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Les fils de harkis sont prêts à demander pardon»

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  • Les fils de harkis sont prêts à demander pardon»

    ainsi, il suffit de les solliciter pour qu’ils se repentent, mais pourquoi les impliquer dans un fait pour lequel ils n’ont rien à voir?

    L’ex-ambassadeur d’Algérie en France, Mohamed Ghoualmi, a affirmé que les fils de harkis établis en France, sont prêts à faire des concessions en vue d’aller vers une réconciliation avec les Algériens. «Les fils des harkis sont prêts à demander pardon aux Algériens au nom de leurs parents», a-t-il indiqué.
    Cela se manifeste par le biais de «leur engouement aux urnes durant les élections du pays» a encore précisé Mohamed Ghoualmi à L’Expression. «Ainsi, il suffit de les solliciter pour demander le pardon» a enchaîné l’ambassadeur qui s’exprimait hier, lors du Colloque sur la communauté algérienne établie à l’étranger, qui se déroule depuis hier, à Djenane El Mithak (Alger). Organisé par la commission des affaires étrangères, de la coopération et de l’émigration de l’APN, ce colloque a vu la participation de plus de 300 associations d’Algériens établis à l’étranger.
    Des ministres, des parlementaires, des diplomates, des représentants d’établissements financiers et d’assurances et des compagnies de transports aérien et maritime ont pris part à cette rencontre. Il s’agit d’identifier les voies et moyens permettant d’aider les quelque 5 millions d’Algériens vivant à l’étranger.
    Selon Mohamed Saib Musette, travaillant pour le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread), 5000 Algériens sont retournés au pays depuis l’année 2000 dont 70% sont des salariés à l’étranger. De 2001 à 2006, il a relevé que 27.000 Algériens partent chaque année vers la France.
    Le conférencier a mis en exergue «les fausses données» de la Banque mondiale portant sur la forte présence des Algériens à l’étranger. Ainsi, on a classé la France comme premier pays d’accueil, puis l’Espagne, et, en 3e position, «Israël avec 40.000 Algériens». Pour démentir cette information, M.Musette a affirmé qu’ils sont au nombre de 25.000 juifs nés en Algérie et dont le départ vers Israël date de 1948. La majorité des juifs algériens les ont rejoint entre 1960 et 1964.
    Poursuivant son exposé, le chercheur a souligné qu’il y a «160 mineurs algériens vivant dans la rue à Marseille». La communauté algérienne établie en France, aux USA et au Canada, a toujours souhaité que «l’Etat algérien oeuvre pour la levée des contraintes administratives et douanières.» Ils appellent, également à installer «un Observatoire algérien de l’immigration».
    En somme, le nombre d’Algériens résidant à l’étranger, évolue d’année en année. Il est estimé à 5 millions, dont 4 millions résident en France.
    Toutefois, le nombre de cadres est estimé entre 30.000 et 100.000, dont environ 80% sont des chercheurs et des professeurs universitaires.
    L’apport de ces compétences au pays reste un souci majeur pour les autorités publiques. Cela réside dans l’objectif de contribuer au développement national.
    De ce fait, l’ouverture d’un débat sur les préoccupations de la communauté algérienne résidant à l’étranger est plus qu’une nécessité.

    linda bedar
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

  • #2
    Et dire qu'ils affirment avoir tous le NIF !! contrairement a leurs voisins marocains et tunisiens qui parai t-il sont sans dignité

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    • #3
      surtout marocain .

      bref


      c vrai que les fils d'harki n'ont rien avoir avec ce que leur peres ont fait .... on dirait qu'etre harki c'est une race

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      • #4
        Les enfants de harkis n'ont jamais été anti-algériens.Sauf qque rares personnes manipulés par les nostalgiques de l'algérie française.
        En france les enfants de harkis se battent au quotidien avec leurs "frêres" algériens contre les discriminations.

