si en face, les esprits sont confus, les lièvres à courir multiples et les phrases sibyllines inquiétantes. Le mieux pour tout le monde étant que face aux manœuvres du FLN qui est en train de recréer les conditions de flottement et de démobilisation de la société civile de juin 1990 et de décembre 1991, ce référendum soit carrément reporté à une date ultérieure. Nous avons vu en effet ce qu’il nous en a coûté de tenir des élections pour le seul besoin de respecter un calendrier électoral officiel. L’autre solution étant d’interdire aux gens du FLN de continuer à faire campagne pour un texte qu’ils sont en train de vider de son contenu écrit pour lui substituer ce qu’ils veulent faire lire entre ses lignes et le rendre totalement haïssable.

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        • #5
          vraiment la seule solution pour sauver notre pays , est un changement radical du system , tous ces anciens dinosors au gros ventre doivent disparaitre , qu'ils prennent tout ce qu'ils ont volé et qu'ils quittent définitivement l'algerie a qui ils lui ont fais tant de mal depuis l'indépendance et ils continuent avec une si grande malice a manigencer et a vouloir s'accaparer le pouvoir , et fairer durer leur privilèges mal aquises éternellement.
          on n'on veut pas d'eux ni de boutef ni de sa clique , qu'ils gardent pour eux leur pseudo solutions pour ramener la paix zaama !!!
          ils ne veulent ramener la paix que pour eux et leur disciples et supplients , et que le peuple paye toute leur mauvaise gérance et leur injustice et corruption caractéristique
          Dernière modification par touareg23, 22 septembre 2005, 11h46.

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          • #6
            De Gaulle n'a pas sauvé la France pas plus que Boutef a sauvé l'Algérie. (mème s'ils passent aux yeux des opinions comme tels). La france a perdu la deuxième guerre mondiale, ce sont ces alliés qui l'ont gagnée. Et Boutef n'a pas sauvé l'Algérie parce que le térrorisme a été vaincu sous Zéroual. Et je vous signale qu'a cette époque, les térroristes pouvaient trés bien se rendre grace à la loi de la "rahma". Boutef a juste institué une loi qui a permi aux repentis de réintégrer la société civile.

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            • #7
              A mon humble avis, c’est plutôt le 11 Septembre qui a poussé le “maitre du monde” d’en finir avec le jeu islamiste. Boutef a bien profité de cet événement. Peu importe, c’était une chose positive pour le peuple en Algérie.

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              • #8
                quand on a un belkhaddem ministre d'Etat qui invite ouvertement anouar heddam à rejoindre les rangs du FLN, je doute que ce soit le meilleur moyens d'en finir avec l'islamisme!!
                Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.
                Albert Einstein

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                • #9
                  on va vers ube islamisation du pouvoir et du khaloto
                  jamais vu un gouvernement aussi hypocrite
                  l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                  • #10
                    ce qui m'inquiéte le plus dans cette algerie de boutef , c'est que y a auccune opposition sérieuse , rien ne s'oppose aux dessins du président , ni partis politiques , ni mouvement associatif , ni syndicats , tout le monde courbe l'échine ou fais une faible oppostion de façade pour céder finalement a la fin , juste a voir la loi contreversé sur les hydrocarbures en qui l'UGTA a manifesté une forte résistance et la loi a été retirée en premier lieu et aprés elle a été acceptée sans auccune difficulté et tout es rentré dans l'odre et personne n'en parle !!!!!
                    vraiment y a qu'a voir d'ou viens notre boutef et quels sont ses amis et ou il a passé sa "traversée du désert" pour avoir la certitude qu'il n'es qu'un habile manipulateur et qui sais trés bien communiquer avec le peuple algerien pour a la fin instaurer une dicature présidentielle et museler le pays comme en tunisie.

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                    • #11
                      Vous avez raison, l'opposition ne se manifeste qu'en cas d'éléction et encore. Mais le pouvoir vérouille le champs médiatique, ce qui met l'opposition en grande dtfficulté. Et je présume que vous avez entendu parler des millitants du MDS arrétés il y'a quelque temps?

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                      • #12
                        si on dis qu aujourdhui y a pas d'opposition c que c pas facile de l'etre.
                        je m'explique, qui ete en premiere ligne fasse au terroriste(politiquement parlant) c le systeme bien sur que non. affronte les terro et le pouvoir ca use et c bien connu que c dificile a tout mouvement de dure sans moyen de communication et particulierement les media lourd. on voit le verouillage durant cette compagne
                        "Penser globalement, agir localement" Jacques Ellul

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                        • #13
                          biensur , c'est le pouvoir qui verrouille les champs d'experssion en gardant les médias lourds pour sa chasse gardée et en interdisant tous types de manifestations contraires aux orientations dictés d'en haut, alors que notre APN n'es qu'une chambre d'enregistrement des lois rien de plus , vraiment je suis en peine quand je vois tout les chauds débats qui reignent dans les autres assemblés des pays véritablement démocartiques et la monotonie et le calme dans notre pauvre APN.
                          mais j'aimerais poser une question aux adorateurs de boutef:
                          peut on avancer un pays sans aquis démocratiques et sans avoir le pouvoir controler ceux qui dirigent le pays ???
                          c'est vrai que boutef a la faculté de bien manier le verbe et de se montrer sous un visage de dirigent honnete qui veut tellement régeler les problmes du pays , mais vu sa manière de procéder ça me rappelle que la triste accession d'Hitler par voie démocratique en manipulant le peuple allemand avec de beaucoup de patriotisme et de fausses promesses de travailler le pays et de régler ces problemes en prenant soin d'instaurer une véritable dictature et de faire taire toute opposition a ses desseins.

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                          • #14
                            moi rien ne m etonne de tout ca car je sais que dans mon pays ca a toujours ete la dictature et elle le restera encore pour longtemps, quant a un troisiemme mandat pour boutef je suis presque sur quìl l aura ils trouveront bien un moyen de reajuster les lois comme d`habitude, c est une regles general pour les presidents des pays arabes quand ils sont au pouvoir ils le restent tres longtemps.

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                            • #15
                              Ne sois pas triste et abattu mazigh.Il n'ya aucune dictature en algérie.Tout le monde s'exprime et a le droit de le faire.L'opposition éxiste et elle s'exprime.Le problème c'est qu'elle n'a aucune audience ou crédibilité.Je parle de l'opposition auto-proclamée.

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