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L’ambassade du royaume de Belgique s’attelle actuellement à préparer la venue d’une mission économique belge prévue pour 2009, et qui sera précédée par une rencontre en Belgique, afin de mieux apprécier le marché algérien.
Ces prises de contact, après la participation de près d’une trentaine d’entreprises belges, lors de la dernière édition de la Foire internationale d’Alger, sont motivées par le niveau des échanges entre les deux pays qui ne cessent de s’accroître comme cela a été expliqué par l’ambassadeur du royaume de Belgique, M. Christian Van Driessche.
Ce dernier se trouvait, hier matin, à la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO), accompagné par les conseillers de l’ambassade et le représentant de la société Van Holl, pour “une prise de contact”.
Pour la Belgique, l’Algérie représente le deuxième marché en Afrique après l’Afrique du Sud, avec des exportations qui ont augmenté de 36% pour un volume d’échange en 2007, qui a atteint les 759 millions d’euros, ce qui n’est pas très important. Quant aux exportations algériennes, elles sont constituées à 98% des hydrocarbures. L’ambassadeur, qui évoquera les perspectives de partenariat et d’échanges commerciaux, expliquera qu’en Belgique, le tissu industriel est représenté à 97% par des PME ayant moins de 50 salariés et que 83% ont moins de 10 salariés et d’expliquer que l’Algérie à son tour a choisi de développer avant tout les PME/PMI plus créatrices d’emplois.
Les secteurs importants en Belgique, et pour lesquels des échanges sont envisageables, restent ceux de la chimie, de l’industrie pharmaceutique, des infrastructures portuaires, etc.
Des critiques ont été émises par des opérateurs présents à cette rencontre, notamment sur la question des visas qui ne sont délivrés qu’au compte-gouttes. M. Christian Van Driessche évoquera le chiffre de 6 000 visas délivrés en 2007 sur un total de 8 000 à 9 000 demandes.
Liberté
Ces prises de contact, après la participation de près d’une trentaine d’entreprises belges, lors de la dernière édition de la Foire internationale d’Alger, sont motivées par le niveau des échanges entre les deux pays qui ne cessent de s’accroître comme cela a été expliqué par l’ambassadeur du royaume de Belgique, M. Christian Van Driessche.
Ce dernier se trouvait, hier matin, à la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO), accompagné par les conseillers de l’ambassade et le représentant de la société Van Holl, pour “une prise de contact”.
Pour la Belgique, l’Algérie représente le deuxième marché en Afrique après l’Afrique du Sud, avec des exportations qui ont augmenté de 36% pour un volume d’échange en 2007, qui a atteint les 759 millions d’euros, ce qui n’est pas très important. Quant aux exportations algériennes, elles sont constituées à 98% des hydrocarbures. L’ambassadeur, qui évoquera les perspectives de partenariat et d’échanges commerciaux, expliquera qu’en Belgique, le tissu industriel est représenté à 97% par des PME ayant moins de 50 salariés et que 83% ont moins de 10 salariés et d’expliquer que l’Algérie à son tour a choisi de développer avant tout les PME/PMI plus créatrices d’emplois.
Les secteurs importants en Belgique, et pour lesquels des échanges sont envisageables, restent ceux de la chimie, de l’industrie pharmaceutique, des infrastructures portuaires, etc.
Des critiques ont été émises par des opérateurs présents à cette rencontre, notamment sur la question des visas qui ne sont délivrés qu’au compte-gouttes. M. Christian Van Driessche évoquera le chiffre de 6 000 visas délivrés en 2007 sur un total de 8 000 à 9 000 demandes.
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