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        • #5
          Ils n'ont pas besoin de le faire, ils sont déja bien introduits. C'est aux harki eux même de demander pardon.

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          • #6
            les files de harki? c'est une blague? qu'est-ce qu'ils ont fait les fils de harki? Ah la la, une longue therapie d'expiation des demons de l'ere colonisaliste est une necessite pour l'algerie d'aller de l'avant, dans 20 ans, vous allez demander aux petits-enfants des harkis de demander pardon? Je trouve ca d'un ridicule franchement.

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            • #7
              Ben aprés l'organisation des fils de chouhada, des fils de moudjahidines, des petit fils de moudjahidines, et la transformation en douce de l'Algérie en un royaume avec la modification de la constitution il y a rien de plus normal pour un régime débile pareil de s'attendre à ce que les fils de harki s'organise en association et discutte avec lui.

              Cet ambassadeur fait honte.

              ∑ (1/i²) = π²/6
              i=1

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              • #8
                la reconciliation ,nationale de boutef ,doit a mon avis inclule les harkis,sinon comment justifier l'amestie des assassins de la decenie noire ,
                Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                Gödel

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                • #9
                  demander pardon pourquoi ???? pour les fautes de leurs parents qui ont ete dechu de la nationalite algerienne ?? et qui ne sont pas considerer comme algeriens puisqu'ils ont trahits le pays ?????
                  je comprend plus rien a ce qui se passe en algerie on dirait que il n y a plus rien qui tourne rond la !!!! ca va mal barder si ca continue comme ca
                  PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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                  • #10
                    L'une des idées les plus bêtes que je n'ai jamais entendues de toute ma vie.

                    Depuis quand un enfant doit-il payer pour les erreurs de ces parents ? Rien qu'évoquer cette possibilité me fout la cher de poule. Imbécile de politicien de M*E*R*D*E.

                    Pour ce qui est des chercheurs, la dernière fois que j'ai contacté une université Algerienne pour lui proposer une collaboration (une convention en perspective), ils n'ont même pas dénié me répondre. Il nous contacte que pour avoir des invitations afin de venir à l'étranger et glander. Pas tous, mais malheureusement beaucoup trop à mon gout.
                    Dernière modification par gradiant, 24 novembre 2008, 21h13.

                    Commentaire


                    • #11
                      Cela se manifeste par le biais de «leur engouement aux urnes durant les élections du pays»
                      Je ne comprends pas une chose.
                      Les pères ne sont pas déchu de leur nationalité, pour la simple et bonne raison qu'ils n'ont jamais été algériens, comment se fait-il que leur enfants aient des papiers algériens et puissent voter lors d'élections (je rappelle que l'acquisition de la nationalité par la mère est très récente) ?

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                      • #12
                        Se n'est qu'une hypothèse mais je pense que seul le pere est déchu de sa nationalité, et non ces enfants.

                        Commentaire


                        • #13
                          Bonsoir

                          L’ordonnance n° 70-86 du 15. décembre 1970 portant code de la nationalité. algérienne.

                          CHAPITRE IV DE LA PERTE ET DE LA DECHEANCE
                          Perte

                          Art. 18. - Perd la nationalité algérienne :
                          • 1° l'Algérien qui a acquis volontairement à l'étranger, une nationalité
                          • étrangère et qui est autorisé par décret à renoncer à la nationalité algérienne.
                          • 2° l'Algérien, même mineur qui, ayant une nationalité étrangère d'origine, est autorisé par décret à renoncer à la nationalité algérienne.
                          • 3° la femme algérienne qui, épousant un étranger, acquiert
                          • effectivement du fait de son mariage, la nationalité de son mari et a été autorisée par décret à renoncer à la nationalité algérienne
                          • 4° l'Algérien qui déclare répudier la nationalité algérienne dans
                          • le cas visé au 3ème alinéa de l'article 17 ci-dessus
                          .

                          Art. 19. - Peut perdre la nationalité algérienne, l'Algérien qui, occupant un emploi à l'étranger ou dans une organisation internationale dont l'Algérie ne fait pas partie ou, plus généralement, leur apporte son concours, n'a pas renoncé à son emploi ou cessé son concours, nonobstant l'injonction qui lui aura été faite par le Gouvernement algérien. L'injonction fixera un délai qui ne peut être inférieur à quinze jours, ni supérieur à deux mois.

                          Art. 20. - La perte de la nationalité prend effet :

                          1° dans les cas visés aux paragraphes 1°, 2° et 3° de l'article 18, à compter de la publication au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, du décret qui autorise l'intéressé à renoncer à la nationalité algérienne.

                          2° dans le cas visé au paragraphe 4, à compter du jour où a pris
                          date la demande souscrite valablement par l'intéressé et adressée au ministre
                          de la justice.

                          3° dans le cas visé à l'article 19 ci-dessus, à compter de la publication au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, du décret déclarant que l'intéressé a perdu la nationalité algérienne et à condition qu'il ait été à même de présenter ses observations. Le décret peut être rapporté s'il est établi que l'intéressé a été, au cours du délai imparti, dans l'impossibilité de renoncer à son emploi à l'étranger ou de cesser son concours.

                          Art. 21. - La perte de la nationalité algérienne étend, de plein droit, ses effets aux enfants mineurs non mariés de l'intéressé, vivant effectivement avec lui, dans les cas prévus aux paragraphes 1°, 2° et 4° de l'article 18 ci-dessus.


                          Déchéance

                          Art. 22. - Toute personne qui a acquis la nationalité algérienne
                          peut en être déchue :
                          • 1° si elle est condamnée pour un acte qualifié crime ou délit contre la sûreté de l'Etat algérien ;
                          • 2° si elle est condamnée en Algérie ou à l'étranger pour un acte qualité crime, à une peine de plus de 5 ans d'emprisonnement ;
                          • 3° si elle s'est volontairement soustraite au service national ;
                          • 4° si elle accompli, au profit d'un Etat étranger, des actes incompatibles avec la qualité d'Algérien et préjudiciables aux intérêts de l'Etat algérien.


                          La déchéance n'est encourue que si les faits reprochés à l'intéressé se sont produtis dans un délai de 10 ans à compter de la date de l'acquisition de la nationalité algérienne. Elle ne peut être prononcée que dans un délai de 5 ans à compter des dits faits.

                          Art. 23. - La déchéance est prononcée par décret, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations. Il aura pour ce faire, un délai de 2 mois.

                          Art. 24. - La déchéance peut être étendue à la femme et aux enfants mineurs de l'intéressé. Elle ne peut, toutefois, être étendue à ceux-ci, si elle ne l'est également à leur mère.
                          Tiré de l’ordonnance 70-86 du 15 décembre 1970

                          Ordonnance ayant subi des modifications par par l’ordonnance du 27 février 2005 portant code de la nationalité algérienne (a propos de l'algérien qui acquière dans un pays étrangère une nationalité étrangère , mais là n'est pas la propos ) [Désolée le lien ne passe pas sur FA]


                          ..../....
                          “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                          • #14
                            les fils des harkis demandent pardon pourquoi pas les pardonner. comme sa on fermera une des fissures de la guerre d'indépendance.
                            les familles algériennes touchées par les harkis doivent recevoir ses demandes de pardons en premier.
                            If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
                            You have to have a dream so you can get up in the morning....

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                            • #15
                              Avoir été fils de harki, je n'aurais jamais demandé pardon.
                              ce sont nos légions de faux moujahidine qui ont malmené, rapiné, brisé l'Algérie qui devraient demander pardon.
                              Qu'est-ce qu'a à voir un fils avec les crimes ( s'il y a réellement crime) de son père?
                              Les criminels sont ceux qui ont fait ces lois scélérates qui obligent les enfants à payer pour leurs parents.

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